Traduction una gitana en la esfera del poder

Une Gitane dans la sphère du pouvoir

Pilar Heredia est la première femme roumaine qui accède à une charge institutionnelle dans le Gouvernement.

« Le peuple a été jusqu’à présent un peuplemuet, bâillonné, auquel on n’a jamais permis de parler ». Celle qui s’exprime ainsi va être, désormais, une de ses voix publiques. Pilar Heredia, 41 ans, sera la première femme gitane qui occupe unecharge institutionnelle dans le Gouvernement : jeudi dernier elle a été élue comme conseillère dans l’Institution la Femme, organisme assigné au Ministère du Travail et des Affaires Sociales. Elles’occupera concrètement des problèmes des minorités ethniques. En Espagne il y a 450.000 gitans (1% de la population approximativement), mais ils sont représentés dans les institutions. En Andalousie, oùvit presque la moitié, il n’y a aucun député de cette ethnie. « Avec moqueries et plaisanteries » il est comme crée Heredia qu’on traite encore sa culture et traditions. « Les athées peut-êtren’intéressent pas les processions, mais personne ne rit d’elles », indique-t-elle. « Par contre, tous croient avec droit de se tromper de chacune de nos coutumes ». Non seulement une protestation par lesrires, mais surtout, par le dédain. « On ne voit pas comme délinquants, vivant dans des bidonvilles, incultes, de drôles d’oiseaux », regrette-t-elle. «L’ignorance est le grand problème qui fait souffrirnotre peuple ». Elle accuse, en partie, les médias. « Quand il y aura un délinquant gitan, on insiste beaucoup dans les journaux en cela, alors que c’est insignifiant », juge-t-elle. « Et laconséquence est que cela augmente le racisme ; la société nous criminalise tous ». […]
C’est désormais débordant. « Je vais être le fil conducteur, le pont entre les administrations et le peuple gitan, pourfaire ce qui est visible et digne, pour qu’on écoute notre voix dans des domaines jusqu’à présent interdits ». Sa tâche sera, aussi, de combattre les difficultés spécifiques des femmes. « Surtout…

Emile verhaeren – le port

Pour la problématique : quelle est la symbolique du port ?

Le Port:
Toute la mer va vers la ville !

Son port est surmonté d’un million de croix :
Vergues transversales barrant de grands mâtsdroits.

Son port est pluvieux et suie à travers brumes,
Où le soleil comme un oeil rouge et colossal larmoie.

Son port est ameuté de steamers noirs qui fument
Et mugissent, au fond du soir,sans qu’on les voie.

Son port est fourmillant et musculeux de bras
Perdus en un fouillis dédalien d’amarres.

Son port est tourmenté de chocs et de fracas
Et de marteaux tournant dans l’air leurstintamarres.

Toute la mer va vers la ville !

Les flots qui voyagent comme les vents,
Les flots légers, les flots vivants,
Pour que la ville en feu l’absorbe et le respire
Lui rapportent lemonde en leurs navires.
Les Orients et les Midis tanguent vers elle
Et les Nords blancs et la folie universelle
Et tous les nombres dont le désir prévoit la somme.
Et tout ce qui s’invente et toutce que les hommes
Tirent de leurs cerveaux puissants et volcaniques
Tend vers elle, cingle vers elle et vers ses luttes :
Elle est le brasier d’or des humaines disputes,
Elle est le réservoir desrichesses uniques
Et les marins naïfs peignent son caducée
Sur leur peau rousse et crevassée,
A l’heure où l’ombre emplit les soirs océaniques.

Toute la mer va vers la ville !

Ô les Babelsenfin réalisées !
Et cent peuples fondus dans la cité commune ;
Et les langues se dissolvant en une ;
Et la ville comme une main, les doigts ouverts,
Se refermant sur l’univers !

Dites ! lesdocks bondés jusques au faite
Et la montagne, et le désert, et les forêts,
Et leurs siècles captés comme en des rets ;
Dites ! leurs blocs d’éternité : marbres et bois,
Que l’on achète,
Et que l’onvend au poids ;
Et puis, dites ! les morts, les morts, les morts
Qu’il a fallu pour ces conquêtes.

Toute la mer va vers la ville !
La mer pesante, ardente et libre,
Qui tient la terre en…

Suis-je ce que j’ai conscience d’être ?

