Perso

Le Business Plan de A à Z
D’après l’intervention de
M. Philippe DE PREVILLE De KPMG Aux Journées Régionales de la Création d’Entreprise Rennes les 19 et 20 octobre 2001

Le Business Plan : sommaire
Définition Quand et pourquoi ? Comment le construire Comment le présenter

Définition du Business Plan
Un document prévisionnel Un outil de chiffrage La quantification de décisions prisesRépondre à la question de la rentabilité du projet Dégager les besoins financiers
Il n’y a pas de bon vent pour celui qui ne sait où il va… ( Sénèque )

Le BP : Quand et pourquoi ?
A la création de l’Entreprise
– s’assurer de la viabilité du projet – convaincre les actionnaires – obtenir des financements

Lors des développements de l’Entreprise
– lancement d’activités nouvelles – opérationsexceptionnelles – croissance externe

Le BP : Un outil de communication
Communication interne – pour le recrutement – pour faire des employés des acteurs Communication avec les actionnaires Communication avec les financiers

Le BP : Un outil de gestion
Permet de coordonner les actions dans l’Entreprise – phase de concertation – phase de diffusion Donne des indicateurs de prévision -concernant les différents services – anticipe l’organisation – traite la prévision à moyen terme – avec cohérence et interactivité

Le BP : comment le construire, La méthodologie : respecter les étapes
donne une bonne connaissance des produits, services, marchés Donne la définition des choix stratégiques : – quels marchés – la concurrence – la distribution du produit – les facteurs clé Présente lamise en place de l’organisation – qui fait quoi dans l’Entreprise La rédaction est claire et limpide + un glossaire

Quel type de document pour le BP ?

Soit un document simple, – mais dont la crédibilité est limité Soit un document détaillé, – de 20 à 40 pages, avec des annexes

Quantifier et valoriser ( 1 )
Ventes et achats – avoir une approche par les quantités – Chiffre d’affaire = Prixx Quantité – utiliser l’étude de marché Frais de personnel – faire une liste par service et par fonction – évolution dans le temps – prévoir les augmentations annuelles des salaires – distinguer les frais de structure fixe des personnels variables ( fonction de l’activité )

Quantifier et valoriser ( 2 )
Fiscalité – intégrer la TVA au plan de financement – Idem pour la taxe professionnelle,la taxe sur les salaires, l’Impôt sur les sociétés Frais financiers – dépendront des différents types de financement – surveiller le poids des frais financiers – traiter plusieurs hypothèses: augmentation de capital, emprunts, Dailly, affacturage Dotation aux amortissements

Exemples de tableaux à établir
Calcul du chiffre d’affaires Calcul de la marge brute Calcul des frais de personnel Calculdes charges de structure – variables – fixes Compte de résultat prévisionnel Bilan prévisionnel Plan de financement prévisionnel

Principes de prudence à respecter
Toujours sur-évaluer les charges – établies à partir de devis Toujours sous-évaluer les produits Créer une ligne de « charges imprévues »

Les documents à préparer
Le compte de résultat prévisionnel Le tableau de financementprévisionnel – emplois ( investissements + BFR ) – ressources Le bilan prévisionnel Documents à établir sur 3 ans, en K € à présent La prévision de trésorerie mensuelle sur 12 à 18 mois

Mise en place des moyens techniques, avec :
un tableur

un logiciel spécifique
– Documents structurés

Modifications régulières Interactivité des hypothèses : … et si, le développement prend duretard … et si, il y a des difficultés de recrutement … et si,

Fiablité des traitements

Intègre des techniques complexes

Choix des hypothèses ( 3 exercices )
Examen de plusieurs hypothèses
– difficile d’être affirmatif – pour le CA – pour la marge brute – pour le taux de frais financiers – seuil de rentabilité – objectif minimal de résultat – variation saisonnière

Rechercher les…

Enquete web tv

[pic]

WEB TV

Sommaires :

1 :Qu’est ce qu’une web TV ?

a-Définition.

b-Histoire des web TV.

c-La situation actuelle des web TV.

2 : De quoi est composé une web TV ?

3 : Les web TV déjà réalisées par AMP interactive, les atouts et les défauts d’AMP interactive dans ce domaine.

4 : Les entreprises concurrentes à AMP interactive dans le domaine des web TV etleurs réalisations.

5 : Les secteurs d’activités dans lesquels les web TV se développent.

6 : Les attentes des utilisateurs de web TV.

7 :L’avenir des web TV.

8-Annuaire de web TV.

