Chimie organique

Chapitre 1: Le pétrole ou les alcanes.

Cours 1: Molécules organiques.

I: unité des molécules organiques. (feuillet « mise en situation »)

1) – Carbone tétravalent (IV)
– Hydrogènemonovalent (I)

2) A une liaison covalente.

II diversité des molécules organiques.

3) le nombre de C et de H

4) Liaison double:

Liaison simple:

Il existe plusieursliaisons entre les atomes C. la liaison double et la liaison simple. Il existe aussi des liaisons triples.

5) Il existe des chaines ouvertes (butane) et des chaines fermées (styrène)

Il y a unechaine fermée lorsqu’il y a un cycle. Le premier Carbone doit être rattaché au dernier.

6) C8H8

7) présence d’hétéroatomes. Ex: O, N, S sont des atomes que le C et le H dans une chaine demolécules organiques.

III: Classification des molécules organiques.

1) Les hydrocarbures

* Hydrocarbure: Molécule qui ne contient que du C et du H.

Dansles hydrocarbures, il existe des sous classes:

– Les alcanes: Hydrocarbure constitué de liaisons simples entre Carbone.
– Les Alcènes: HydroC avec au moins une liaison double entre Carbone.
– Lesalcynes: HydrC avec liaison triple entre Carbone.
– Les dérivés benzéniques: Une chaine fermée que l’on rencontre souvent et où l’on vient greffer d’autres atomes.2) Les hétéroatomes (groupement fonctionnel)

* hétéroatomes: Associations spécifique d’hétéroatomes de C et de H

Exemples:

1. Acide lactique 2. Acide acétique 3.Alcool éthylique

Aldéhyde Cétane Ester Amine

C. Exercices.

– SO2:

– C2H6O:

– Ar:

– Tomate:

– C3H8

-MgSiO3:

Cours 2: Structures des Alcanes.

I. Le pétrole.

Exemples de produits dérivés:

– Gaz naturel
– Bonbonne de gaz
– Essence, Diesel,…

Devoir 4 anglais dcg ue 12

Vous pourriez aussi bien appeler ça la Troisième Loi du Newton de Négociations Commerciales. Après que les efforts de l’Organisation Mondiale du Commerce à trouver un accord commercialeglobale(mondiale) frappent un mur le mois dernier à Genève, les négociateurs ont rebondi avec une grande quantité d’activité sur des accords commerciaux bilatéraux. Mais les accords sont tels, qu’appareillesouvent des pays riches et pauvres(faibles), un remplaçant utile d’affaires globales(mondiales), ou sont-ils juste un moyen pour des pays riches pour exploiter des marchés d’outre-mer .
Les États-Unisont été un des négociateurs les plus désireux d’affaires bilatérales ces dernières années. Pour trois de ses accords récents – avec le Chili, la Jordanie et Singapour – vous pouvez voir ce qui estarrivé en regardant les chiffres. Son libre-échange traite avec la Jordanie, qui couvre approximativement 85 pour cent de marchandises, est entré en vigueur à la fin de 2001. Depuis lors, les exportationsjordaniennes de marchandises, y compris l’habillement et le bijou, aux États-Unis ont quintuplés d’exportations et celles américaines en Jordanie ont doublé. Les EU dirigent maintenant un déficitannuel des échanges de marchandises d’environ 700millions de dollars avec la Jordanie, où il courait après les excédents.
Des accords commerciaux bilatéraux avec le Chili et Singapour ont été mis enœuvre en 2004. La première affaire a semblé renverser la baisse dans des exportations américaines au Chili , et des exportations chiliennes en États-Unis ont presque triplés. Les exportations versSingapour ont augmentées considérablement, aussi, quoique les exportations de Singapour commencent seulement maintenant à augmenter. « Il a abouti à 55,000 nouveaux emplois(travaux), dont environ 19,000 sontdes Jordaniens, » a dit Maher Matalka, le directeur de la Jordanie Économique et le Bureau de Commerce à Washington. « La majorité sont des femmes qui doublent ou le triplent leur revenu du ménage »….

