Tp de mecanique

TP Spé P7 : PRODUCTION D’UN SON PAR UN INSTRUMENT DE MUSIQUE

I – LES DIFFERENTS INSTRUMENTS

Les instruments sont classés en trois familles : les instruments à vent les instruments à corde etles instruments à percussion
Activité : classer les instruments de la liste suivante selon leur nature en remplissant le tableau : piano, xylophone,
guitare, flûte à bec, tambourin, violon, trompette,orgue, harpe, clarinette, accordéon, saxophone, cymbale, grosse
caisse.
Instruments à vent Instruments à corde Instruments à percussion
Flûte à bec, trompette, orgue,
clarinette, accordéon,saxophone. Piano, guitare, violon, harpe. Xylophone, tambourin, cymbale,
grosse caisse.
Remarque : les instruments à vent sont eux-mêmes classés en deux familles : les cuivres (cor, trompette ettrombone) et
les bois (flûte traversière, hautbois, clarinette et basson).

II – COMMENT PRODUIRE UN SON AVEC UN INSTRUMENT ?

Expérience 1 : frapper un diapason et le laisser vibrer en le tenant à lamain, recommencer en posant le diapason sur sa
caisse de résonance ou même sur la table.
Observation : le diapason produit un son (le La 440 Hz) qui devient audible lorsqu’il est couplé à sa caisse derésonance.
Expérience 2 : démonter une flûte à bec, souffler dans le tuyau seul puis remettre le sifflet et souffler dedans.
Observation : l’air soufflé dans le tuyau ne produit un son audible quesi le tuyau est muni du sifflet.
Expérience 3 : tendre fortement une corde de guitare accrochée à un support en y suspendant une lourde charge et
pincer cette corde. Pincer une corde de guitaretendue sur sa caisse de résonance.
Observation : de la même façon, le son produit par la corde pincée ne devient audible que lorsqu’il est amplifié par la
caisse de résonance.
Conclusion :
Pourproduire un son, un instrument de musique ou tout autre système doit remplir deux conditions :
vibrer et émettre.
Le système vibrant, appelé excitateur, est mis en vibration grâce à un souffle, une…

Dissert

Charles De Gaulle.
Nom de naissance : Charles André Joseph Pierre-Marie de Gaulle
Date de naissance : 22 novembre 1890
Lieu de naissance : Lille, Nord (France)
Date de décès : 9 novembre 1970(à 79 ans)
Lieu de décès : Colombey-les-Deux-Églises, Haute-Marne (France)
Signature :

1908 : De Gaulle entre à 18 ans dans l’école militaire de Saint-Cyr.
1920 : De Gaulle participe à laguerre de Pologne. Frustré par deux années de captivité, Charles de Gaulle ne s’empresse pas de rentrer au pays. Il préfère en effet continuer les combats. Il s’engage ainsi dans la guerre de Polognecontre la Russie soviétique.
14 mai 1940 : De Gaulle est à la tête de la quatrième division cuirassée
Alors qu’Hitler a mis fin à la « drôle de guerre » quelques jours plus tôt en attaquant lesArdennes, Charles de Gaulle est affecté à la quatrième division cuirassée.
18 juin1940 : depuis la BBC à Londres, le général de Gaulle lance un appel aux militaires français alors que le gouvernement Pétainnégocie avec l’Allemagne. Son message sera diffusé sur les ondes à 22 h et rediffusée le lendemain à 16 h. Réenregistré le 22 juin, le jour même de l’armistice franco-allemand, le texte s’estplusieurs fois transformé. L’appel original a d’ailleurs une tonalité moins guerrière que les versions suivantes, certains dirigeants anglais interdisant au départ à de Gaulle de stigmatiser Pétain. Le28 juin, de Gaulle sera reconnu par Winston Churchill, comme le chef des Français libres.
13 novembre 1945 : Le général de Gaulle est élu à l’unanimité par l’Assemblée constituante nouveau chef dugouvernement provisoire. Il formera son équipe aux côtés de ministres communistes. Mais au début de l’année 1946, en désaccord avec eux, il démissionnera.
Avril 1953 : Suite à l’échec électoral du RPF etface à une constitution qu’il n’apprécie pas, Charles de Gaulle décide de se retirer de la vie politique.
10 décembre1958 : Appelé à la présidence du Conseil au mois de Juin, De Gaulle a préparé…

