Eps crpe

Des actions globales à base de déplacements élémentaires aux activités athlétiques – courir, sauter, lancer
Compétences de l’élève Cycle 1 Réaliser une action que l’on peut mesurer Être capable de : courir, sauter, lancer de différentes façons (par exemple : – courir vite, sauter loin avec ou sans élan) ; – courir, sauter, lancer dans des espaces et avec des matériels – variés (par exemple :lancer loin différents objets) ; – courir, sauter, lancer pour « battre son record » (en temps, en distance). Actions globales à base de locomotion; exercices des capacités motrices dans des situation variées, incluant la rencontre et l’utilisation d’obstacles matériels: marcher, courir, sauter, lancer… Adaptation des conduites motrices: efficacité et précision, ajustement global des actions enfonction des trajectoires d’objets en mouvement, appréciation des distances, réaction à un signal Activités athlétiques. d’effectuer un parcours “ athlétique ” adapté dans lequel il devra : courir vite 30 m dans un couloir. Cycle 2 Réaliser une performance mesurée mettant en jeu des actions motrices variées, caractérisées par leur force, leur vitesse (par exemple : sauter loin, lancer fort, courir vite);- dans des espaces et avec des matériels variés (par exemple : lancer loin un objet léger) ; – dans des types d’efforts variés (rapport entre vitesse, distance, durée) ; – de plus en plus régulièrement. Cycle 3 Réaliser une performance mesurée : de différentes façons (en forme, en force, en vitesse…), par exemple : sauter haut, courir vite… ; dans des espaces et avec des matériels variés, parexemple : – lancer loin un objet lourd, courir en franchissant des obstacles…; – dans différents types d’efforts (relation vitesse, distance, durée), par exemple : nager longtemps ; – régulièrement et à une échéance donnée (battre son record). Les activités athlétiques où la performance est mesurable peuvent faire l’objet d’apprentissages de type technique; elles se prêtent à l’utilisation desnotions de vitesse, de rythme, d’accélération, de trajectoire, d’intensité, de durée. Mise en oeuvre : · activités athlétiques.

Les activités

Les activités athlétiques, les courses avec ou sans obstacles, les sauts et les lancers avec ou sans élan, les parcours variés, qui se prêtent à l’usage de la mesure pour l’appréciation des performances. Activités athlétiques.

L’élève de Cycle …sera capable

d’établir une performance en lancer, course et saut, établissant une relation entre le résultat et sa manière de faire :

d’établir une performance – en course de vitesse et d’obstacles. – en course longue.

sauter par-dessus un obstacle bas (hauteur de genoux) ou au-delà d’un espace délimité (environ 1 mètre). lancer des objets légers (balle, sacs de graines…) dans des ciblesadaptées, verticales ou horizontales.

lancer loin de manière adaptée des objets variés. sauter loin et haut. courir sur le plat ou des obstacles, vite ou longtemps.

SAVOIRS A Habiletés motrices : CONSTRUIRE – utiliser et affiner des actions élémenQue doit aptaires (courir, sauter, lancer) dans un prendre l’élève milieu aménagé et contraignant. ? Méthodes : – intégrer les contraintes liéesaux consignes du maître et à l’aménagement matériel. – – reconnaître le résultat de son action. Attitudes et motivations : – accepter de réussir, d’échouer. – accepter de passer à son tour. Notions et connaissances : – vite, loin, limites (dehors, dedans…), cible, trajectoire.

Habiletés motrices : – lancer en rotation (un cerceau, une comète) ou en translation (une balle légère, un javelotd’initiation…). – sauter : passer d’une course à une suspension pour aller loin, pour aller haut. – courir : adapter sa course à la distance à parcourir ou d’une durée. Méthodes: – mesurer, comparer des performances. – observer, identifier des “manières de faire”. – mettre en relation une performance mesurée et des manières de faire. Attitudes et motivations : – accepter les contraintes, la…

La seconde guerre mondiale : une fatalité ?