Sql server 2005 – reporting services

Sql Server 2005 Reporting Services

Un grand merci à Mr F. B. pour sa franchise, son sens de la relation humaine et son humilité.

Sql Server 2005 – Reporting Services Sommaire

– 2 / 30 –

Sommaire ………………………………………………………………………………………………………2 Introduction……………………………………………………………………………………………………3 Présentation…………………………………………………………………………………………………. 3 Technologies utilisées ………………………………………………………………………………………. 3Prérequis…………………………………………………………………………………………………….. 3 Le service Sql Server 2005 Reporting Services ……………………………………………………………… 3 Tester l’existence du service………………………………………………………………………………… 4 Création et publication de rapport et de modèle……………………………………………………………6SQL Server Business Intelligence Development Studio……………………………………………………… 6 Création d’un rapport : utilisation de l’assistant …………………………………………………………… 6 L’édition de rapport …………………………………………………………………………………………13 Administration de Sql ServerReporting Services …………………………………………………………. 18 Gérer les droits système ……………………………………………………………………………………18
Se connecter à l’interface d’administration ………………………………………………………………………………………………………………. 18 Administrationsystème ………………………………………………………………………………………………………………………………………….. 18 Création des rôles système………………………………………………………………………………………………………………………………………. 19

La gestion des droits sur les objets…………………………………………………………………………19
Créer un rôle élément ……………………………………………………………………………………………………………………………………………… 19 Gérer les droits sur lesobjets…………………………………………………………………………………………………………………………………… 20

Utilisation des modèles …………………………………………………………………………………….. 22 Création d’un modèle ……………………………………………………………………………………….22
La source de données……………………………………………………………………………………………………………………………………………… 22 Ajouter la vue des sources de données ……………………………………………………………………………………………………………………. 22 Créer le modèle………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. 25

Créer un rapport à partir d’un modèle ……………………………………………………………………..29

Denis Szalkowski Formateur Consultant

avril 2007

Sql Server 2005 – Reporting Services Introduction
Présentation

– 3 / 30 –

Les produits de Reporting ne sont pas très nombreux. Citons le plus…

Distribution

distribution

? Quelle est votre opinion sur cette stratégie ?

La distribution sélective est tout simplement un mode de distribution qui implique une sélection des points de vente. Lescritères de sélections peuvent être divers et variés, notamment avoir trait à l’équipe de vente (formation, effectifs,..), à la place et visibilité accordée aux produits de la marque et aux caractéristiquesdes points de vente (surface, décoration,..) ;
Et sont propres à l’image ou au choix d’une marque.
Un nombre réduit de « détaillants » sont donc sélectionnés pour vendre les produits que l’onsouhaite mettre sur le marché.

Les entreprises optent pour une stratégie sélective lorsque la cible est bien fixée et que les caractéristiques du produit intéressent une catégorie de clients bientriée, On peut prendre comme exemple les produits de luxe.
Cependant, la distribution sélective est aussi présente dans beaucoup d’autres secteurs.
La distribution sélective permet de diminuer les coûtsde distribution pour le producteur, permet un contrôle qualitatif des points de vente.
Cependant cette stratégie ne permet pas une bonne couverture du marché.

? Faut-il selon vous l’appliqueraussi sur les autres marchés européens ?

Selon moi il ne faut pas appliquer cette stratégie sur les autres marchés européens, et pour cause la non connaissance réel et total du marché ; De sespartenaires. Mais aussi à cause des ses résultats dans le reste des pays, qui est si différent d’un pays à notre dans certain ils sont bon, et dans d’autre plus que mauvais ; ce malgré la stratégie déjàétablie par l’entreprise « 360 ».

? Quelle(s) solution(s) peut-elle envisager ?

