La communication nerveuses

1ES_PACh1 ? PA La communication nerveuse Ch1 Aspects fondamentaux de la communication nerveuse

Partie A – La communication nerveuse
Chapitre 1 – Aspects fondamentaux de la communication nerveuse
Ce thème de physiologie intégrée est centré sur le fonctionnement des centres nerveux au travers d’un exemple, celui de la réponse à un stimulus nociceptif (= sensation de douleur), qui permetd’aborder les interactions entre système nerveux et substances chimiques, conduisant à la notion de médicament et de drogue (chapitre 2).

I- Révisions
Communiquer = capter des informations en provenance de notre environnement ou de notre système intérieur, les conduire jusqu’à un centre, les comprendre, élaborer une réponse, renvoyer d’autres informations pour effectuer cette réponse. Dansl’organisme, la communication entre les organes et les cellules se fait par voie nerveuse ou par voie hormonale.

Centre nerveux Nerf sensitif = voie afférente Récepteur sensoriel : détecte les stimuli STIMULUS Nerf moteur = voie efférente Effecteur : effectue la réponse RÉPONSE

Il existe divers types de récepteurs : les photorécepteurs, les mécanorécepteurs, les thermorécepteurs, les chimiorécepteursII- Organisation du système nerveux
1ES_PACh1A1 Système nerveux central et périphérique + anim Le système nerveux se divise en deux parties : SNC et SNP. • SNC : Système Nerveux Central = les centres nerveux : ? encéphale dans la boîte crânienne ? moelle épinière le long de la colonne vertébrale • SNP : Système Nerveux Périphérique = les liaisons entre les centres nerveux et le reste del’organisme : ? les nerfs crâniens rattachés à l’encéphale ? les nerfs rachidiens rattachés à la moelle épinière

A- SNC : L’encéphale
1ES_PACh1A2 Maquette 3D encéphale + animations • Il comprend le cerveau constitué de 2 hémisphères cérébraux (gauche et droit). La couche de surface du cerveau est nommée le cortex cérébral : c’est la « substance grise ». Plus en profondeur se trouve la « substanceblanche ». Chaque hémisphère est constitué de 4 lobes cérébraux : le lobe frontal, le lobe temporal, le lobe pariétal et le lobe occipital. Le nom des lobes est donné en fonction de la position « géographique » dans le cerveau. Il est « découpé » en aires sensitives, de traitement d’information et motrices. Plusieurs aires peuvent traiter différentes fonctions. Il comprend également le cervelet, page 1sur 3

1ES_PACh1 ? PA La communication nerveuse Ch1 Aspects fondamentaux de la communication nerveuse • Et le tronc cérébral (dont le bulbe rachidien).

B- SNC : la moelle épinière
1ES_PACh1A3 Docs p.9 / Schématisation d’une coupe transversale de moelle épinière. C’est un centre de réflexe mais elle joue aussi le rôle d’intermédiaire entre les nerfs rachidiens et l’encéphale.

C- SNP: Les nerfs
1ES_PACh1A4 Docs 1 & 2 p.12 Un nerf est un regroupement de nombreux axones de neurones : • on distingue les nerfs crâniens et rachidiens selon l’endroit auquel ils sont rattachés, • Parmi chacun de ceux-ci on distingue les nerfs moteurs et les nerfs sensitifs. Leur rôle est de transmettre les influx nerveux.

III- une cellule nerveuse : le neurone
1ES_PACh1A5 Neurones Au niveau ducortex cérébral (dans le cerveau) : • La « substance grise » est constituée des corps cellulaires des neurones. • La « substance blanche » est constituée de fibres nerveuses (dendrites et axones). Les fibres peuvent être amyélinisées (sans myéline) ou myélinisées (gainées de myéline). dendrites + corps cellulaire + axone = NEURONE La fonction des neurones est de recevoir puis d’émettre desmessages conduits le long des fibres nerveuses : • Les dendrites conduisent l’information vers le corps cellulaire et l’information part du corps cellulaire vers un autre neurone par l’axone, • Le point de contact entre neurones s’appelle la synapse.