Suis-je ce que j’ai conscience d’être ?

Problématique :
La conscience est la connaissance savante de ce que je suis. Donc nous pouvons remarquer que le contenu de la conscience est la représentation de ce que je pense être. Et pour savoir ce que je suis, je ne peux le formuler qu’à travers la conscience d’être. Donc la question posée semble tourner en rond, n’être qu’un sophisme.Même si je ne suis pas ce que j’ai conscience d’être, je ne peux pas le savoir, je ne peux pas en prendre conscience, et donc ce n’est pas un problème pour moi.
D’autre part, si je ne suis qu’un être pensant, comme le précisait Descartes, dire que je sui un être différent de ce que ma conscience me dit que je suis implique comme un dédoublement de l’être, entre celui qui est, et celui qui secontemple à travers la conscience.
Pour que ce ne soit pas une question absurde, il faut la reformuler.
Être, c’est exister, c’est être présent au monde, marquer sa présence, en niant l’indépendance de ce qui m’entoure, comme l’explique Hegel, à travers l’analyse du double cogito ; D’autre part j’existe à travers le regard d’autrui, qui me renvoie une image qui ne correspond pasnécessairement avec celle au quelle je cherche à coller (analyse de la honte chez Sartre.)
La conscience est la reconnaissance d’une idée de soi-même. Il faut s’interroger sur ce qui peut constituer ma conscience. L’idée de moi-même ne peut se constituer seule ; je ne peux pas me connaître, car je ne peux pas me contempler, me saisir comme un objet que je regarde et que je juge.
L’idée deHegel est que je construits une image et que je la théorise, puis je la mets à l’épreuve en agissant dans le monde, en cherchant la reconnaissance de ma singularité de sujet dans le regard de l’autre (ce qui est expliqué à travers la dialectique du maître et de l’esclave dans la Phénoménologie de l’Esprit)
Mais mon être se forme-t-il uniquement grâce à l’activité de mon cogito, ou puis-je être unautre, totalement différent et étranger à ce que je me représente ? Y a-t-il un dédoublement de l’être ? Une opposition entre l’être et le paraître d’une part, entre le paraître et le représenté d’autre part ?
En ontologie (science de l’être), on pourrait expliquer qu’il y a une surproduction d’être ; Moi-même, je pourrais être deux ou trois personnalités différentes. N’est-ce pas un peusurprenant ?
Nous allons essayer de démêler les fils de ce nœud.

Plan détaillé :

1 Qu’est-ce qui peut me faire soupçonner que je ne suis ce que je pense être ?

a. Descartes, au détour du doute méthodique n’apporte que la certitude de son existence. Le fameux passage des Méditations Métaphysiques où il écrit : « Qui suis-je ? Une chose qui pense » s’explique autrement qu’un simplepassage autoritaire si nous expliquons que pour lui seule la certitude que nous pensons est indubitable, notre être se limite à l’activité de la pensée. Mais cela reste une prise de conscience limitée, car je ne suis sans doute pas qu’une chose pensante. L’âme, l’être, dans leur complexité posent problème. Descartes précise que la conscience est transparente à elle-même. Il ne peut pas y avoir depensée qui échappe à notre conscience car, et s’il y a des pensées qui nous échappent, c’est qu’elles nous sont étrangères. Elles ne proviennent donc pas de nous.
b. D’autre part nous sommes libres d’être ce que nous voulons être ; Notre être est un projet soumis à notre volonté ;
c. Mais Freud fit remarquer que cette théorie ne suffit pas à expliquer tous nos comportements. Il fautintroduire l’hypothèse qu’il existe un inconscient qui est une dimension de notre être dont nous n’avons pas conscience.