Donc la société « 360 » doit envisager d’autres façons de distribuer se produits dans les pays européens autreque la France.
L’entreprise peut essayer d’élargir sa distribution et d’envisager de distribuer dans de grandes enseignes destinés aux articles de sport afin qu’elle puisse atteindre une partie…

Dissertation

Une action est une manifestation d’une volonté, que l’on va accomplir volontairement, qui a un but et des conséquences. Dans ce sens il n’y aurait pas d’action sans pensée, sans calcul des conséquences de l’action, sans savoir ce que l’on fait. Mais une action ne pourrait-elle pas être effectué sans réflexion préalable, sans réelle volonté ? Serait-il alors possible de ne pas connaître lesraisons pour lesquelles on commet un acte donc en ce sens existe-t-il des cas où on ne sait pas ce que l’on fait? Si oui, l’homme pourrait-il être capable de ne pas savoir se qu’il fait sans être influencé par des facteurs extérieurs ? L’esprit de l’homme serait donc constitué d’un inconscient qui nous pousserait à agir sans réelle connaissance de cause et dans ce cas, il serait légitime de ne passavoir ce que l’on fait. On pourrait donc ce demander si savoir ce que l’on fait est vraiment une nécessité ? Dans un premier temps on pourra voir les cas où il est possible de ne pas savoir ce que l’on fait puis les obligations morales de l’homme dans la connaissance de ces actes.

On peut voir qu’il serait possible de ne pas savoir ce que l’on fait. On entend souvent « je ne savais pas ce que jefaisais » pour se défendre. Mais on peut se demander si ce n’est pas simplement une excuse pour pouvoir justifier les actes commis dont on ne veut pas donner la vraie raison. Néanmoins les actes commis sous l’emprise de l’alcool ou de la drogue par exemple sont incontrôlés et l’homme n’a plus de pouvoir sur sont corps. Ces substances psycho actives agissent sur le cerveau et modifie le comportementmais elles provoquent également des effets somatiques. L’homme n’est donc plus conscient de ces actes, il agit sous l’emprise de l’alcool, il ne peut plus se contrôler, il n’est plus maître de ses actes. Il commet des actes qu’il n’aurait jamais commis dans son état normal. Il ne sait donc pas ce qu’il fait. Mais en consomment ces substances on est souvent bien conscient des conséquences. Quel queuns consomme de l’alcool pour se « détimidiser », ils savent bien qu’ils feront certaines chose qu’il n’oserait pas sans cette consommation. On ne peut donc pourrait donc pas dire qu’ils ne savent pas ce qu’ils font vu qu’ils ont choisis délibérément d’être dans un état qui ferait surgir des comportements qu’ils ne maîtrisent pas et qu’ils les mettront peut-être dans l’embarra. En revanche, onpeut opposer cette situation a des personnes qui a leur insu on consommé une drogue. Une personne par exemple qui se voit offrir un verre qui contient une drogue. Cette personne n’aura donc à partir de ce moment plus conscience de ces actes. Sa vraie personnalité aura été modifiée. Elle commettra des actes dont elle ne pourra pas pensée aux conséquences puisque sont jugement est altéré. Cettepersonne ne saura pas ce qu’elle fait durant toute la durée de son emprise à l’alcool. On peut également parler des effets de pulsions refoulées sur nos agissements conscients. Sous l’effet de ces pulsions, on est parfois incapable de ce contrôler. L’ignorance et le manque de lucidité en ces moments là, nous amènent à agir sans réflexion préalable et sans réelle connaissance de l’acte. C’est notreinconscient qui parle et qui nous pousse à agir. Une grande partie de nous même nous échappe. Les lapsus, les rêves, les désirs révèlent souvent d’autre aspect de notre personnalité dont on n’a pas conscience. Les passions aussi comme la colère, l’amour, la jalousie transforment notre perception du monde et nous fait agir de manière inappropriée et expéditive. Lorsque la personne aura retrouvé salucidité elle regrettera les actes commis sous l’influence de ces passions. Il semble bien qu’à ce moment là on ne soit plus clairement conscients de ce que l’on fait. Le cas de la schizophrénie nous montre également que certain trouble peut nous amener à entreprendre des actes irraisonnés, insensés dont la personne atteinte ne parvient pas à savoir ce qu’elle fait puisqu’elle n’arrive plus à…