IV- L’influx nerveux
1ES_PACh1A6 Logiciel Nerfs Quand une fibre nerveuse reçoit un stimulus, on dit qu’elle est stimulée ou excitée. Le stimulus…

Sociologie

Le petit Larousse définit l’interculturel comme un adjectif qui concerne les contacts entre différentes cultures. Cette définition nous amène à nous poser la question des différentes approches de laculture .Selon Noël Equilbey, « la notion d’interculturel se différencie de celle de multiculturel ou de pluriculturel qui correspondent simplement à la juxtaposition de cultures dans un contextedonné.
-Qu’est que la communication interculturelle ?
Il convient tout d’abord de définir ce qu’est la communication. « La communication c’est l’échange,communiquer avec les autres,c’est passer unmessage,se faire comprendre des autres , c’est le fait de communiquer , c’est partager ; des informations ,c’est aussi le regard , c’est tout ce qui nous lie , c’est ce que l’on dégage ,c’est la vie, jecommunique donc je suis.
Ces quelques définitions nous rappellent la proposition de Watzmawick (1972) « tout comportement est communication », la communication c’est tout. Mais c’est la propositionréduite qui marque les esprits « tout est communication » devenu aujourd’hui le « tout communicant ».
Mais ce n’est pas seulement cela la communication, c’est aussi le problème des organisations.Elles se sont toutes interrogées sur le comment communiquer, à qui, pour transmettre quel message, quand Les entreprises ont, de toute évidence, pris conscience qu’il est important d’assurer unecommunication auprès des salariés, mais aussi auprès des parties prenantes, qui n’ont jamais autant été impliquées qu’aujourd’hui. Cependant, ainsi que nous l’avons souligné, la communication est le problèmedes entreprises, au sens littéral du terme, soit parce quelles souhaitent communiquer et ne savent pas comment procéder, soit parce que parfois le mode de communication est mal choisi et que le messagene donne pas les résultats attendus.
La communication interculturelle dans sa forme la plus simple se repère à un domaine universitaire d’étude et de recherche , vise à comprendre comment les…

Aide

Bego Flore 15.03.1106430 Tende

Le Directeur du personnel
M .Lascaris

A tous les membres du personnel
Note de service
Modalité de fonctionnement du régime des bénéfices industriels etcommerciaux

En ce qui concerne la TVA, la soumission au régime simplifiée engendre le paiement d’acompte trimestriel.
Ceux-ci font l’objet de l’envoi parl’administration fiscale d’un avis d’acompte à payer quelques jours après la date d’échéance mentionne le montant de cette acompte (au quart de la TVA due de l’exo précédent)
L’EURL Bego Flore étant nouvelle, les avis reçus les premières années n’indiqueront pas le montant.
Le montant de l’acompte trimestriel sera calculé par l’EURL et devraprésenter 80% de la TVA réellement due.
Après la clôture de l’exercice, la TVA réelle sera calculée sur la déclaration CAC12 et donnera lieu a une régularisation.
Auniveau du bénéfice industriel et commerciaux, le régime simplifie engendre la présentation des documents suivants :
* Livres journal
* Livre inventaire
* Grandlivre
* Inventaire annuelle
* Compte annuelle
Option possible pour la tenu d’un comptable super-simplifiée : formulée sur la déclaration des résultats, ellepermet de tenir un compte de trésorerie en cours d’année et de constatée les créances et les dettes à la clôture de l’exercice.
Toutefois les entreprises relevant du régimesimplifié peuvent opter pour le régime du réel normale. L’option s’effectue sur papier libre avant le 1 er février de la première année au titre de l’entreprise.

La conscience

Chapitre 1

GENERALITES

Les logiciels peuvent être classés en deux catégories : – les programmes d’application des utilisateurs – les programmes système qui permettent le fonctionnement de l’ordinateur. Parmi ceux-ci, le système d’exploitation (SE dans la suite). Le SE soustrait le matériel au regard du programmeur et offre une présentation agréable des fichiers. Un SE a ainsi deux objectifsprincipaux : – présentation : Il propose à l’utilisateur une abstraction plus simple et plus agréable que le matériel : une machine virtuelle – gestion : il ordonne et contrôle l’allocation des processeurs, des mémoires, des icônes et fenêtres, des périphériques, des réseaux entre les programmes qui les utilisent. Il assiste les programmes utilisateurs. Il protège les utilisateurs dans le casd’usage partagé.