1 :Qu’est ce qu’une web TV ?

a-Définition.

-Une web TV ou webtélé, permet aux internautes de regarder du contenu vidéo à partir du web. Une web TV utilise la technologie de la lecture continue(streaming) ou le téléchargement progressif pour diffuser ses vidéos sur le web.

b-Histoire des web TV.

-Les premières web TV sont apparues aux Etats-Unis lorsque la société Real Networks, fondé en 1993, a mis gratuitement à disposition des internautes son logiciel de streaming. Les logiciels de Real Networks ont d’abords été utilisés pour faire de la radio en ligne. La première diffusion radio surinternet a eu lieu en 1995.

-En France, les premières utilisations de la vidéo sur internet ont été professionnelles. La première diffusion vidéo sur internet en Europe a eu lieu en septembre 1997 lors du congrès mondial d’endocardiologie à Sienne, en Italie.

c-La situation actuelle des web TV.

-Aujourd’hui, presque toutes les chaînes de télévision classique sont accessibles en lignes,en direct ou en vidéo à la demande. Depuis maintenant 3 ans de très nombreuses entreprises ont lancé leurs webtélé, comme IBM, Adobe (www.adobewebtv.com), Verbodet ou encore Rothschild. Les administrations et les organisations d’Etats développent aussi leurs web TV, comme l’OTAN avec NATO TV.

2 : De quoi est composé une web tv ?

-La composante essentielle d’une web TV, c’est la vidéo.Généralement, chaque web TV traite d’un sujet bien précis. Les vidéos que l’on trouve, donc, sur cette web TV doivent traiter, elles aussi de ce sujet (par exemple l’équipe TV est une chaîne de sport, les vidéos que l’on va trouver sur sa web TV traiteront elles aussi de sport). Le nom de la web TV doit lui aussi être en rapport avec le thème traité (sauf si il s’agit de la web TV d’une entreprise ou d’unévénement, au quel cas la web TV peut porter le nom de l’entreprise ou de l’événement).

-Les web TV se composent généralement de deux éléments essentiels : le front office et le bach office. Le front office , c’est le visuel de la web TV, c’est son aspect extérieur, son aspect graphique. Le bach office , ce sont tous les éléments cachés de la web TV qui vont la rendre fonctionnelle et pratiquepour les internautes.

3 : Les web TV déjà réalisées par AMP interactive et les atouts et les défauts d’AMP interactive dans ce domaine.

Web TV réalisées par AMP interactive :

-La web TV du mondial de l’automobile de Paris.

-TV Vendée.

-Capgemini.

-Agora TV (la web TV du SATIS).

-Sportel.

Les atouts :

-AMP interactive est l’un des leaders sur le marché de la communicationvidéo et notamment dans le domaine des web TV. AMP interactive a réussi dans ce domaine en proposant une solution simple mais adaptée aux attentes des clients et des internautes. Cette solution, c’est un Player réutilisé sur toutes les web TV développées par AMP interactive mais adapté à chaque fois en fonction de la demande du client en thermes d’esthétisme et de fonctionnalités. Ce qui fait,aussi, la force d’AMP interactive c’est d’être une filiale d’AMP et donc de disposer de moyens techniques importants, de matériels de qualité et de personnels compétents.

Les défauts :

Les défauts d’AMP interactive sont :

-Son importance en termes de taille. En effet l’importance de la société AMP interactive, ainsi que le renom de sa société mère, AMP, semble repousser certains clients…