Nespresso, étude marketing

-1-

SOMMAIRE INTRODUCTION ETUDE DE MARCHE A- La production de café B- Le marché du café en dosette C- Nespresso ETUDE QUALITATIVE A- Les moments de pauses B- La consommation de café C- Les critères de choix D- L’image de Nespresso E- La concurrence F–Les points forts de Nespresso G- Les points faibles de Nespresso H- La consommation de café Nespresso
I- Les changements à opérer chezNespresso J- Les raisons poussant à aller dans les boutiques et consommer les produits de la marque.

SYNTHESE QUALITATIF ETUDE QUANTITATIVE DEPOUILLEMENT A- Communication de Nespresso B- La machine et le café C- Les boutiques D- Les causes du succès E- Les limites du succès CONCLUSION ANNEXES SOURCES

-2-

INTRODUCTION
Dans le cadre de notre première année d’étude à l’EBS (European BusinessSchool), nous avons participé à un séminaire « enquête terrain ». Il a pour but de nous familiariser aux fondements du marketing. Nous avons tout d’abord dû choisir un thème d’étude. Nous avons décidé d’étudier la marque « Nespresso ». Nestlé Nespresso étant le leader mondial du café haut de gamme mais détenant également le monopole de vente de café en capsule, l’étude de cette marque nous à parueintéressante. Le constat du succès fulgurant et rapide de Nespresso, nous à poussé a nous demander comment peut-on expliquer le succès de Nespresso, et quelles conditions sont nécessaires afin qu’il perdure ? De cette problématique, nous avons tiré 10 thèmes majeurs qui sont : les moments de pause, la consommation de café, les critères de choix des consommateurs en matière de café, l’image deNespresso, la différence que détiennent les consommateurs entre Nespresso et les autres marques, les points forts ainsi que les points faibles de la marque, les freins possibles à la consommation de café Nespresso, les changements à opérer chez Nespresso et enfin, les raisons poussant à aller dans les boutiques et à consommer les produits de la marque. Après avoir fait une étude qualitative par le moyend’un guide d’entretient auprès de 18 personnes, constitué autour des thèmes précédents. Ce guide d’entretient ciblé sur les habitudes de consommation, mais aussi sur l’avis à propos de l’image et les prestations de la marque que détiennent les consommateurs nous ont permis de cerner leurs consommation, leurs habitudes, mais aussi ce qu’ils aiment, reprochent ou encore aimeraient vouloir changer chezNespresso. Ce questionnaire nous à permis d’établir une étude quantitative, constituée de sondages afin de confirmer les tendances observées lors de notre étude qualitative dans le but de répondre à notre problématique. Après avoir dépouiller l’ensemble des sondages, nous avons pu établir des pourcentages, graphiques et tableaux. Ceux-ci mettent en avant les résultats de notre questionnaire,apportant des éléments de réponse à notre problématique. Bien que notre échantillon soit restreint (environ 300personnes), des tendances se font remarquer en fonction des personnes interrogées.

-3-

I Etude de marché
A- La production de café Le café est la deuxième matière première la plus négociée au monde après le pétrole, et il fait vivre 120 millions de personnes dans le monde. Il est un peudifficile de chiffrer le marché du café, en effet celui-ci se compose de quelques grandes exploitations, mais surtout de 25 millions de petites. Celles-ci sont réparties dans une cinquantaine de pays qui produisent Arabica et Robusta. Pour trouver des statistiques et de la documentation sur le marché du café il faut demander à l’International Coffee Organisation qui fut créée en 1963. Cetteorganisation est dépendante de l’ONU et ses membres regroupent 97% des pays producteurs de café. Cette organisation permet aussi d’essayer de trouver une entente entre les pays producteurs, en effet ceux-ci ne s’entendent pas sur les unités. Le sac de 60 kilos est la référence mondiale puisque c’est la référence du Brésil, premiers pays producteur. Mais certains pays adoptent leur propre unité….