II. Qui puis-je être si je ne suis pas celui que je pense être ?
Je suis victime d’illusions, d’erreurs et de mystifications, et elles peuvent se construire autour de trois structures différentes :
a. Soit je suis un être déterminé par ses…

L’oral à l’école primaire

Une recherche-action sur la communication orale au préscolaire et au primaire
par Jocelyne Cauchon et Ginette Plessis-Bélair

Des conseillères pédagogiques du primaire, auxquelles se sont ajoutées, l’année suivante, d’autres du préscolaire, provenant de différentes commissions scolaires1, ont décidé de se questionner sur la didactique de l’oral. Elles souhaitaient connaître les pratiquesactuelles des enseignantes et des enseignants du primaire et du préscolaire et réfléchir avec eux sur l’ajustement possible de leur pratique, en tenant compte des visées du programme d’études et des différentes populations d’élèves. Elles voulaient également planifier une formation qui serait proposée aux commissions scolaires participantes2. C’est à la suite de la lecture d’un article traitant del’oral réflexif3 qu’elles ont demandé à cette dernière4 d’agir à titre de consultante pour leur projet de recherche-action.
L’élaboration de cette recherche-action illustre le rôle majeur que jouent les conseillères pédagogiques comme intermédiaires entre la recherche et la pratique enseignante. Le Conseil supérieur de l’éducation avait déjà mis en avant cette orientation dans son rapport annuel(2004-2005)5 sur l’état et les besoins de l’éducation, en traitant de l’arrimage entre le milieu de la recherche et le monde de l’éducation dans des démarches de recherche-action ou de recherche collaborative.
Il s’agit d’un travail de collaboration riche des pratiques et des moyens dont chacun des partenaires dispose dans son propre contexte et qu’il partage avec les autres. Ainsi, la chercheurepense à l’état d’avancement du domaine, à ses dimensions les plus pertinentes, au questionnement des enseignantes et des enseignants, à la rigueur de la démarche méthodologique de recherche et à la diffusion subséquente des résultats. De leur côté, les conseillères pensent à leur rôle d’intermédiaire entre la recherche dans le domaine et les chercheurs qui s’y intéressent, le programme actuel deformation et ce qu’elles peuvent accumuler d’information dans le but d’aider les praticiens de leur commission scolaire. Quant aux enseignantes et aux enseignants, ils se montrent volontiers prêts à répondre à l’appel, à réfléchir et à cheminer lors des rencontres du groupe, à concevoir des applications liées aux contenus théoriques présentés, à faire de l’expérimentation dans leur classe et àpeaufiner leurs nouveaux outils.
Lors des échanges de groupe entre tous les participants à cette recherche, il est devenu rapidement clair que les enseignantes et les enseignants étaient particulièrement intéressés à réfléchir sur les liens entre la langue et la pensée, dans le contexte de la communication orale, comme outil d’enseignement et d’apprentissage. On sait qu’à l’heure actuelle, les chercheursdu domaine ont tendance à présenter la didactique de l’oral sous deux angles : l’oral comme objet d’étude et l’oral comme médium d’enseignement et d’apprentissage6. Ainsi, à la suite de quelques lectures et échanges et après avoir obtenu des précisions au sujet d’une vision d’ensemble de la langue parlée au Québec, le groupe s’est résolument consacré à l’étude de l’oral sous l’angle de sonutilisation comme outil au service de la pensée, dans un contexte d’oral réflexif.
La recherche s’achève et le groupe en est à considérer l’évaluation de l’oral sur les bases communes qu’il s’est données quant à ce volet du français. Les textes présentés ci-après constituent les principaux jalons sur lesquels il s’est appuyé, afin de cheminer vers une meilleure compréhension de la didactique de l’oralet de son application dans les classes.
Les textes de référence
Cette recherche place les besoins de formation des enseignants au premier plan. L’expérimentation en classe est toujours précédée de lectures et de discussions autour d’ouvrages spécialisés. Nous décrivons brièvement les textes consultés, en indiquant principalement les éléments retenus par le groupe dans sa démarche réflexive….

Méthaphore des lumieres

Qu’est ce que le mouvement des Lumierres ?
Les lumières tirent leurs noms du combat qu’elles mènent contre l’obscurantisme. Les Lumières sont un mouvement philosophique du XVIIIe siècle qui essayede propager le savoir à tous.
Née dans les salons intellectuels, la philosophie des Lumières s’appuie sur les découvertes scientifiques pour développer l’esprit critique et lutter contre toutes lesformes de préjugés.

La métaphore de la lumière

Le siècle des Lumières tire son nom du mouvement intellectuel, culturel et scientifique aux multiples manifestations connu sous le nom de Lumières.Il se présente comme une periode qui se veut éclairé par la lumière métaphorique des connaissances, et non pas l’illumination divine, « émanation de l’absolu ».