Echange clint eastwood

Clint Eastwood prolifique

Clint Eastwood enchaine les films. Après le dyptique Lettres d’Iwo Jima et Mémoires de nos pères, le réalisateur a donc mis en scène L’Echange. Il dirige pour la première fois la star Angelina Jolie qui enchaine depuis quelques années grosses productions (Tom Raider, Mr and Mrs Smith, Wanted) et films d’auteurs (Un coeur invaincu). L’Echange a été présenté au festivalde Cannes 2008, d’où il est reparti bredouille. Travaillant pied au plancher, Clint Eastwood a enchainé depuis avec le tournage de Gran Torino, qui sortira en 2009.
D’après une histoire vraie
Réalisé par Clint Eastwood, interprété par Angelina Jolie et John Malkovich, L’Echange est un drame émouvant et provocant, inspiré d’événements réels qui marquèrent en profondeur la ville de Los Angeles –l’histoire d’une femme courageuse et obstinée, qui mit en échec une police corrompue et aida par son combat à restaurer la dignité et l’égalité de tous face à la loi. Mars 1928. Un samedi matin, dans un quartier populaire de Los Angeles, Christine Collins, mère célibataire et standardiste, dit au revoir à son fils de 9 ans, Walter, et part au travail. De retour à son domicile, Christine estconfrontée au pire des cauchemars : son enfant a disparu. Des recherches sont lancées tous azimuts, qui restent vaines : Walter s’est évanoui dans la nature, sans laisser de trace. Cinq mois plus tard, la police retrouve un garçon qui prétend être le jeune Collins. Elle le restitue à Christine, en présence d’une meute de journalistes et de photographes, convoqués pour donner un maximum de retentissementà ce bel exploit policier. Bouleversée et étourdie par ce remue-ménage, Christine se laisse convaincre de reprendre l’enfant, mais elle sait dans son for intérieur qu’il n’est pas Walter. Christine pousse les autorités à continuer les recherches, mais, dans le Los Angeles de la Prohibition, une femme seule qui conteste le système s’expose à de sérieux risques. Vilipendée, traitée de folle et demère indigne, Christine trouve un allié en la personne du Révérend Gustav Briegleb, prêtre militant qui va l’assister dans son combat et ses recherches. Face à une police corrompue, qui doute de sa santé mentale, et à un public dubitatif, qui appelle de ses vœux un happy end, Christine poursuit sa quête obstinée. Au fil de cette odyssée, elle devient l’improbable héroïne et porte-drapeau des pauvreset des exclus, régulièrement victimes de la toute-puissante Police de L.A. La quête de Christine ne s’arrêtera pas avant qu’elle n’ait retrouvé son fils… ou que ceux qui se targuent de «Protéger et Servir» leurs concitoyens ne la réduisent au silence.
Une affaire parallèle

Une affaire parallèle, aussi troublante que l’énigme Walter Collins, émergea à cette époque : la ténébreuse affaire d’uncharismatique tueur pédophile nommé Gordon Stewart Northcott (interprété par Jason Butler Harner), qui pendant des années soumit Christine à un cruel jeu du chat et de la souris. En 1928, le jeune Sanford Clark (Eddie Alderson), neveu de Northcott, fit venir la police au ranch de son oncle, situé près de Wineville (Californie), pour y constater une découverte macabre. Les enquêteurs déterrèrentsur place les restes de plusieurs enfants tués à la hache. Sanford jura que Walter figurait parmi eux, mais rien ne permet de le conclure. La suite de l’enquête sur la « ferme de l’horreur » permit d’expliquer certaines des dizaines de disparitions de jeunes garçons signalées dans la région. On découvrit que Northcott (24 ans) et sa mère, Sarah Louise Northcott, avaient enlevé, torturé et tuéplusieurs jeunes garçons dans l’enceinte du ranch. Le tueur en série fut condamné et exécuté pour le meurtre de quatre garçons, mais on estime le nombre de ses victimes sensiblement plus élevé. Narcissique à souhait et décidé à se faire un maximum de publicité, le tueur multiplia jusqu’au bout les déclarations contradictoires sur le sort de Walter. Sa mère et complice fut condamnée à la réclusion à…