La 1ere Guerre mondiale est l’évènement marquant du début du XXème siècle. Commencée en 1914 pour s’achever en 1918, cette guerre devait durer peu de temps, quelques mois seulement, car on avait conscience de la puissance meurtrière des nouvelles armes. Au total, jusqu’en 1918, elles vont vomir la mort : plus de 20 millions de morts dans le deux camps sont à déplorer et plus de 21 millions deblessés . Les bélligérants de cette tragédie sont nombreux : France, Russie, Royaume-Uni, Serbie, Italie, Etats-Unis, Belgique, Japon, Allemagne, l’Autriche-Hongrie, l’Empire Ottoman et la Bulgarie. Cette guerre, parfois qualifiée de totale, a atteint une échelle et une intensité inconnues jusqu’alors.
Sachant les malheurs que cette guerre a amené : aurait-il été possible d’ empêcher cette dernière? Il convient d’arrêter le temps pour tenter de comprendre les mentalités des gens de l’époque en nous intéressant dans un premier temps à la montée du nationalisme qui prônait la Guerre. Ensuite, nous verrons en quoi consiste l’engrenage des alliances et enfin, nous examinerons le mouvements qui aurait pu arrêter à temps ce drame : le Pacifisme.

Le nationalisme c’est le sentiment de vifattachement à la nation, c’est-à-dire d’une grande exaltation de l’idée nationale ; c’est également une doctrine politique qui a pour priorité absolue l’intérêt national, aux intérêts particuliers d’une part et sur les intérêts des autres nations d’autre part ; le nationalisme c’est surtout la volonté d’un peuple de posséder un territoire national, c’est une doctrine qui revendique le droit pour unenationalité de former sa propre nation. De 1907 à 1914, un nationalisme agressif
s’exacerbe dans tous les pays.
En Allemagne, le nationalisme porte le nom de pangermanisme. Il remonterait des années 1800, suite aux guerres napoléoniennes : les Allemands étaient, à cette époque un peuple sans unité politique depuis la Réforme, lorsque le Saint Empire romain germanique fut divisé en une sériede petits États indépendants. Les nouveaux nationalistes allemands, principalement de jeunes réformistes, désiraient réunir l’ensemble du peuple partageant l’ethnie et la langue allemande, les Volksdeutschen. Ainsi se développe le Volkstum, rassemblement de tous les hommes de même langue, de même culture.
L’identité binationale en Autriche-Hongrie quant à elle forme une situation particulièrepour cet État, Empire central en Europe.
Le XIXe siècle voit la naissance ou l’affirmation de sentiments nationalistes au sein des différents peuples regroupés sous l’autorité de l’Empire Austro-hongrois, avec par exemple la « Renaissance nationale » tchèque.
En France, le nationalisme renaît suite à des conflits précédents non résolus comme la perte de l’Alsace-Lorraine. Accompagné d’unepropagande intense, le nationalisme commence à se graver dans l’esprit des français qui réclament de plus en plus la Guerre et les mesures adéquates vont être prises pour s’y préparer.
En effet, dans les deux camps, la course aux armements s’accélère et il y a surenchère dans la préparation de la guerre. Les dépenses consacrées aux armées
s’envolent. Les fortifications frontalières ,l’artillerie (le fameux canon de 75 de l’armée française) et les flottes de guerre (le Dreadnought britannique et les cuirassés allemands) absorbent une bonne partie des budgets des États. Le matériel est modernisé et la durée du service militaire allongée dans plusieurs pays : en France, la durée du service militaire passe à 3 ans en août 1913 pour pallier l’infériorité numérique de la France face àl’Allemagne, cette réforme n’a d’ailleurs pas vraiment posée problèmes aux français.

Ainsi, l’Europe est dirigée par les idées nationalistes : la Guerre serait alors inévitable. L’équilibre est fragile en Europe depuis le début du XXème siècle et il s’en est fallu de peu pour que la guerre éclate en 1911. Mais en 1914, l’engrenage des alliances s’est déclenché et la Guerre a été déclarée.

Tout…

Facebook

Facebook est un réseau social sur Internet permettant à toute personne possédant un compte de créer son profil et d’y publier des informations, dont elle peut contrôler la visibilité par les autrespersonnes, possédant ou non un compte. L’usage de ce réseau s’étend du simple partage d’informations d’ordre privé (par le biais de photographies, liens, textes, etc) à la constitution de pages et degroupes visant à faire connaitre des institutions, des entreprises ou des causes variées. L’intégralité des informations publiées sur ces deux supports, à l’inverse du profil, peut être consultée parn’importe quel internaute sans qu’il soit nécessaire d’ouvrir un compte (à l’exception cependant des noms des membres qui sont occultés en partie dans ce cas).