1. HISTORIQUE
Les premiers ordinateurs étaient mis à la disposition d’un programmeur selon un calendrier de réservation : un usager avec un travail unique utilisait seul la machine à un moment donné. Puis vint l’époque du traitement par lots (batch) : enchaînement, sous le contrôle d’un moniteur, d’une suite de travaux avec leurs données, confiés à l’équipe d’exploitation de lamachine (inconvénient : temps d’attente des résultats pour chaque utilisateur). Cette pratique a nécessité trois innovations : – le contrôle des E/S et leur protection pour éviter le blocage d’un lot – un mécanisme de comptage de temps et de déroutement autoritaire des programmes pour éviter le blocage d’un lot à cause d’une séquence trop longue. Ce furent les première interruptions – les premierslangages de commande (JCL) sous forme de cartes à contenu particulier introduites dans le paquet ($JOB, $LOAD, $RUN, etc…) Historiquement, on peut dire que les SE sont vraiment nés avec les ordinateurs de la 3ème génération (ordinateurs à circuits intégrés apparus après 1965). Le premier SE digne de ce nom est l’OS/360, celui des IBM 360, famille unique de machines compatibles entre elles, depuissances et de configurations différentes. Bien que son extrême complexité (due à l’erreur de couvrir toute la gamme 360) n’ait jamais permis d’en réduire le nombre de bogues, il apportait deux concepts nouveaux : – la multiprogrammation : partitionnement de la mémoire permettant au processeur d’accueillir une tâche dans chaque partie et donc d’être utilisé plus efficacement par rapport aux tempsd’attente introduits par les périphériques (le processeur est ré-alloué) – les E/S tamponnées : adjonction à l’UC d’un processeur autonome capable de gérer en parallèle les E/S ou canal ou unité d’échange. Cela nécessite une politique de partage du bus ou d’autres mécanismes (vol de cycle, DMA). Au MIT, F.J. CORBATO et son équipe ont réalisé dès 1962, sur un IBM 7094 modifié, le premier SEexpérimental à temps partagé (mode interactif entre plusieurs utilisateurs

Systèmes d’exploitation et programmation système

Yves PAGNOTTE

Chapitre 1

1/7

simultanés), baptisé CTSS. Une version commerciale, nommée MULTICS (MULTiplexed Information and Computing Service), a été ensuite étudiée par cette équipe, les Bell Laboratories et General Electric. Les difficultés ont fait que MULTICS n’ajamais dépassé le stade expérimental sur une douzaine de sites entre 1965 et 1974. Mais il a permis de définir des concepts théoriques importants pour la suite. La technologie à base de circuits intégrés de la 3ème génération d’ordinateurs a permis l’apparition des mini-ordinateurs et leur diffusion massive (précédant celle des microordinateurs). En 1968, l’un des auteurs de MULTICS, Ken Thompsona effectué une adaptation de MULTICS mono-utilisateur sur un mini-ordinateur PDP-11 de DEC inutilisé dans son Laboratoire des Bell Laboratories. Son collègue Brian Kernighan Ia nomma UNICS (Uniplexed – à l’opposé de Multiplexed – Information and Computer Service), qui devint ensuite UNIX . En 1972, son collègue Dennis Ritchie traduisit UNIX en C, langage qu’il venait de mettre au point avec…

Recherche

1-2 Présentation du sujet

1-2.1 Collaboration

Selon le dictionnaire Larousse la collaboration vient du verbe collaborer , c’est-à-dire l’action de collaborer, coopérer.

Collaborer est, un mot selon le dictionnaire étymologique emprunté au XIXe siècle du bas-latin collaborare de même sens, qui se décompose ainsi : cum signifiant « avec » et laborare signifiant« travailler »[1]. Collaborer est donc l’action de travailler de concert avec un ou plusieurs ,participer à une œuvre commune dans un même esprit pour un même but .Il se dit principalement des Travaux littéraires, scientifiques ou administratifs.