Test

L’organisation du travail
Avec la révolution industrielle, la division du travail s’est développée (cf. Smith). La notion d’appareil productif ne se limite pas à sa dimension économique et technique (progrès technique, innovations, investissements, profits…), il faut aussi tenir compte de la dimension sociale de l’entreprise. Toute forme d’organisation du travail présente aujourd’hui 4objectifs :
* produire le plus possible
* dans les délais les plus courts
* avec le moins d’efforts
* en tenant compte de la qualité
Le sociologue Alain Touraine distingue 3 phases dans l’évolution de l’organisation du travail :
* l’ancienne organisation du travail
* le taylorisme – fordisme
* le post-taylorisme
I – Phase A : l’ancienne organisation du travail
Composée del’artisanat et des petites entreprises. L’ouvrier était qualifié et était capable de transmettre son savoir-faire aux plus jeunes. Il avait une certaine liberté et les rapports humains étaient plus importants (confiance).
II – Phase B : le taylorisme – fordisme
A – Le taylorisme
Le taylorisme est dû à un ingénieur américain, Taylor (1856-1915), qui a poursuivi la pensée d’Adam Smith : il créel’Organisation Scientifique du Travail (OST), i. e. une organisation rationnelle reposant sur 3 principes :
1 – Séparation radicale entre la conception et l’exécution
C’est la division verticale du travail. La conception concerne les bureaux des méthodes dont le rôle est de penser (cols blanc). L’exécution concerne les ateliers dont le rôle est de fabriquer (cols bleus). L’objectif est de mettre envaleur le savoir de l’ouvrier.
2 – Découpage des activités en tâches élémentaires et non qualifiées
C’est la division horizontale du travail : la parcellisation des tâches :
* une tâche simple
* une tâche répétitive
* en peu de temps
* la méthode la plus efficace : « the one best way »
3 – Le salaire au rendement
L’appât du gain permet de stimuler l’activité et la productivité etd’obliger l’ouvrier spécialisé (OS) à suivre la cadence.
B – Le fordisme
Ford (1863-1947) complète l’oeuvre de Taylor et introduit 3 innovations fondamentales :
1 – La standardisation du produit (sur le plan économique)
Pour que la chaîne soit efficace, il faut produire des objets identiques, standardisés pour que cela permette la production de masse et les économies d’échelle.
2 – La chaîned’assemblage (sur le plan technique)
Une fois le travail parcellisé, celui-ci peut être mécanisé. L’OS ne bouge plus : l’objet vient à lui. C’est la machine qui donne le rythme au travailleur.
3 – Une politique de hauts salaires (sur le plan social)
Hausse de la productivité : gains de productivité : plus de partages : augmentation des salaires.
Une consommation de masse devient alors possible pourabsorber la production de masse (école de la régulation fordiste). Il faudra attendre les 30 Glorieuses pour que la production de masse soit associée à la consommation de masse (politique de l’Etat providence de Keynes).
C – Les résultats du taylorisme et du fordisme
Ses conséquences positives
Hausse de la production, hausse de la productivité :
* conséquences micro-économiques :
*salariés : hausse des salaires, baisse du temps de travail
* entreprises :
* gains de productivité :baisse des prix : hausse des parts de marché : augmentation des profits
* multiplication des postes de travail : tâches identiques et interchangeable : plusieurs équipes en chaîne continue : hausse de la productivité des équipements
* conséquences macro-économiques :* mise en place du cercle vertueux de la croissance. Les gains de productivité permettent de rentrer dans une spirale fordiste :
* hausse des salaires : consommation de masse
* production à moindre coût : économies d’échelle et standardisation : production de masse (théorie de la régulation)
* hausse du niveau de vie et transformation du mode de vie…

Voltaire

www.comptoirlitteraire.com

André Durand présente

‘’Candide ou l’optimisme’’

(1759)

roman de Voltaire

(100 pages)

pour lequel on trouve un résumé
puis successivement l’analyse de :
l’intérêt de l’action (page 3)
l’intérêt littéraire (page 4)
l’intérêt documentaire (page 5)l’intérêt psychologique (page 5)
l’intérêt philosophique (page 6)
la destinée de l’œuvre (page 8)
différents chapitres : 1, page 9 ; 2, page 9 ; 3, page 10 ;
5, page 12 ; 6, page 14 ; 7, page 15 ; 8, page 16 ;
16, page 16 ; 17 et 18, page 17 ; 17, page 18 ;18, page 19 ; 19, page 20 ; 20, page 22 ;
-23, page 22 ; 29, page 23 ; 30, page 24).

Bonne lecture !