La métaphore de la lumière désignele mouvement intellectuel critique où La raison éclaire tous les hommes, elle est la lumière, ou plus précisément, ne s’agissant pas d’un rayon, mais d’un faisceau : les Lumières. C’est la floraisond’idées nouvelles, ainsi que les progrès scientifiques du temps qui caractérise le XVIII e siècle européen

Elle suggère aussi une vision simplifiée du monde, où l’« homme éclairé » s’oppose à lamasse de ceux restés dans les ténèbres. La formule a donc bien tant une dimension sociale qu’une dimension spatiale. Sous la plume des philosophes, les Lumières désignent par métonymie les éliteseuropéennes ouvertes aux nouveautés, une « République des Lettres éclairées ».

le XVIIIe siècle européen a été marqué par le rationalisme philosophique et l’exaltation des sciences. L’image des « Lumières »était déjà fréquemment employée par les écrivains et les penseurs de l’époque, convaincus qu’ils venaient d’entrer dans un nouvel âge illuminé par la raison, la science et le respect de l’humanité;et s’étendait à de nombreux pays européens: « Enlightenment » en Angleterre, « Aufklärung » en Allemagne, « Illuminismo » en Italie… Ainsi partout s’énonçait la négation du passé et la croyance en la…

Philosophie de l’éducation

Philosophie de l’éducation

Par Samson O. GUNGA

African Virtual university
Université Virtuelle Africaine
Universidade Virtual Africana
Note

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Table des matières

I Philosophie de l’éducation 4
II.Connaissances préalables 4
III. Temps 4
IV. Matériel 4
V. Fondement du cours 4
IV. Contenu 5
6.1 Aperçu du cours 5
6.2 Aperçu des unités 6
6.3 Repères graphiques 7
VII. Objectifs généraux 7
VIII. Objectifs d’apprentissage spécifiques 8
IX. Activités d’enseignement et d’apprentissage 9
X. Activités d’apprentissage 12
XI. Glossaire des concepts clés 19
XII. Liste des lecturesobligatoires 24
XIII. Liste de liens utiles 31
XIV. Synthèse du cours 35
XV. Évaluation sommative (le PROJET) 36
XVI. Références 36
XVII. Biographie de l’auteur principal 37

I Philosophie de l’éducation

Par Samson O. Gunga

II. Connaissances préalables

La philosophie met en œuvre des mécanismes indépendants de la pensée et requiert des aptitudes à raisonner de façon cohérente. Vous devriezposséder ces compétences après avoir suivi au moins une année d’un programme universitaire de premier cycle. L’étude de ce module vous convient si vous êtes étudiant à la deuxième année d’un programme universitaire de premier cycle ou que vous l’avez complétée.

III. Temps

Ce module est divisé en cinq unités dont l’apprentissage est réparti en quatre activités. Au moins 120 heures devraientêtre allouées à l’étude de ce module. Les thèmes de chaque unité ainsi que le temps consacré à chacune d’elles sont indiqués ci-dessous :

Unité 1 : L’origine de la pensée philosophique occidentale – 20 heures
Unité 2 : Introduction à la philosophie – 30 heures
Unité 3 : Approches philosophiques – 10 heures
Unité 4 : Enjeux et concepts en éducation – 10 heuresUnité 5 : Philosophie de l’éducation – 50 heures

IV. Matériel

Pour l’étude de ce module, vous aurez besoin d’un accès Internet, notamment pour consulter les sites suivants :

www.wikipedia.org
www.wikibooks.org

V. Fondement du cours

L’étude du module Philosophie de l’éducation vous permettra de :

(a) Comprendre l’importance du processus éducatif pour l’humanité;
(b)Acquérir des compétences de bases pour identifier des objectifs en matière d’éducation et pour évaluer des conflits de valeurs dans ce domaine.

Après avoir complété ce module, vous pourrez :

(c) Identifier l’objectif de l’éducation en général et de l’enseignement en particulier.
(d) Influencer les politiques en éducation de votre pays;
(e) Évaluer les théories et modèlesactuels en éducation au moyen d’un éventail de ressources alternatives logiques;
(f) Analyser de façon critique les principes acquis à propos des suppositions dans le domaine de l’éducation;
(g) Découvrir des modes de pensées alternatifs qui ont échappé aux penseurs conventionnels au moment d’élaborer les théories et modèles en éducation.