Le nom du site s’inspire des albumsphoto (« trombinoscopes » ou « facebooks » en anglais) regroupant les photos prises de tous les élèves au cours de l’année scolaire et distribuées à la fin de celle-ci aux étudiants. Facebook est né àl’université Harvard : c’était à l’origine le réseau social fermé des étudiants de cette université, avant de devenir accessible aux autres universités américaines. La vérification de la provenance del’utilisateur se faisait alors par une vérification de l’adresse électronique de l’étudiant. Le site est ouvert à tous depuis septembre 2006.

Le 2 octobre 2008, Facebook annonce l’implantation deson siège international à Dublin, en Irlande (pour les marchés européen, africain et moyen-oriental)[5],[6]. Le 9 octobre 2008, Facebook annonce l’ouverture d’un bureau à Paris.

En juillet 2010,Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, annonce sur son blog que Facebook regroupe plus de 500 millions de membres actifs[7]. Selon les informations officielles, ils étaient 17,2 millions en France enavril 2010[8] et 2 752 100 au Québec en 2008[9]. Certaines études indiquent cependant que le nombre d’utilisateurs est largement surestimé[10]. Selon Alexa Internet, c’est en 2009 le deuxième site le…

Presse

Rencontre avec >

Par une matinée de grand frimas, j’ai fait la rencontre de chez mon marchand de journaux. Rencontre chaleureuse et inoubliable, issue d’un purhasard, en un lieu convivial.

Elle s’est présentée à moi avec une grande élégance, du peps et plein de vitalité. J’ai tout de suite été séduite. J’ai alors souhaité faireplus ample connaissance (abonnement oblige). Ainsi, au fil des semaines, nous nous sommes liées d’amitié. Elle est devenue une de mes meilleures amies, et je lui suis trèsfidèle. Mon engouement est tel qu’il ne se passe pas une semaine sans que je prenne de ses nouvelles.

Rencontrer , c’est être une dame , désireuse
de découvrir lesdernières nouveautés sur les modèles de haute couture et de la joaillerie, d’apprendre l’art culinaire et l’art d’un maquillage sophistiqué. Elle sait être généreuse en conseils,m’offre des échantillons de produits de beauté pour toutes les bourses. J’apprécie les articles qu’elle propose, accessibles de par leur concision, agrémentés de photos auxcouleurs vitaminées. Je côtoie les artistes de très près. Pour ma part, représente l’élégance, le raffinement, l’inattendu dans les tendances. Elle est pétillante, sacompagnie me ravit.

Elle sait me faire rêver. Et quand le rêve ne m’est pas accessible, elle m’insuffle un élan de créativité. Depuis, nous avons grand plaisir à nousrencontrer tous les samedis, sans exception, quel que soit le temps, et dès la première heure.

Je dois vous avouer que je me sens être également une petite >, car j’ai plaisir àfaire partager tout ce raffinement à mes amies et collègues de travail, et les invite vivement à faire cette subtile et délicieuse rencontre.

Une lectrice enchantée.

Travail de fin d’etudes

Blaise Pascal Le classicisme
(1623-1662)

« Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. »
Plan de l’exposé :1. Biographie2.Tableau des œuvres3.Thèmes : I. La condition humaine
a) Disproportion de l’homme
b) L’ennuie
c) L’imagination et le divertissement
II. La science selon Pascal
a) Le savant
b) Les deux infinis
c) Différences d’ordre
III. La foi selon Pascal
a)Pascal etle déisme
b) L’apologétique
IV. L’art de persuadera) L’égoïsme intellectuelb) Respect de la singularité de l’autrec) Se mettre à la place de l’interlocuteurd) Art de convaincre – Art d’agréere) L’inconstance humaine
4. Style :a) Brièvetéb) Dialogue
c) Publicitéd) Polémique5. Extraits (Les Pensées) :a) L’homme esclave du divertissementb) Le roseau pensant6. Conclusion7.Lexique8.Bibliographie1.BiographieBlaise Pascal est né le 19 juin 1623 à Clermont, en Auvergne. Son père, Étienne Pascal, très intéressé par les mathématiques et les sciences, était un juge local et membre de la petite noblesse. Sa mère, Antoinette Bégon mourut lorsqu’il avait trois ans. La famille Pascal (le père Étienne, son fils Blaise et ses deux filles Gilberte et Jacqueline) s’installa alors à Paris en novembre1631. À partir de 1635, Étienne Pascal fréquenta avec son fils l’Académie de mathématique fondée par le philosophe Marin Mersenne en 1635. Génie précoce, le jeune Blaise Pascal écrivit un Traité sur les sons à l’âge de onze ans, réinventa les théorèmes d’Euclide jusqu’à la trente-deuxième proposition alors qu’il n’avait que douze ans. En 1638, Étienne, opposé aux dispositions fiscales du Cardinalde Richelieu, quitte Paris avec sa famille pour échapper à la Bastille. Lorsque Jacqueline, sœur de Blaise, dit un compliment particulièrement bien tourné devant Richelieu, Étienne obtient sa grâce. En 1639, la famille s’installe à Rouen où Étienne devient commissaire délégué par le Roi pour l’impôt et la levée des tailles.
En 1646, la famille Pascal se convertit à un christianisme. Deuxinfluences de base le guident vers sa conversion : le jansénisme et la maladie. En 1646, le père de Pascal s’est démis la cuisse en tombant sur la glace, il est soigné par deux médecins jansénistes (La Bouteillerie et Deslandes), disciples de Jean Duvergier de Hauranne (abbé de Saint-Cyran) qui introduisit le jansénisme en France. Blaise parle fréquemment avec eux durant les trois mois du traitement deson père, il leur emprunte des livres d’auteurs jansénistes, en particulier enthousiasmé par le Discours de la réformation de l’homme intérieur écrit par Cornelius Jansen en 1628, dont il ressort si vivement marqué qu’il communique son admiration à ses proches, certains affirmant donc que ce fut là la date de sa « première conversion ». Son père meurt en 1651 et Pascal prend possession de son héritageet de celui de sa sœur Jacqueline. Cette même année, Jacqueline entre à l’abbaye de Port-Royal de Paris, en dépit de l’opposition de son frère. Quand le temps vient pour elle de prononcer ses vœux définitifs, il refuse de lui rendre une part de son héritage pour payer sa dot de nonne ; sans argent elle aura une position moins élevée dans la hiérarchie du couvent. Ainsi, Pascal se trouve à la foisriche et libre. Ce n’est qu’en 1653 qu’il acceptera de lui constituer une dot.

Sa croyance et son engagement religieux réactivés, Pascal loge dans le plus ancien des deux couvents de Port-Royal pour une retraite de quinze jours en janvier 1655. Pendant les quatre années suivantes, il fit régulièrement le voyage entre Paris et Port-Royal-des-Champs. Il commence à écrire, immédiatement après saconversion, son œuvre majeure sur la religion, Les Provinciales. De 1656 à 1659, Pascal, mis à part l’Histoire de la roulette, se consacra surtout à des publications «philosophiques» ou rhétoriques (De l’art de persuader, De l’esprit géométrique) et religieuses (Écrits sur la grâce, Écrits des curés de Paris). En 1659, Pascal, dont la santé n’a jamais été bonne, tombe sérieusement malade. Il…