Résumé

En Westphalie, dans le château du baron Thunder-ten-tronckh, vit un enfant illégitime de sa soeur et d’un gentilhomme qu’elle n’avait pas voulu épouser faute de quelques quartiers de noblesse. Ce garçon doté d’«un jugement assez droit avecl’esprit le plus simple», doux de caractère, est appelé Candide. Il mène la vie la plus agréable puisque son précepteur, le savant Pangloss, qui est féru de «métaphysique-théologo-cosmolonigologie», prône l’illustre théorie suivant laquelle, puisque toute cause produit d’une manière inéluctable la meilleure fin, «Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles». Candide le croit jusqu’aujour où le châtelain trouble cette quiétude en le surprenant à donner un baiser à sa fille, la charmante Cunégonde. Sur l’heure, Candide est chassé de ce monde idyllique «à grands coups de pied dans le derrière».
Après une nuit d’errance, de froid et de désespoir, il est enrôlé à son insu dans l’armée du roi de Bulgarie. Il déserte, est passé par les verges, doit participer à une bataille qui estune «boucherie héroïque» où il voit toutes les horreurs de la guerre.
Il réussit à fuir et passe en Hollande. Recueilli par Jacques l’anabaptiste, il retrouve par un heureux hasard son précepteur, Pangloss, défiguré par la vérole et qui lui fait le récit apocalyptique de la destruction du château et de l’assassinat de la baronne, Cunégonde n’ayant pas, selon lui, échappé au massacre, ce qui faits’évanouir de chagrin Candide.
Sitôt remis de ses émotions, il part pour Lisbonne avec Pangloss et Jacques qui est victime d’une tempête en mer. À leur arrivée, les deux compagnons sont témoins du tremblement de terre qui détruit la ville et massacre trente mille habitants.
Un auto-da-fé étant organisé, ils font les frais des traitements injustes de l’Inquisition, lui étant fessé et Panglossétant pendu.
Mais une vieille qui prend soin de Candide lui fait retrouver sa chère Cunégonde qui a survécu miraculeusement, mais est la maîtresse à la fois du grand Inquisiteur et du banquier juif de la Cour. Il tue l’un et l’autre et s’embarque avec sa bien-aimée pour l’Amérique du Sud.
À Buenos Aires, il doit s’enfuir et abandonner sa dulcinée aux mains du gouverneur.
Guidé par le débrouillardCacambo, il traverse le Paraguay, territoire, merveilleusement organisé mais despotiquement gouverné par les jésuites dont l’un se trouve être le frère de Cunégonde que Candide est amené à tuer quand l’autre déclare refuser de le voir épouser sa bien-aimée.
Les deux compagnons se retrouvent prisonniers des Oreillons, peuplade ennemie des jésuites qui l’ont spoliée de ses terres, et se résignentà être bel et bien dévorés par ces anthrophages, quand le beau discours de Cacambo sur la nature de l’homme les sauve de justesse.
Les deux fuyards arrivrent par hasard à l’Eldorado, pays de rêve, société idéale où les sages habitants, éclairés par la religion naturelle, placent le bonheur au-dessus des richesses matérielles.
Mais Candide veut retrouver Cunégonde et être riche hors d’Eldorado…

Rousseau

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Quels effets les mesures récentes en matière de protection sociale peuvent-elles avoir sur la cohésion sociale ?————————————————-

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Dans les quartiers dits sensibles, les jeunes connaissent trois lieux de vie : la famille, l’école et la rue. Chaquelieu a sa culture et son influence. Mais pour la majorité, c’est la rue qui marque le plus, avec son propre langage, ses codes, et l’usage de la violence. Ils y vivent entre-pairs, entre égaux. Leurlangage, leur vocabulaire peuvent être incompréhensible pour les adultes. La famille est renvoyée à l’écart : les adultes sont de moins en moins à l’aise pour intervenir, ou sont discrédités. L’écoleserait le lieu d’apprentissage du lieu pour vivre ensemble mais la formation des professeurs est mal adaptée à la culture de ces nouveaux adolescents. La protection sociale c’est l’ensemble desdispositifs mis en place pour assurer et aider les individus devant les risques majeurs de l’existence (chômage, maladie, vieillesse, famille). La protection sociale a donc à la fois des objectifs matériels(permettre aux individus de survivre quand ils sont malades, ou âgés, ou chargés de famille nombreuses, par exemple) et des objectifs sociaux (réduire l’inégalité devant les risques de la vie et assureraux individus un minimum de revenus leur permettant d’être intégrés à la société). La cohésion sociale est le ciment qui assure l’unité d’un groupe social. Elle n’est pas pour autant synonymed’absence de conflit. On peut parler de cohésion sociale dès lors que le groupe coopère et que ce qui rassemble l’emporte sur ce qui divise.
La cohésion sociale se construit à travers les différentes formesde lien social : marchand, politique, symbolique. Cette cohésion favorise donc l’intégration des individus, c’est-à-dire la participation à un réseau de relations sociales qui confère aussi une…

Un buen partido

Un buen partido

Este documento es un extracto de una novel intitulada Una magia modesta, escrito por Adolfo Bioy Casares en mil noveciento noventa y ocho. Hay dos personajes principales : Lorenzo Garcia Gaona un joven maestro, y su padre. La escena se pasa en la provincia del sur de Buenos aires, en la Colorada. Lorenzo que estaba descansando en los brazos de una mucamita encontro a su padreque, hacìa tiempo, queria hablar con él de su futura esposa. El texto se compone de tres partes : la primera, de la linéa 1 a 6, es una presentacion de la felicidad que Lorenzo podrìa haber seguido a disfrutar ; la secunda parte de la linéa 7 a 26, es la renuncia a la felicidad , y para concluir la moral ironico dejado por el narrador.