IV. Contenu

6.1 Aperçu du cours

Puisquela philosophie ne fait pas partie du cursus préuniversitaire dans plusieurs pays, il nous apparaît nécessaire de vous fournir un aperçu complet de ce module.

Grâce à ce module, vous connaîtrez les origines de la philosophie et ces objectifs dans le processus éducatif. Il permet de mettre en lumière plusieurs idées qui ont façonné le développement des théories et des modèles en éducation au fildes années. Au fur et à mesure que vous avancerez dans ce module, vous vous rendrez compte que les philosophes et les enseignants partagent le même souci en ce qui a trait à l’humanité.

La philosophie est une science rationnelle qui se penche sur les enjeux qui ont influencé la vie humaine. Avez-vous déjà réalisé que certaines de vos croyances et opinions se fondaient sur des principes…

Chute de constantinople

La chute de Constantinople a lieu le 29 mai 1453 et marque la fin de l’Empire byzantin, ainsi qu’une nouvelle ère d’expansion pour l’Empire ottoman.

Le siègeintervient à une époque où l’Empire byzantin n’a plus aucun moyen de contrecarrer l’avancée ottomane. Il fait suite aux tentatives ottomanes infructueuses de 1391-1392,1394-1402 et 1422. Depuis le premier siège ottoman de Constantinople, les derniers souverains byzantins n’ont plus qu’une influence très limitée tandis que les sultans ottomansvoient leur prestige grandir au fil des années. La prise de Constantinople intervient comme l’aboutissement du lent processus de délitement de l’Empire byzantin etapparaît comme naturelle au vu de la situation des deux États. Pourtant, ce siège garde une signification et une importance particulières. D’abord, son déroulement a faitl’objet d’une multitude d’études et plusieurs textes contemporains au siège ont été préservés. Dès lors, il est relativement aisé de se faire une idée précise du siègedont l’intensité et la disproportion des forces impressionnent. En outre, la prise de Constantinople symbolise aussi la fin définitive de l’Empire romain dont l’Empirebyzantin est le successeur sous une forme médiévale. Ainsi, du fait de cet héritage qui traverse ensuite l’Adriatique pour atteindre l’Italie et contribuer au déclenchementde la Renaissance, la chute de l’Empire byzantin est souvent vue comme un point charnière de l’histoire puisqu’il correspondrait à la fin du Moyen-Âge. Par conséquent,au-delà d’un simple point final à l’existence d’un empire moribond depuis quelques siècles, la prise de Constantinople constitue le point de départ d’une nouvelle ère.

Lois

LU?T
LU?T S?
C?A QU?C H?I N??C C?NG HOÀ XÃ H?I CH? NGH?A VI?T NAM S? 65/2006/QH11 NGÀY 29 THÁNG 6 N?M 2006

C?n c? vào Hi?n pháp n??c C?ng hòa xã h?i ch? ngh?a Vi?t Nam n?m 1992 ?ã ???c s?a ??i, b? sung theo Ngh? quy?t s? 51/2001/QH10 ngày 25 tháng 12 n?m 2001 c?a Qu?c h?i khóa X, k? h?p th? 10;

Lu?t này quy ??nh v? lu?t s? và hành ngh? lu?t s?.

CH??NG I
NH?NG QUY ??NH CHUNG

?i?u 1. Ph?m vi ?i?u ch?nh

Lu?t này quy ??nh v? nguyên t?c, ?i?u ki?n, ph?m vi, hình th?c hành ngh?, tiêu chu?n, quy?n, ngh?a v? c?a lu?t s?, t? ch?c hành ngh? lu?t s?, t? ch?c xã h?i – ngh? nghi?p c?a lu?t s?, qu?n lý hành ngh? lu?t s?, hành ngh? c?a t? ch?c hành ngh? lu?t s? n??c ngoài, lu?t s? n??c ngoài t?i Vi?t Nam.