Engagement et radicalite

ENGAGEMENT ET RADICALITE
par Fabienne Messica et Monique Crinon

L’engagement est un acte vers l’avenir , un pari dont le sujet est le garant . C’est un acte initiatique qui comporte une dimension symbolique d’initiation, de rite . Cette double dimension, initiatique et corporelle, s’affaiblit dans l’usage juridique du mot où le caractère contractuel s’organise autour d’un élément tiers :l’objet de l’échange . S’engager peut signifier « s’incorporer » comme dans l’expression « s’engager dans l’armée ». Le corps est alors , non seulement offert en gage , mais encore dissous dans un autre corps. L’affirmation de la positivité d’un choix coïncide ici avec la décision d’être dans un autre, l’affirmation d’une appartenance et l’abandon de son autonomie. L’idée d’un processus se perd .L’incorporation devient l’engagement mené à une logique ultime d’aliénation . Il y a donc un paradoxe de l’engagement, expression d’une volonté libre ou désir de se perdre en s’incorporant.
L’engagement est au fondement même de la loi : on ne saurait juger un individu si on ne le suppose pas engagé , inclus dans une société et par là même soumis à ses lois . Ainsi, l’individu dans une collectivité est-il engagé sans avoir besoin de se prononcer solennellement parce qu’être dedans, c’est déjà être engagé. C’est pourquoi demander à des enfants d’immigrés nés en France de se prononcer à leur majorité , de s’engager solennellement pour la nationalité française, c’est juger qu’auparavant ils n’étaient nulle part, ils n’étaient rien , ils n’étaient pas engagés. C’est oublier que l’engagement relèvede la nécessité autant que de la liberté. Là où l’on naît relève de la nécessité mais l’engagement, c’est être là où l’on est et dans ce que l’on veut être, c’est une augmentation de l’être. Même dans la conception contractualiste du droit, l’engagement conserve la dimension d’implication solennelle du sujet. Dans les tribunaux, les témoins jurent de dire la vérité, toute la vérité. Il existe unlien entre le serment, la promesse, l’engagement et la vérité. C’est l’une des significations de la réponse de Kant à Benjamin Constant au sujet « d’un prétendu droit de mentir ». Benjamin Constant avait exposé le cas d’un homme qui cache un ami poursuivi par des assassins. N’est-il pas justifié de mentir pour sauver la vie de son ami, c’est à dire par bonne intention? Mais pour Kant, l’exceptionmorale n’existe pas et admettre le droit de mentir dans certains cas, c’est universaliser une doctrine du mensonge. Plus grave encore, c’est séparer théorie et pratique puisque ce qui est vrai en théorie ne le serait plus en pratique.

Cependant, l’aporie soulevée par Benjamin Constant n’est pas résolue. Car l’engagement, s’il a une signification universelle a aussi une autre dimension: celle de lapromesse, des affinités électives. Ce qui se joue ici est l’articulation entre l’universel et le singulier, la fidélité et la loi morale. L’engagement est un acte singulier qui signifie de façon universelle mais pas forcément normative.
L’engagement est dans le prolongement de la promesse, de la fidélité. Il incarne en même temps le passage d’une société féodale à une société fondée sur lecontrat social. Le monde féodal est celui de la fidélité, de la foi et du serment. L’acte d’allégeance est une promesse, le serment une institution. Ainsi, la loi repose t-elle sur la foi. Dans l’idée de l’engagement, la preuve se substitue à la foi. Le gage est la preuve de la sincérité de celui qui s’engage. Cependant, nous ne sommes pas dans une rationalité qui exclut la croyance.

Le concept deradicalité renvoie à cette idée de quelque chose de plus proche de la racine, quelque chose qui n’est pas altéré, une substance pure. Quelle que soit la période historique, quel que soit le lieu géographique, la radicalité consiste à ne jamais abjurer sa foi, à maintenir la permanence d’une vérité, à garder le temple, à éradiquer les déviants. C’est un point limite auquel se mesure l’engagement….

Patrimoine

Agir pour le patrimoine historique de la Martinique
le rôle du Conseil général
Par ses services culturels patrimoniaux, le Conseil général assure la conservation et l’accès aux ressourceshistoriques sur la Martinique :
Les Archives départementales
«Jeune» service, en moins de 60 ans d’existence, les Archives départementales ont rassemblé les fonds d’archives produits par les administrationsqui se sont succédé depuis les débuts de la colonisation. Elles offrent, à travers leurs inventaires et leurs fichiers manuels ou informatisés, sous forme d’originaux, de microfilms ou d’imagesnumériques, l’accès aux sources primaires les plus abondantes pour les historiens et les amateurs de généalogie.
Actuellement, elles développent l’usage des technologies de l’information au service de laconservation du patrimoine dans le cadre d’un plan de numérisation associant les autres services culturels du Département.
Depuis de nombreuses années, avec le concours d’amateurs éclairés, lesArchives ont enrichi leurs fonds par des documents d’origine privée offerts ou acquis: ainsi les fonds des anciennes usines à sucre, de nombreux documents sur l’esclavage ou sur la Révolution française auxcolonies.
Grâce à leurs équipements techniques (atelier de reliure et de restauration, atelier de microfilmage et de numérisation), elles constituent en Martinique l’unique service capable de répondreà tous les besoins liés à la conservation et à la valorisation des fonds patrimoniaux martiniquais.
La Bibliothèque Schœlcher
Créée par un don fondateur de Victor Schœlcher à la colonie de laMartinique en 1884 et édifiée en 1891, la Bibliothèque Schœlcher a permis l’accès à la culture et au savoir universels à toute la population martiniquaise. A la fois bibliothèque de lecture publique etbibliothèque patrimoniale, par sa riche collection d’ouvrages imprimés et de presse locale, elle constitue un centre de ressources majeur pour l’histoire de la Martinique
Le Musée départemental…