Lorenzo se descride como un joven lleno de vitalidad, ycuyo ùnica defecto es que es un poco sordo. Pero disfruta de la vida en brazos de Paula, una mucamita. Desde la primera frase, el narrador inciste sobre la juventud, la juventud que cumplido la vida de Lorenzo, porque vida libremente su juventud con la joven doméstica sin preocuparse de tradiciones que impone el matrimonio y las buenas costumbres. Es aquí su relación con la mucamita qué lo haceplétora de juventud y la expresión de esta satisfacción aparece a la segunda línea al discurso directo con la exclamación  » ¡ Qué bueno! « . Es también la sola exclamación del texto, el autor indica así que la verdadera satisfacción no se encuentra en la aceptación del matrimonio sino únicamente en el momento de estas siestas a los brazos de Paula. « Qué bueno ! » marca también la afirmación de unavoluntad de vivir, la ausencia de toda forma de exclamación en el momento del diálogo con el padre, es entonces la marca de una renuncia a su voluntad de vivir y a la felicidad de vivir libre.

La llegada de padre significa una vuelta de la orden, de la autoridad y de la dominación patriarcal, es la vuelta en serio que contrasta la ganas de vivir. Lorenzo, se pliega frente a la orden, aceptasin vacilar hasta esta vuelta de la autoridad (línea 13 sentenciosamente  » acentuación del carácter autoritario del padre), esta llamada en serio que le lanza su padre. El diálogo entre el padre y su hijo ocupa los dos terceros del texto, es una fase de transición entre dos párrafos, el primero muestra una vida de plenitud, el segundo una vida de asco. Delante de la dominación de la figurapatriarcal, el joven se somete en detrimiento de su placer. Lorenzo está conforme toda los pensamientos de su padre, a la línea 12  » De acuerdo « , linea 16  » Hago mia tu preocupacion « . Los puntos suspensivos a la línea 18 indican el momento cuando, mucho más que de aprobar las palabras de su padre, Lorenzo va hasta adelantarles. Aparta de mismo el pensamiento de casarse al que lo llena de alegría devivir y piensa como su padre a casarse con Domiga Souto. El padre encuentra su satisfacción en la decisión de su hijo. Sin embargo, el retrato que Lorenzo hace de Domiga es lo contrario total del que hace de Paula. Mientras que Paula lo colme de alegría, Domiga,  » bastante fea y algo boba  » le da un disgusto real y justo al sonido de su voz. Este casamiento no es la posibilidad de vivir un amorverdadero. Lo que motiva al padre es el estatuto social de Domiga, piensa sólo en su distincto social (línea 24-25:  » serà una esposa envidiada por el vecindario « ).

Ce mariage voulu et assumé par Lorenzo pour la fierté de son père, porte un goût amer. L’auteur s’exprime avec ironie, il utilise une antiphrase à la ligne 27. L’absence de bonheur dans sa vie conjugal contraste avec le bonheur éprouvéavec Paula. Pour la tradition et les désirs de son père Lorenzo renonce à ces propres désirs. La fin de texte est comme une mise en garde à tous ceux qui comme Lorenzo ne faut qu’obéir au détriment de leur bien. Domiga en plus d’être désagréable par sa voix, d’être laide et sotte, le narrateur en rajoute et nous indique qu’elle se révèle être en plus peu charmante et orgueilleuse ; au…

Marketing

DEVELOPPEMENT &
MARKETING DURABLE

DEVELOPPEMENT &
MARKETING DURABLE

Développement durable, comment un concept se traduit en avantage stratégique: étude de l’entreprise SINEO
Développement durable, comment un concept se traduit en avantage stratégique: étude de l’entreprise SINEO
ASKANIAN ALEXANDRE
Master 1Européen Management et
Stratégie des entreprises. (2010/2011)
ASKANIAN ALEXANDRE
Master 1 Européen Management et
Stratégie des entreprises. (2010/2011)