Biographie arthur rimbaud

Biographie Arthur Rimbaud

[pic]
1854-1891

Source photographique : http://www.incoldblog.fr

La vie d’Arthur Rimbaud :

Arthur Rimbaud est né le 20 octobre 1854 à Charleville-Mézières etest mort le 10 novembre 1891 à Marseille.
Sa mère, Vitalie Cuif, est une femme très autoritaire et son père, Frédéric Rimbaud, est militaire.
Durant toute sa vie Arthur Rimbaud à beaucoup voyagé.Il commença sa scolarité en Octobre 1861 à l’institut Rossat ou il s’illustre déjà en récoltant différents prix.
En 1865, Arthur entre au collège municipal de Charleville, où il se montre brillantélève et ou il a obtenu des prix d’excellence en littérature.

En juillet 1869, il participe aux épreuves du Concours académique de composition latine sur le thème « Jugurtha » qu’il remporte facilement.En 1870, il se lie d’amitié avec Georges Izambard, son professeur de rhétorique. C’est lui qui lui fait découvrir Rabelais, Victor Hugo et Théodore de Banville. Au mois d’août de la même année,Rimbaud fugue de chez sa mère pour se rendre à Paris, à ce moment la France et la Prusse sont entrées en guerre.
Il se fait arrêter à la gare du nord, il est incarcéré à la prison de Mazas. C’est sonprofesseur Izambard qui parvient à le faire libérer.

En 1871, il rencontre Verlaine et participe aux réunions parisiennes du « Cercle Zutique » ou il fut exclu peu de temps après.

Par la suiteVerlaine et Rimbaud partirent à Londres en 1873. Rimbaud débuta « Une saison en enfer ». Leurs relations se sont dégradées à tel point que Verlaine a même tiré deux coups de feu sur Rimbaud lorsqu’ilsétaient en Belgique. La justice belge condamna Verlaine à deux années de prison.
A la suite de cet événement, Rimbaud rentra chez lui et acheva « Une saison en enfer »
En 1874, Rimbaud est à Londresavec Germain Nouveau avec qui il s’est lié d’amitié. L’année suivante, Rimbaud part pour l’Allemagne, puis séjourne en Suisse et en Italie. À la fin de cette année, il rentre à Charleville.
Il…

Salle de shoot

————————————————-
Pour ou contre les salles d’injections en France
————————————————-

« Salle de shoot »
Pour:
* Permet la sécurité des personnes car les toxicomanes peuvent consommer leurs drogues de façon sure et hygiénique.

* Les individus sont supervisés par un personnel médical qui est susceptible de rétablirun lien avec des populations désocialisées. Les individus rétablissent donc un contact et peuvent par la suite être pris en charge.

* Ces lieux ont fait leurs preuves sur la réduction de la morbidité et de la mortalité associées aux overdoses.

* Diminution des abcès, et des autres maladies liées à l’injection comme l’hépatite C mais également la transmission du VIH .

* Grâce àce projet on peut amener petit à petit les gens à consulter.

* Les salles de consommation ne mènent en aucun cas à la dépénalisation. Cet outil est adapté aux individus qui sont en errance et en grande rupture avec la société. Destinés aux toxicomanes les plus précarisés, en dehors de tout dispositif de soin. Ce qui représente une minorité. Paris en compterait entre 500 et 1500 etMarseille en compterait environ 1000.

* Parler et amener directement une personne en rupture au sevrage ne marche pas. La rechute est systématique.

* Le deal est fortement réprimé à l’extérieur mais également, et ce qui semble normale à l’intérieur

* La France prend un retard important face aux autres pays et notamment ceux d’Europe.

* Cela entraine une diminution des nuisancespour la population qui devient alors plus favorable à la présence de ces salles.

* On constate une forte augmentation des drogues en France et notamment des drogues par injection, si la consommation augmente cela signifie que le nombre de toxicomanes précarisés et désocialisés va lui aussi augmenter.

* Permet d’éviter que les seringues ne trainent dans la rue ou dans les parcs etc.* Il est prouvé que ces lieux ne poussent pas à la consommation.