Anne frank

Biography :

Annelies Marie Frank, more known under the name of Anne Frank, was born in 1929 in Frankfurt am Main in the Weimar Germany. She lived the major part of her life in theNetherlands and died in 1945 in Nazi Germany.
She was the second girl of Otto Heinrich Frank and Edith Hollander. Of Jewish German origin, at the age of 4, Anne Frank and her familyleft the Nazi Germany for Holland in 1933, during Hitler’s coming to power.
In 1940, Holland was occupied and in 1942 the regime Nazi ( Nazi regime ) imposed on the Jews to wear ayellow star ( here on the shirt ). Anne’s father decided to hide with his family in a premises hidden behind his company,( I mean ) in his working place called Opekta.It is in thisstuffy space that are going to settle down and to live eight persons in July 1942 whose Otto and Edith Frank ( Anne‘s parents ), Margot( Anne’s sister ), Fritz Pfeffer( a Jewish dentistsir ) and Mrs.Van Pels with their son Peter.
Become an teeanage girl, she dreamed about cinema and journalism. That’s why Anne kept a diary, that she drafted in Dutch, from June 12th,1942 till August 1st, 1944. She called it « Kitty » and told her the life in the annex, her fear of living hidden in this place during several years, her feelings for Peter, her conflictwith her parents and her wish to become a writer.
In August the 4th, she and her family are arrested and deported after a denunciation. Anne is then transported to the concentrationcamp of Bergen-Belsen, in Germany, where she died in 1945 reached (affected) by the typhoid, at the age of 15, some weeks before the end of the war. His father, the only survivor ofAuschwitz, published his daughter’s diary in 1947.
Anne Frank’s diary is a proof of the sufferings endured ( beared ) by the oppressed of the Nazism during the Second World War.

Liaisons dangereuses

II. Epoque et lieux dans le roman et dans le film.

A/ Les lieux
Choderlos de Laclos noue son intrigue autour de deux lieux principaux qui s’opposent : Paris et la campagne, créant ainsi ununivers restreint. Paris représente la vie mondaine, le « monde » où l’on créé sa réputation « ici où le tourbillon du monde ne le gâte pas « (lettre 8), lieu de la jeunesse. A l’inverse, la campagne estle lieu de repos, de retraite, il n’y a d’ailleurs que Mme de Rosemonde qui y habite. Lors de la premiere partie, Merteuil, les Volanges, Danceny sont à Paris, et Valmont rejoint sa tante Rosemondequi est avec Mme de Tourvel. Dans la deuxième partie, Cécile est envoyée chez Mme de Rosemonde, le vicomte y retourne alors pour séduire la jeune fille sous l’ordre de Merteuil. La troisième partieest marquée par le départ de Mme de Tourvel. Pour la quatrième partie, Merteuil effectue un séjour à la campagne après la mort de son complice et ennemi, la plupart des personnages sont à Paris carl’hiver la campagne est triste et sans vie, il n’y a que Mme de Rosemonde qui reste à la campagne et on remarque alors que les lettres qui lui sont destinées sont de plus en plus nombreuses.
Laclos désignel’Opéra comme lieu de rencontres, par exemple Danceny et Cécile, et la scène finale de Merteuil a lieu à la Comédie Italienne.
On remarque que les libertins progressent dans l’intimité de leursproies : Valmont s’immisce dans les promenades de Mme de Tourvel dans les parcs où elle se ressourçait. La chambre est un lieu clé du roman et du livre : Valmont entre précipitamment dans la chambre deson domestique, il observe Mme de Tourvel par le trou de sa serrure, et évidemment il obtient le libre accès de la chambre de Cécile.
Dans l’adaptation cinématographique on remarque l’importance desescaliers pour la communication. Entre Merteuil et Valmont, quand elle exige la preuve par écrit de la séduction de la présidente, Merteuil apparait supérieure à Valmont, et l’escalier nous donne…