Table des matières

PREMIERE PARTIE : LE MARKETING DURABLE DANS LE MONDE 4
Introduction 5
I- Développement durable : 7
1- Définition 2: 7
2- Piliers du développement durable : 8
II- Marketing durable : 9
1- Définition duMarketing durable 5 : 10
2- Concepts voisins: 10
3- Stratégie du marketing durable : 12
4- Zoom sur quelques entreprises impliquées 8: 15
5- Conclusion 17
DEUXIEME PARTIE : Le Développement Durable En France et en Europe 19
I- Introduction : 20
II- Et si on changeait nos habitudes ? 21
III- Et si on se déplaçait mieux ? 23
IV- Et si on habitait différemment ? 24
1-Changement climatique 24
2- Système d’échange de droit d’émission 24
3- Biodiversité 25
4- Santé et environnement 26
5- Développement durable 26
TROISIEME PARTIE : LE CAS SINEO 28
I- Sinéo, le respect de l’homme et de l’environnement 29
II- Présentation de l’entreprise Sinéo. 30
1- Historique 30
2- Carte de visite 31
3- Les services 32
4- Les Clients 34
5- Lesconcurrents 34
6- Le réseau 35
6.1- en France 35
6.2- Implantation en Belgique 36
III- Les Valeurs de SINEO 37
1- L’innovation 37
a- Concept SINEO 37
b- Le procédé 38
c- Qualité et compétences 38
2- L’environnement 39
a- Les économies d’eau 39
b- La maitrise des déchets 39
c- Les écoproduits 40
d- sensibilisation 40
3- Le Social 41
a- Management 41
b- Lespartenaires 42
IV- Les produits 43
1- La fabrication 43
a- Les compétences 43
b- Cycle de fabrication 43
c- Technique révolutionnaire 44
2- La Certification européenne ECOLABEL 45
3- La Gamme de produit complète 47
Conclusion Générale 48
Bibliographie et Webographie 49

Introduction générale

Dans un contexte économique de plus en plusuniversel, la fonction marketing ne cesse d’évoluer sous la pression des changements sociaux et environnementaux et sa mission s’élargit pour toucher des domaines autres que le produit ou la marque.

Dans le cadre du programme Master européen Management et stratégie des entreprises (MSE) d’ICOGES Rhône-Alpes, et comme aboutissement des enseignements suivis tout au long de cette année 2010/2011,j’ai choisi de traiter de l’évolution sociale et écologique de la fonction marketing dans l’ère de développement durable, et plus particulièrement du cas du SINEO.

Dans un premier temps, et dans un cadre plus global, la première partie traitera du concept de développement durable et de son impact sur la fonction marketing dans les pays développés. Ceci permettra par la suite de se focaliser sur lecas de SINEO et étudier les actions et réactions de l’entreprise quant à cette nouvelle tendance managériale et enfin, conclure par des recommandations marketing.

PREMIERE PARTIE :
LE MARKETING DURABLE DANS LE MONDE

Introduction

Selon l’ « observatoire de développement durable et de l’image institutionnelle des entreprises », l’étude barométrique menée par le cabinet IFOP, 73% desFrançais trouvent que les entreprises ne sont pas respectueuses de l’environnement et 67% qu’elles ne sont pas attentives aux principes d’éthique et de déontologie1.

Ces résultats sont dangereux pour l’image institutionnelle des entreprises qui essaient, tant bien que mal, par une communication orientée « protection de l’environnement », « aide aux plus démunis », … de se différencier et de se…