Quant au dictionnaire ROBERT, la collaboration y est définie comme le fait de travailler aux différents aspects de la même tâche, chacun avecun rôle complémentaire aux autres. C’est une action visant à reconnaitre la relation établie entre différents secteurs ou groupes dans le but de s’attaquer à un problème et assurant une plus grande efficacité.

En éducation la collaboration parents- enseignants, comprend l’ensemble des initiatives visant à l’unité de ces deux instances sur les enfants; cette collaboration se concrétisepar divers moyens : entretiens particuliers, participation régulière des parents lors des activités scolaires.[2] Ce terme de collaboration met en met en présence plusieurs partenaires plus ou moins directs: les élèves, les parents d’élève, les enseignants et tous les autres membres de la communauté éducative dans un but commun: la réussite scolaire des élèves ( 80% de réussite au baccalauréat).(a chercher)

Collaborer signifie être le partenaire, travailler avec être en interaction, en relation, ici se sont les parents qui sont les partenaires de l’école dans l’éducation des enfants.

1-2.2 Parent d’élève

Le mot parent vient du latin parentem, de parere, c’est-à-dire engendrer[3]. Il est relatif à la famille et désigne les géniteurs, père et mère, ou laparentèle mais aussi les membres d’une même famille .Un parent est celui, celle qui appartient à la même famille qu’une autre personne, mais c’est aussi l’ensemble des membres de la famille.

Le dictionnaire LAROUSSE définit le parent comme une personne liée à une autre par les liens du sang ou du mariage. On parle aussi de proche parent, c’est-à-dire un parent dont on n’est séparé quepar très peu de degrés et de parent éloigné un parent dont on est séparé par beaucoup de degrés.

Dans le cadre de ce mémoire, nous nous intéresserons spécifiquement au parent proche, le père, la mère ou le tuteur qui tient le rôle du parent d’élève et qui de ce fait est un membre à part entière de la communauté éducative.

1-2.3 Elève.

Le mot Elève possède la baseverbale étymologique du verbe « élever » (amener un être vivant à son plein développement). « Élève » a d’abord désigné une personne instruite dans un art par un maître, puis un enfant à qui l’on dispense l’enseignement dans un établissement scolaire. Est élève celui ou celle qui reçoit ou qui a reçu l’enseignement de quelqu’ autre personne qui est ou qui a été instruite, formée par un maîtredans un art ou une science.[4]

Être élève, selon la Borderie dans son ouvrage intitulé « le métier d’élève » est le premier métier du monde[5]à au moins trois titres :

• premier contact pour l’élève avec le monde du travail et ses contraintes ; pour l’élève, première confrontation avec droits et devoirs en société ;

• premier pour notre société, qui sera composée de citoyens etde personnes issues de l’école ; pour la société, rôle premier de formation des futurs citoyens et citoyennes

• premier par les moyens financiers engagés dans la plupart des états modernes.

( ??? qu’en penses tu )

« Métier d’élève » est une expression fréquemment employée et utilisée dans la sociologie de l’éducation française dont les sociologues dégagent trois images de…

Swot starbucks

Environnement interne |Forces
– Un café de haute qualité.

– Un service de haute qualité.

– Un large choix de café.

– Des produits renouvelés en permanence.

– Uneambiance particulière et agréable au sein des boutiques (« the third place »).

– Une multitude de services proposés autour du café (WiFi, CD, collaboration avec des artistes, radio Starbucks, DVD,livres, Ipod…).

– Le respect des salariés du groupe (salariés = partners, faible turn-over, assurance maladie, « bean stock plan », « stock purchase plan »).

– Une entreprise sociale etmilitante (création et soutient d’associations caritatives et d’ONG, sponsoring, produits éthiques : l’eau Ethos, respect du cahier des charges C.A.F.E.).

– Le développement de la vente deproduits Starbucks en moyenne et grande surface. |Faiblesses
– Un phénomène de cannibalisation de plus en plus fréquent de plus en plus d’enseigne Starbucks les unes à coté des autres).

– Uncafé de plus en plus « industriel » et moins traditionnel et artisanal (machines automatiques, abandon des pratiques de base de l’enseigne).