Similitude chez marx et rousseau

SIMILITUDE CHEZ MARX ET ROUSSEAU

Doctrine de Karl Marx

Karl Marx père du marxisme, base sa philosophie sur le matérialisme historique. « L’histoire de toute société jusqu’à nos jours est l’histoire de luttes de classes. ». L’évolution des sociétés est donc caractérisée par leur « base matérielle », c’est-à-dire qu’elle est défini par la structure économique que les différentes sociétés ontadoptés au cours de l’histoire. Donc, il y a un schéma historique répétitif qui s’apparente à ceci : l’amélioration des modes de production permet d’accroître la production. Après un certain laps de temps, un conflit naîtra au sein de la société, il y a donc un débalancement dans les rapports sociaux : la classe sociale qui détient les nouvelles techniques prend de l’importance sur la classesociale dominante. Marx croit que l’Histoire est dans se sens inéluctable, qu’elle aboutit donc, toujours à une restructuration sociale. Les rapports sociaux de production finissent par être contestés, ils deviennent insupportables pour la classe opprimé et finalement, la structure de la société, qui paraissait immuable jusque ici, doit être changée. Du mode de production esclavagiste, nous sommespassés au mode de production féodal, pour finalement aboutir au mode de production capitaliste cependant, le dernier mode de production, l’idéal selon Marx, est le communisme.

Selon ses dires, l’individu est déterminé par sa relation à la société. L’homme est totalement dépendant de son milieu. De plus, l’espèce humaine se distingue par ceci : « elle produit elle-même les biens nécessaires à sasurvie et transforme elle-même, au cours de l’histoire ses propres conditions d’existence. ». Il explique d’ailleurs, que « dans la production sociale de leur existence, les hommes nouent des rapports déterminés, nécessaires, indépendants de leur volonté: ces rapports de production correspondent à un degré donné du développement de leurs forces productives matérielles. L’ensemble de ces rapportsforme la structure économique de la société, la fondation réelle sur laquelle s’élève un édifice juridique et politique, et à quoi répondent les formes déterminées de la conscience sociale. ». Les deux classes antagonistes actuelles sont le prolétariat (non-possédants) et la bourgeoisie (possédants). Il y a différentes formes d’aliénation qui affectent les sociétés. L’aliénation économique qui estengendré par la division du travail, la propriété privée et la plus-value. L’aliénation politique car le pouvoir est détenu par la bourgeoisie. Et finalement, l’aliénation religieuse qui influence les gens à accepter leur sort bref, à être résignés.

Afin de contrer ces aliénations, il doit y avoir dictature du prolétariat. Les opprimés doivent prendre le pouvoir afin d’éliminer la propriétéprivée (socialisme) et finalement créer une société sans classes (communisme).

Doctrine de Jean-Jacques Rousseau

Jean-Jacques Rousseau entre dans la lignée des philosophes contractualistes. Il nous fait état de l’homme de nature c’est-à-dire l’homme avant quelconque processus de socialisation. Cet état théorique équivaut à la nature originelle de l’homme. Il est naturellement bon et libre, ilne dépend point de la relation avec ses pairs. Cet être humain qui n’a que des besoins primaires, éprouve qu’un seul type de passion « la simple impulsion de la nature », ses passions se résument à l’amour de soi et la pitié. L’amour de soi pour lui, est l’instinct de conservation et la pitié est celle « qui nous porte sans réflexion au secours de ceux que nous voyons souffrir », elle estl’instigatrice des lois dans cet état. Il ne peut être méchant car il ne saurait l’être ; « Faute de sagesse et de raison, on le voit toujours se livrer étourdiment au premier sentiment de l’humanité ». Rousseau affirme que suite à différents cataclysmes, les individus ont été contraints de se rapprocher. Cela a permis l’apparition du langage qui a favorisé grandement le développement de la raison ainsi…