Cours science politique droit

Science politique

CHAPITRE INTRODUCTIF : l’avènement de la démocratie contemporaine

SECTION 1 : l’avènement du suffrage universel

§1 : Elargissement du corps électoral : un processus chaotique

l’apparence d’un élargissement continu et inéluctable du droit de suffrage

Elargissement progressif en Europe occidental il se fait par étape :
• introduction du suffrage universelmasculin
A partir de la révolution française ce principe est posée dans la constitution de 1793 mais celle-ci n’a pas été achevé il faudra donc attendre 1848 pour que débute véritablement le SU.
C’est la France qui l’introduit lors de la 2nd république et la Suisse suit la France. Cette 1ere phase s’achève lors de la fin de la 1er GM se propage en Europe occidentale. Ce qui a prévalu c’est unecroyance d’une évolution inéluctable du SUM, et cette vision apporté par un auteur Alexis de Tocqueville dans l’ouvrage de la démocratie en Amérique. Cet auteur considère que le mouvement de l’histoire est en marche et ce mouvement c’est l’aspiration des masses a désigner ce qui vont gérer les affaires de l’Etat = « la passion égalitaire ». en penseur libéral T considère que la Q° démocratique serésume a un seul enjeux = la passion de la liberté face a la passion égalitaire. Il y aurait donc une pression sociale des citoyens pour élagire le suffrage.
les caractéristiques de cette démocratie : abaisser les barrières qui restreignent le droit de vote :
– barrière économique = le suffrage censitaire
progressivement réduite cette barrière. Par ex sous la restauration en France ce qui paisun impôt de 300 franc or alors que monarchie de juillet 200 franc or ce qui permet de doubler le nombre des électeurs en France.
Loi de 1832 et après de 1867 et enfin une série de loi de 1884 et 1885 permet en Angleterre d’augmenter le nombre d’électeurs = 60%.
Les règnes du cens économique ne privilégie pas les mêmes catégorie de personnes. En FR= favorable aux propriétaires fonciers, au RU =propriétaires industriels…
-barrière culturelle
il faut un niveau de diplôme pour pouvoir voter, par exemple en Italie il ne faut pas être analphabète.
A la fin du 20e siècle 2 dernier seuil sont franchi ; le droit de vote des jeunes (abaissement de l’age de la majorité) ce mouvement a lieu au début des années 70 en Allemagne en France dans le but de la modernisation de la vie politique.Dissociation opérée entre citoyenneté et nationalité. On permet dans une démocratie a des ressortissants non nationaux de pouvoir voter dans différents Etats. Mouvement partis de l’Europe du nord et il s’est diffusé dans le cadre européen, le traité de Maastricht en 192 permet a des ressortissant de l’union de voter dans des pays ou ils sont résidents mais pas nationaux dans le cadre des électionslocales.
La vision de T doit être relativisée parce que cette progression a donner lieu a de nombreuses luttes, il y a donc eu des avancées mais aussi des reculades.

les caractéristiques du processus de démocratisation

Cette extension du droit de suffrage a suivie des voies très diverses, pas de processus unique. Cette progression a été chaotique. Le SUM n’a pas été acquis une fois pourtoute.
ROKKAN auteur de politique comparé qui a distinguer modes de propagation de la démocratie.
• modèle anglais
processus lent continu (trois lois du suffrage censitaire. On retrouve ce modèle dans les pays qui ont connu une territorialisation ancienne avec continuité dans les institutions, avec des organes représentatifs (chambre des Lords)
• modèle français
SUM par décret en 1848,on passe a environ 10 millions d’électeurs. Mais 2 ans plus tard retour en arrière par une loi du 31 mai 1850 on introduit une obligation de résidence depuis au moins 3 ans on renforce aussi les exclusions. Cette loi = 6 millions d’électeurs.
Ce modèle est fait de retour en arrière et il est composé a des pays qui se sont constituées tardivement (frontières évoluées au cour de l’histoire) il…

Obs cli

« Soirée entre mecs » comme l’appelle les jeunes. Les deux éducateurs présents en effet ce soir là sont des hommes, je suis donc la seule fille sur l’étage, puisque j’effectue mon stage au sein d’uneMECS auprès d’un groupe d’adolescents.
La soirée se déroule tranquillement, quand tout d’un coup deux jeunes commencent à chahuter, … Et là, sous mes yeux ébahis un des éducateur prend part etcommence à se chamailler avec les jeunes, ils se poussent, feintent des prises, ce qui pour moi ressemble à une sorte de combat sans réelle violence ni règle.
A cet instant je revois mes frèreschahuter de la même manière et me rappelle qu’ils considéraient cela comme un jeu, un moyen de s’occuper et de rigoler. C’est une façon de s’amuser qui m’ a toujours dépassée, peut être parce que je suisune femme. Je me dit que les garçons ont peut être besoin de montrer dans un certain sens leur force, de se mesurer à l’autre, même si, dans ce cadre, ils ne cherchent pas à se faire mal et ne recourtpas à une réelle violence. Je ne trouve pas de réelle réponse à ce que ces imitations de bagarres peuvent leur apporter …..
Cependant à cet instant je ne peux m’empêcher de me dire qu’ils vontprendre un mauvais coup, se faire mal, que ça va dégénérer. Je me demande comment l’éducateur va réussir à les calmer ensuite, et surtout je me demande si cela ne va pas dégénérer à un moment. Car mêmes’ils ont l’air de faire attention ils ne sont pas à l’abri de se faire mal sans faire attention et je me demande si dans ce cas là le jeune ne se laisserais pas dépasser par un élan de violence etpour certain d’entre eux ne maitriseraient plus leur force.
Peut être que je me pose trop de question face à cela puisque les jeunes sont plutôt détendus et rigolent. Certains se prennent au jeux enendossant le rôle de commentateur du « combat ».
Cependant le fait que l’éducateur participe à ce chahut me pose d’autant plus question, que ce soit sur la distance à tenir avec ces jeunes (cette…