* Il ya des rencontres avec des psychiatres, psychologues, assistante sociale et infirmier. C’est en encadrant leur consommation de professionnalisme et de chaleur humaine qu’ils réussiront à s’en sortir petit à petit.

* Dans la banlieue de Madrid en Espagne chaque trimestre 70 à 100 nouveaux patients sont acceptés.* Partout ou cela a été fait en Europe la consommation de drogue a reculé.
Contre :
* Les drogués continuent de se détruire, en toute discrétion et en restant entre eux.

* Les expériences menées en Allemagne et en Suisse montrent que l’ouverture de ses salles aggrave les problèmes.

* Encourage l’augmentation de la consommation voir l’initiation de nouveaux usager.

* Lesindividus rassurés par la présence de personnel médical vont oser prendre plus de risque en augmentant les doses.

* Contribue au maintien d’une habitude.

* Ces lieux peuvent être perçue comme l’acceptation de la société face à l’usage des drogues, notamment chez les jeunes qui pourront y voir une légitimation des pratiques.

* Risques de trouble de l’ordre aux alentours de cessalles avec la présence de dealer et usager.

* Le rapport de l’Inserm se base sur des expériences effectuées dans des pays extérieurs à la France ou la situation en terme d’usage est très différente.

* Permet de faciliter la consommation des toxicomanes.

* En autorisant les « salles de shoot » la dépénalisation suivrait forcement.

* Il existe déjà en France 200 structuresde soins pour les usagers de drogues, des centres d’accompagnement, de prévention à l’addiction. Grâce à ce dispositif le nombre des toxicomanes contaminés par le virus du sida a été divisé par 4 en 15 ans, le nombre d’overdoses mortelles a lui été divisé par 5(c’est le taux le plus bas d’Europe)

* Ces salles peuvent aboutir à un retardement du traitement face à la dépendance.

* En…

Dissertation , commentaire, résumé discussion

Daouda MAR UFR des Lettres et Sciences Humaines Université Gaston Berger B.P. : 234 – SAINT-LOUIS SENEGAL E-mail [email protected]

LANGUE FRANCAISE ET LITTERATURE AFRICAINE : UNE REVOLUTION HUMANISTE

2

L’existence d’une orientation éditoriale africaine concertée est désormais mondialement reconnue. La problématique des convergences sur l’élaboration et la diffusion de la littératureafricaine, peut se poser, dans une certaine mesure. Mais des principes qui ont valeur de poétique fondent une politique délibérée et réfléchie. La question qui taraude les esprits reste liée à l’utilisation du français comme langue d’écriture, de création littéraire. L’expression « littérature africaine d’expression française » semble reposer sur des antinomies irréductibles. L’on se demande s’ilsuffit d’être noir et francophone pour être classé dans la catégorie des écrivains africains de langue française. Il nous faudra tenter d’expliciter, dans la théorie et dans la pratique, la mythologie qui unit la langue d’Europe et l’art littéraire d’Afrique, en nous interrogeant sur le langage et l’universalisme, l’étymologie et la sémantique, l’écriture française et la littérature africaine. I/ -LANGAGE ET UNIVERSALISME Le thème de la langue-mère a souvent intéressé les chercheurs. En Occident, l’on a même parlé, à propos de l’hébreu, d’archilangue des enfants d’Héber, de parler de l’Eternel, de matrice des langues. Il s’agit de la croyance au don divin de la parole. Les tenants de cette thèse pensent que l’hébreu a survécu d’abord au déluge, ensuite à Babel. Le gaulois serait un héritage del’hébreu primitif. Le langage lui-même relève d’une inspiration divine à Adam. Par ailleurs, le prestige de l’hébreu est réduit chez les penseurs comme Erasme qui en signale la variabilité1. Néanmoins, l’expression intéresse beaucoup dans les Ecritures en raison de son caractère figuré. La même remarque sur la poéticité s’applique aussi bien au texte biblique qu’à la langue hébraïque. Tout mothébreu peut être aussi un trope. L’on retrouve condensé dans la langue hébraïque l’ordre de la représentation (espace) et l’ordre de l’événement (histoire). La réflexion sur l’étymologie se révèle intéressante. Une langue peut se développer ou tomber en décadence.