?i?u 2. Lu?t s?Lu?t s? là ng??i có ?? tiêu chu?n, ?i?u ki?n hành ngh? theo quy ??nh c?a Lu?t này, th?c hi?n d?ch v? pháp lý theo yêu c?u c?a cá nhân, c? quan, t? ch?c (sau ?ây g?i chung là khách hàng).

?i?u 3. Ch?c n?ng xã h?i c?a lu?t s?

Ho?t ??ng ngh? nghi?p c?a lu?t s? nh?m góp ph?n b?o v? công lý, phát tri?n kinh t? và xây d?ng xã h?i công b?ng, dân ch?, v?n minh.

?i?u 4.D?ch v? pháp lý c?a lu?t s?

D?ch v? pháp lý c?a lu?t s? bao g?m tham gia t? t?ng, t? v?n pháp lu?t, ??i di?n ngoài t? t?ng cho khách hàng và các d?ch v? pháp lý khác.

?i?u 5. Nguyên t?c hành ngh? lu?t s?

1. Tuân th? Hi?n pháp và pháp lu?t.

2. Tuân theo quy t?c ??o ??c và ?ng x? ngh? nghi?p lu?t s?.

3. ??c l?p, trung th?c, tôn tr?ng s? th?tkhách quan.

4. S? d?ng các bi?n pháp h?p pháp ?? b?o v? t?t nh?t quy?n, l?i ích h?p pháp c?a khách hàng.

5. Ch?u trách nhi?m tr??c pháp lu?t v? ho?t ??ng ngh? nghi?p lu?t s?.

?i?u 6. Nguyên t?c qu?n lý hành ngh? lu?t s?

Qu?n lý hành ngh? lu?t s? ???c th?c hi?n theo nguyên t?c k?t h?p qu?n lý nhà n??c v?i phát huy vai trò t? qu?n c?a t? ch?c xã h?i – ngh? nghi?p c?alu?t s?, b?o ??m vi?c tuân theo pháp lu?t, quy t?c ??o ??c và ?ng x? ngh? nghi?p c?a lu?t s?.

?i?u 7. T? ch?c xã h?i – ngh? nghi?p c?a lu?t s?

T? ch?c xã h?i – ngh? nghi?p c?a lu?t s? ???c thành l?p ?? ??i di?n, b?o v? quy?n, l?i ích h?p pháp c?a lu?t s?, b?i d??ng chuyên môn, nghi?p v? lu?t s?, giám sát vi?c tuân theo pháp lu?t, quy t?c ??o ??c và ?ng x? ngh? nghi?p lu?t s?,th?c hi?n qu?n lý hành ngh? lu?t s? theo quy ??nh c?a Lu?t này.

T? ch?c xã h?i – ngh? nghi?p c?a lu?t s? là ?oàn lu?t s? ? t?nh, thành ph? tr?c thu?c trung ??ng và t? ch?c lu?t s? toàn qu?c.

?i?u 8. Khuy?n khích ho?t ??ng tr? giúp pháp lý mi?n phí

Nhà n??c khuy?n khích lu?t s? và t? ch?c hành ngh? lu?t s? tham gia ho?t ??ng tr? giúp pháp lý mi?n phí.

?i?u 9.Các hành vi b? nghiêm c?m

1. Nghiêm c?m lu?t s? th?c hi?n các hành vi sau ?ây:

a) Cung c?p d?ch v? pháp lý cho khách hàng có quy?n l?i ??i l?p nhau trong cùng v? án hình s?, v? án dân s?, v? án hành chính, vi?c dân s?, các vi?c khác theo quy ??nh c?a pháp lu?t (sau ?ây g?i chung là v?, vi?c);

b) C? ý cung c?p tài li?u, v?t ch?ng gi?, sai s? th?t; xúi gi?c ng??i b? t?m gi?,b? can, b? cáo, ???ng s? khai sai s? th?t ho?c xúi gi?c khách hàng khi?u n?i, t? cáo, khi?u ki?n trái pháp lu?t;

c) Ti?t l? thông tin v? v?, vi?c, v? khách hàng mà mình bi?t ???c trong khi hành ngh?, tr? tr??ng h?p ???c khách hàng ??ng ý b?ng v?n b?n ho?c pháp lu?t có quy ??nh khác;

d) Sách nhi?u, l?a d?i khách hàng;