– Des boutiques de plus en plus impersonnelles et seressemblants entre elles.

– Les prix trop élevés.

– La perte progressive de « l’âme » du groupe basé au départ sur la passion du café et se rapprochant désormais plus d’une entreprise necherchant plus que le profit. | |
|Environnement externe |Opportunités |Menaces |
|| |La concurrence (principalement Mac Donald avec ces Mac Café de|
| |Je ne metsencore rien dans cette partie car il s’agit en |plus en plus présent à travers le monde, mais aussi |
| |fait de la conclusion de notre dossier, mais en gros…

La balance des paiements

LA BALANCE DES PAIEMENTS
Définition : La balance des paiements est un document comptable retraçant, pour une période donnée, l’ensemble des transactions économiques et financières d’un pays avecl’extérieur. La balance des paiements enregistre, selon certaines règles, toutes les opérations économiques et financières intervenues, au cours d’une période déterminée, entre résidents et non-résidents.Construite en respectant certains principes méthodologiques, la balance des paiements constitue un important instrument d’analyse permettant d’étudier les opérations économiques et financièresinternationales à l’aide de différents comptes et par la mise en évidence de soldes significatifs.

I. METHODOLOGIE
A. LES OPERATIONS RESIDENTS EFFECTUEES ENTRE RESIDENTS ET NON-

1. La notion derésidents et de non-résidents La distinction entre résidents et non-résidents est fonction du centre principal de leurs intérêts ou de leurs activités. Sont ainsi considérées comme résidents en France, lespersonnes ou les entreprises rattachées durablement à l’économie française. 2. La nature des opérations recensées Toutes les opérations de nature économique ou financière sont recensées par la balancedes paiements. Ainsi, celle-ci enregistre tous les flux de biens et services qu’un pays a fourni au reste du monde et qu’il a reçu de celui-ci, ainsi que les variations des créances et engagements dece pays à l’égard du reste du monde. Les transactions internationales sont faites, en principe, en vue d’un règlement en devises ou en euros. Cependant, certaines opérations s’effectuent sanscontrepartie ni en devises ni en nature, et sont considérées comme des transferts unilatéraux (envois d’économies de travailleurs étrangers…). B. L’ENREGISTREMENT DES OPERATIONS

LA BALANCE DES PAIEMENTS1

Les opérations sont enregistrées selon des principes inspirés de ceux de la comptabilité en partie double : chaque opération fait l’objet de deux inscriptions, l’une au débit et l’autre,…

Marketing evenementiel

Decisio

Marketing événementiel Le marketing sur mesure … et un peu plus
Suivre ses clients en continu pour déclencher les bonnes actions au bon moment : c’est le principe du MarketingEvénementiel. Plus particulièrement destiné aux entreprises qui ont de fréquentes interactions avec leurs clients, il permet de détecter rapidement des opportunités de vente ou des risques de fuite du clientvers la concurrence. Et les résultats sont là ! Les précisions d’Olivier Maire, Responsable des Solutions CRM de SAS France.

Qu’appelle-t-on « Marketing Evénementiel » dans l’univers du CRM ?

Ondésigne sous ce nom toutes les actions que l’on peut déclencher en réaction à un événement client. Les anglo-saxons emploient d’ailleurs un terme très parlant : « event trigger » (littéralement «déclenchement à l’évènement »). Ces actions ne se substituent pas aux campagnes marketing classiques qui sont, pour leur part, liées aux événements de l’entreprise ; elles ne peuvent venir qu’en complémentdes dispositifs existants.

Quelles entreprises utilisent le Marketing Evénementiel ?

Ce qui donnera du poids à l’utilisation de telles solutions, c’est la fréquence des interactions qu’auront lesentreprises avec leurs clients. Sans grande surprise, les banques ont été les premières à recourir à cette technique, puis les télécoms et la grande distribution. On retrouve là des secteurs enpointe en matière de marketing direct. En effet, l’event trigger nécessite que l’entreprise utilisatrice ait à la fois une vraie maturité dans sa stratégie marketing et également une maîtrise des outilsclassiques de CRM !