1

– CHOMARAT J. , Grammaire et rhétorique chez Erasme, Paris, Les Belles Lettres, 1981, I, p. 79.

3

La dégradation n’est pastoujours évidente. Plus de deux mille ans après Homère, la langue grecque n’a pas changé de façon notoire. Lorsqu’une langue est fixée et qu’elle demeure stable, le savoir technique et le savoir poétique se transmettent de façon sûre et presque infinie. L’idée que la poésie est un langage divin remonte dans la nuit des temps ; elle est considérée comme le premier mode d’expression des pionniers del’écriture en particulier, des génies littéraires en général dès l’origine de la création artistique. Le mot y est alors figure. Le vers, dit-on, a précédé la prose. La poésie est prophétique et a généré la théologie païenne, la philosophie et les lois. La métaphore, dans le langage des premiers hommes, occupe une place majeure, bien plus que les mots propres. JeanJacques Rousseau affirme audébut du chapitre II de l’Essai sur l’origine des langues :
« Le génie des langues orientales, les plus anciennes qui nous soient connues, dément absolument la marche didactique qu’on imagine dans leur composition. Ces langues n’ont rien de méthodique et de raisonné ; elles sont vives et figurées. On nous fait du langage des premiers hommes des langues de géomètres et nous voyons que ce furent deslangues de poètes »2.

Beaucoup de génies poétiques furent, à l’instar d’Orphée, des fondateurs de sociétés. Au-delà de l’exaltation de l’image sensible dont parle Condillac3, il est noté, dans les réflexions sur le langage, que la poésie a joué un rôle primordial dans la fixation des lois et des règles de la vie sociale, qui ont été d’abord écrites en vers. Au demeurant, les mots transforment…

Violences conjugales

Développement :
Depuis les années 2000 plusieurs enquêtes nationales ont dressés un bilan seulement pour les femmes. (Selon l’enquête nationale sur les violences envers les femmes en France : 1femme sur 10 déclare avoir été victime de violences conjugales).
Ces violences conjugales peuvent prendre les formes suivantes :
* Violences physiques : coups, mutilations, meurtres.
*Violences sexuelles : viols, agressions sexuelles, proxénétismes.
* Violences verbales : chantage, insultes, humiliation/ dévalorisation, menaces.
* Privation et contraintes : vol, destruction depropriété (enfermement, séquestration)
* Privation d’autonomie : confiscation de revenu, véhicule.
D’après l’étude Nationale sur les décès au sein du couple, menée par la délégation aux victimes duministère de l’intérieur :
* 156 femmes et 27 hommes ont été tués en 2008 par leur compagnon ou compagne.
* 35 % des crimes conjugaux sont liés à la séparation
* 34% des auteurs d’homicidessont commis sous l’emprise de l’alcool ou de stupéfiants.
Pourquoi les femmes sont-elles victimes de violences conjugales ?
Les femmes sont en majorité victime de violences au sein de leur couple.Elles sont victimes d’hommes immatures, égocentrés, paranoïaques, ou ayant des troubles du comportement et de leurs personnalités. Certain hommes considèrent que la violence et la réponse au refusd’obéissance ; il est peut-être probable qu’ils reproduisent le comportement de leur père envers leurs mère et ne savent plus comment s’y prendre avec leurs propre compagne, ils sont frustrés et ne trouveplus d’autre moyens afin de pouvoir se faire respecter. (Stress, hallucination, angoisse)
Pourquoi les hommes sont-ils victimes eux aussi de violences conjugales ?
Tout comme les femmes, les hommesn’osent pas portés plainte, pour différentes raison :
* Les services d’aides 3919 spécialement réservés aux femmes.
* Ils craignent de ne pas être pris au sérieux, ou ridicule.
* Ils…