?) Nh?n, ?òi h?i b?t k? m?t kho?n ti?n, l?i ích nàokhác t? khách hàng ngoài kho?n thù lao và chi phí ?ã tho? thu?n v?i khách hàng trong h?p ??ng d?ch v? pháp lý;

e) Móc n?i, quan h? v?i ng??i ti?n hành t? t?ng, ng??i tham gia t? t?ng, cán b?, công ch?c khác ?? làm trái quy ??nh c?a pháp lu?t trong vi?c gi?i quy?t v?, vi?c;

g) L?i d?ng vi?c hành ngh? lu?t s?, danh ngh?a lu?t s? ?? gây ?nh h??ng x?u ??n an ninh qu?c gia, tr?t…

Le turnover

Du point de vue des mauvaises pratiques, le turnover consiste à remplacer une partie des employés d’une société par du personnel moins cher. Généralement il s’agira de personnel moins expérimenté mais dans ce type de logique de gestion, l’économie est prioritaire sur les pertes immédiates en efficacité.

Heureusement, toutes les sociétés n’ont pas cette vision particulièrement dévalorisantevis-à-vis de leurs employés. Certaines ont même une culture d’entreprise ouverte qui favorise les relations à long terme.

Le turnover en général
Toutefois, il faut distinguer dans le turnover différentes situations.

Notons d’abord que d’une façon générale, le turnover désigne la rotation du personnel. C’est à dire que des gens partent et d’autres arrivent…

Il y a un petit débat afin desavoir s’il faut inclure ou non les départs volontaires dans le turn-over. Toutefois, vu la simplicité de camoufler des départs en fin de contrat ou de provoquer des départs volontaires de façon insidieuse, un calcul sain du turnover ne devrait écarter personne afin d’exclure toute subjectivité du calcul.

Au niveau des ressources humaines, le turn-over est un pourcentage. Selon wikipédia (ainsi qued’autres sites), il s’agirait de la moyenne du nombre de personnes arrivées et parties au cours d’une période, divisé par le nombre total du personnel en début de période.

Par exemple, si au cours de l’année, il y a 6 départs et 4 arrivées sur un total de 40 personnes en début d’année, cela donne (6+4)/2 /40 x100 = 12,5%.

Il semble également que le turn over soit calculé avec des règlesquelquesfois différentes. Notamment, certains calculs excluent les démissions de ce taux. Comme d’habitude, on joue avec les chiffres quand ça arrange…

Le but de cet article n’est pas de parler chiffres mais de l’aspect social du turn-over. Si dans certains secteurs le turn-over est en partie volontaire (la programmation est un secteur de ce type où le turnover favorise même l’augmentation dessalaires), dans d’autres secteurs, cela sert surtout de moyen pour réduire les frais.

Comment ça marche exactement ?
Le principe du turnover est à comprendre dans un contexte global:

Lorsqu’un jeune employé arrive dans une société, il est généralement trop heureux de pouvoir y entrer et donc ne réclame qu’un salaire de base et aucun avantage particulier. Il sera aussi facilement influençablepour participer volontairement à certaines pratiques comme les heures supplémentaires (parfois non-payées) dont l‘unique bénéficiaire sera la société.

Après quelques années de travail sans augmentation (ou seulement majorés de l’index, qui rappellons-le, n’est pas une augmentation mais un maintient du pouvoir d’achat), cet employé viendra sans doute demander quelque chose de mieux pour lui et sajeune famille. Il serait alors simple de juste refuser cette demande, mais il y a derrière le turnover un calcul encore plus froid: l’idée est que lorsqu’un employé commence à réclamer un meilleur salaire, de meilleures conditions de travail, il peut également influencer ses collègues de travail avec de telles idées… De plus, si on refuse une augmentation, il s’ensuit en général une baisse deproductivité et une démotivation.