Pouvez-vous nous donner des exemples d’événements clients ?

On distingue trois types d’événements. Ceux qui sont connus à l’avance – l’anniversaire du client, par exemple, oula date d’échéance d’un PEA – sont simples à traiter et peuvent déclencher l’envoi d’un message personnalisé, avec des mécaniques classiques de gestion de campagnes. Plus complexes en revanche…

Etude twingo

I. Aux origines du projet

• A la recherche de la petite voiture des années 90

Renault, la grande firme automobile française crée par Louis Renault en 1899 «a toujours été présente sur le créneau des petites voitures »

En 1972, la Renault 5 est commercialisée et va « progressivement s’affirmer comme un véhicule de référence ». Avec le vieillissement de la R4, Renault va alors avoirune opportunité de commercialiser une deuxième voiture. Mais ils ne veulent pas commercialiser une simple voiture pour la remplacer… Ils veulent une voiture suffisamment « différente pour ne pas concurrencer directement la R5 et suffisamment complémentaire pour couvrir un marché en croissance ». Ils souhaitent une voiture petite, polyvalente et urbaine ; et suffisamment rentable, évidemment.Renault va mettre près de 20 ans pour trouver la voiture qui correspond à ses critères.

• Et la W60 devient la X06

1974 : projet VBG est étudié (véhicule bas de gamme) et abandonné en 1976 (trop pauvre et non rentable)

1977 : projet X40 (navigue d’abord entre plusieurs genres)

1984 : Super Cinq : il devient urgent de remplacer la R5

Projets X49, Z, X44 ; X45 : tous serontabandonnés : trop pauvres, trop proches de l’autre petite Renault et/ou pas rentables.

Mi 1985 : l’entreprise engage le projet Clio qui constitue une voiture plus sophistiquée que celle qu’elle remplace. On se rend compte qu’il est plus facile de mener à bien des projets de voitures sophistiquées, diversifiées et chères, que simple et économiques.

En 1986, un nouveau projet de « deuxième petite Renault »est de nouveau à l’étude. Une maquette à échelle 1/5 est présentée à la fin de l’année à la direction générale. Cette maquette est très différente de la Clio. La présentation va se faire en secret, aucune décision ne va être prise. Le dirigeant de Renault va enfermer la maquette dans un container qui sera enfermé dans un garage. Seul le PDG et le directeur design auront la clé. Les raisons pourlesquelles ils ont enfermé et abandonnés l’idée sont les suivantes :

– Entre 1984 et 1985 l’entreprise perd 12 milliard et le PDG n’est pas prêt à relancer une nouvelle gamme

– Le débat entre les syndicaux et la direction sur la fermeture du site de Billancourt est très vif. Les syndicaux sont certain que le fait de créer une nouvelle voiture relancerait le site. Pour définitivementfermer le site, ils vont décider de ne plus parler de « nouvelle petite voiture ».

La W60 sort du garage

Quelques temps après le PDG va être assassiné et Raymond Lévy est nommé pour le remplacer. De leur côté la régie travail en secret sur ce projet. Et en Mars 1987, une réunion va être programmée pour en parler avec le directeur mais elle sera annulé à cause d’une « fuite » d’information :Le journal L’humanité va affirmer que Renault travail sur une « deuxième petite voiture » et que le site Billancourt peut donc être sauvé. Tous les documents du projet vont être détruits et le projet va être totalement arrêté jusqu’à la fin 1987.

En janvier 1988, l’affaire Billancourt classée, l’étude du projet est relancée. Le projet change de nom et prend le nom de code X06. Le nom a étéchangé pour brouiller les pistes (a la même période, ils faisaient un prototype de voiture de luxe qui avait été présenté au salon de Paris sous le nom de code W06, nom de la Mégane. Le nom de code X06 laisse penser qu’ils industrialisaient la Mégane). A l’époque, la première maquette de 1986 n’avait pas convaincu.

La reprise de l’étude du design

La maquette va être revue par les designers. Lenouveau directeur design, Patrck le Quément croit à ce concept. Cependant il ne croit pas à son style qui va alors être complètement revu. Les proportions vont être changées, la voiture va être allongé, rehaussée et élargie.