Il sera donc remplacé par un jeune travailleur et la société gardera malgré tout une bonne image vis-à-vis de l’extérieur puisqu’elle recrutera souvent des jeunes talents. A ce propos, quand vous postulez dans une société qui engage très régulièrement des jeunes travailleurs de façon répétitive, demandez-vous s’il s’agit d’une expansion réelle du groupe ou s’ils’agit juste de remplacer une équipe que l’on vient de mettre à la porte…

Est-ce légal ?
Même si certains types de contrat empêchent en théorie de telles pratiques, il est aisé dans un domaine comme l’infographie où tout fluctue de prétendre durant une période plus creuse, une fin de contrat par exemple, “qu’il n’y a plus assez de travail”… et ainsi de camoufler sous des prétextes légaux ce…

Rapport de stage sofitel

Albanel Philippe
2°année

Stage ouvrier
Sofitel Saint-James
Du 2 juin au 15 juillet

Plan :

Remerciement :

Introduction :

I. Le groupe Accor et son Sofitel Saint-James

1) Le groupe Accor
2) Le Sofitel Saint-James

II. Les travaux effectués pendant ce stage

3) Lefonctionnement
4) Les missions du poste occupé.

III. Les apports personnels du stage

5) Difficultés rencontrés et les solutions
6) La vie en société

Conclusion :

Remerciement :

Avant de raconter cette expérience professionnelle, il me paraît juste de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à tous ceuxqui m’ont aidé et également appris beaucoup de choses au cours de ce stage.
Je tiens également à remercier Christophe Collin mon manager qui m’a accompagné durant cette expérience professionnelle. Je tiens également à remercier les autres employés et particulièrement les autres commis qui m’ont tout expliqué avec une patience admirable.

Introduction :
J’ai effectué monstage au sein du Sofitel Saint-James du 2 juin au 15 juillet avec cinq jours de pause pour revenir à Lille et passer les rattrapages. Saint-James est un hôtel prestigieux qui se situe en plein centre de Londres juste à côté de Picadilly Circus. Les Sofitel appartiennent au groupe Accor qui est le leader européen de l’hôtellerie et du tourisme et leader mondial dans les services. Sofitel ainsi quePullman, MGallery, Mercure, Novotel, Ibis, Formule 1 et Motel 6 sont les différents hôtels du groupe Accor.
Pour trouver ce stage, plusieurs mois de recherches m’ont été utiles. Au début, j’avais une possibilité de stage dans un restaurant à Paris mais voulant améliorer mon niveau d’anglais, j’ai rapidement cherché un travail à Londres. Pour commencer, j’ai essayé de regarder si je neconnaissais pas quelqu’un qui pourrait me donner une piste. Après en avoir parlé, mon grand-père, qui connaît un peu le Sofitel Saint-James, m’a dit que normalement pour un stage ouvrier ils devraient y avoir de la place. Ravi de cette nouvelle, je leur envoyai mon CV ainsi qu’une lettre de motivation. Deux semaines plus tard, j’ai eu un entretien téléphonique, puis un contrat de travail comme commisdans la restauration. Ne sachant pas exactement ce que c’est un commis, je me renseignai et découvris que c’était la personne qui faisait tous ce que les autres ne voulaient pas faire.
L’élaboration de ce rapport a pour principale source les différents enseignements tirés du travail ouvrier dans l’hôtellerie.

Dans un premier temps, je décrirai le Sofitel Saint-James et legroupe Accor ensuite je parlerai des travaux effectués durant ce stage et pour finir des apports personnels du stage.

I. Le groupe Accor et son Sofitel Saint-James

1) Le groupe Accor

Accor est une société anonyme française dont le siège social se situe à Evry. Accor est présent dans l’hôtellerie, les services, les casinos, les agences de voyages ainsi que la restauration.Ce grand groupe français a pour directeur général Gilles Pélisson. Accor compte plus de 4 000 hôtels et 170 000 salariés répartis dans 90 pays. Leur chiffre d’affaire est de 7 607 millions d’euros et leur résultat net de 501 millions. Leurs principaux concurrents sont Intercontinentals Hotels Group, Hilton, Marriott International…

Données financières en millions d’euro |
Années | 2002 |2003 | 2004 | 2005 | 2006 |
Chiffre d’affaires | 7140 | 6830 | 7120 | 7406 | 7607 |
Excédent brut d’exploitation | 1936 | 1729 | 1859 | 1910 | 2084 |
Résultat net part du groupe | 430 | 270 | 239 | 364 | 501 |
Capitaux propres | 4280 | 3750 | 3815 | 3987 | 4098 |

Le groupe Accor est un groupe qui ne cesse de croître et qui est connu dans le monde entier grâce à son slogan…