Une nouvelle maquette va être présentée à l’automne 1988 et séduit. Cependant la voiture ne fait pas l’unanimité : soit on l’adore, soit on ne l’aime pas du tout mais…

Dissertation

STÉPHANIE CHEVRETTE
JESSICA ALLARY
ISABELLE CASSAN

Psychologie de l’apprentissage
350-S33-J0

Travail de session
L’effet de la position sérielle (primauté & récence)

Travail présenté à
Mme Martine THIBAULT

Département des sciences humaines
Cégep Régional de Lanaudière à Joliette
Le 8 avril 2011

Laboratoire 1
La mémoire joue un rôle primordial à chaque instant denos vies. Grâce à elle, nous avons des souvenirs du passé, des connaissances générales et un savoir-faire afin de nous débrouiller dans la vie. La mémoire est un outil indispensable pour transformer, stocker et récupérer une ou des informations. Ces trois utilités sont les étapes de mémorisation.
La première étape est le codage, c’est à ce moment que l’information se transforme en code. Le codevisuel est une simple image, une photographie par exemple. La mémoire iconique est alors en action. Ce code est beaucoup plus efficace chez les enfants. Ensuite, le code acoustique est un son qui se transforme dans la mémoire échoïque. Cela est possible grâce à l’autorépétition de maintien. C’est en fait de maintenir une information jusqu’au besoin. Par exemple, lorsqu’il faut retenir un numérode téléphone seulement l’instant de le composer, l’information est oubliée par la suite. Enfin, le code sémantique s’utilise lorsqu’il faut donner un sens à l’information. À ce moment, il faut utiliser l’autorépétition d’intégration. L’utilisation d’acronyme est un exemple. La deuxième étape est le stockage, l’information est sauvegardée dans la mémoire au cours du sommeil. L’autorépétitiond’intégration est plus efficace que l’autorépétition de maintien car lorsque l’on donne un sens à une information, elle est plus facilement mémoriser. La troisième étape est utilisée lorsque l’on doit récupérer une ou des informations, elle se nomme le repêchage. Cette étape est beaucoup plus simple et facile quand l’information est simple et bien comprise.
Ces étapes essentielles sont constamment enaction afin d’en apprendre toujours un peu plus. Voici maintenant un modèle de la mémoire conçu par Atkinson et Shiffrin. La mémoire se divise en trois parties, la mémoire sensorielle, la mémoire à court terme et la mémoire à long terme. La mémoire sensorielle est une impression momentanée, très brève. Elle laisse une sorte de petite trace dans la mémoire. Par exemple, la couleur des cheveux d’unepersonne inconnue croisée dans la rue. Cela restera dans votre mémoire environ 1 secondes. La mémoire à court terme ou de travail est utile mais se dégrade après environ 10 à 12 secondes. Elle possède aussi un grand défaut, elle ne peut emmagasiner que 7 plus ou moins deux éléments à la fois. Par exemple, lorsque vous devez retenir un numéro de téléphone, 759-1235, ce numéro possède sept éléments.Afin de laisser un maximum de place disponible dans la mémoire à court terme, vous pouvez utiliser la méthode de regroupement qui consiste à regrouper les éléments ensemble. Pour poursuivre avec l’exemple du numéro, vous aurez donc à retenir, 759-[12][35] qui possède seulement cinq éléments. Enfin, la mémoire à long terme ou de référence est en quelque sorte illimitée. L’information peut resterdans la mémoire une durée sans limite et c’est la même chose pour le contenu.

Il existe cinq facteurs qui influencent la mémoire. Premièrement, il y a l’autorépétition de maintien et d’intégration où le premier consiste à répéter mentalement une information à plusieurs reprises et le second à faire des liens, c’est-à-dire associer l’information nouvelle à un autre déjà connue.Lorsqu’on répète continuellement une information, de nombreuses connexions de neurone se font et ce beaucoup plus que si l’information n’est pas répétée couramment. La mnémotechnique est un autre facteur qui est définit comme un ensemble de méthode qui permettent de mémoriser par association mais de manière simple et facile. Par exemple, lorsque je veux apprendre une liste de mot par cœur, je…