Le fascisme

PARTIE I – CONTEXTE HISTORIQUE

1. Introduction

Benito Mussolini et les fascistes étaient de virulents nationalistes partisans de l’usage systématique de la violence. Les chemises noires s’en prenaient à tous ceux qui leur résistaient comme les libéraux et les catholiques. Mais leur cible principale était les socialistes qui menaçaient de déclencher une révolution comme en Russie. En octobre1922, les fascistes conquièrent les provinces du nord de l’Italie puis marche sur Rome par millier pour exiger le pouvoir par la force des armes.
Mussolini fut le 1er dictateur fasciste du monde. Sa glorification de la violence inspira Adolf Hitler qui l’imita. Mussolini voulait restaurer l’Empire Romain, Hitler rêvait de conquêtes encore plus démesurées. A eux deux ils déclenchèrent une guerremondiale qui fit cinquante-cinq millions de victimes. Et pourtant, dans les années 20, les dirigeants de nombreux pays firent l’éloge de Mussolini et du fascisme, véritable rempart contre le communisme. Pour Churchill, il était le génie romain dont le combat triomphant contre le communisme avait rendu service au monde entier. Ajouter une phrase introductive à ce qui suit.

2. Mussolini et lefascisme

2.1. Naissance du fascisme

Le fascisme a germé sur les champs de bataille de la 1ère guerre mondiale durant laquelle l’Italie s’était battue au côté de la Grande-Bretagne, de la France et de la Russie contre l’Allemagne et l’Autriche. Mais après deux années de guerre atroce, l’armée italienne avait été débordée lors de la bataille de Caporetto en 1917. Cette débâcle mit fin à laparticipation de l’Italie au conflit. Cette crise militaire se transforme en crise politique pour le gouvernement mais aussi pour les principaux partis politiques car elle soulève la question de savoir si l’Italie risque l’implosion ou la révolution en cas de défaite. Mais un homme va rallier l’opinion à la défense du pays, Benito Mussolini – un journaliste de 36 ans.

2.2. Avènement de MussoliniA l’origine, Mussolini était un socialiste révolutionnaire et un pacifiste fervent. Il rejette la faute du désastre de Caporetto sur ses anciens amis du Parti Socialiste qui par leur campagne pacifiste ont sapé le moral des troupes. Il passe du socialisme au nationalisme. Pour lui, désormais, la seule chose dont l’Italie a besoin est une forte discipline intérieure pour lutter contre les attaquesdes Autrichiens et surtout contre ses ennemis à l’intérieur du pays.
Pour rassembler les troupes après Caporetto, le gouvernement promet des terres aux paysans et du travail aux autres. Cette mesure regonfle le moral de l’armée et avec l’aide des alliés, l’Italie est finalement victorieuse en 1918. Mais l’euphorie de la victoire est de courte durée. Contrairement à ce qu’elle escomptait,l’Italie n’obtient aucun empire en Afrique mais seulement quelques territoires le long de ses frontières. Le pays est en proie à la colère et au désespoir. La peur du communisme rôde partout. Le désarroi est grand chez beaucoup de familles de la classe moyenne qui accordent leur confiance à Mussolini qui reste opposé à l’Eglise et à la monarchie.
Le 23 mars 1919, Mussolini et deux cents personnes pour laplupart des anciens soldats déçus se rassemblent à Milan pour fondé un nouveau mouvement nationaliste : « Fasci italiani di Combattimento ». Les faisceaux, emblème des …. Romains sont synonyme de la force dans l’unité mais l’ajout du mot combat montre bien l’aspect agressif du mouvement.

2.3. Mussolini au pouvoir

Dès son arrivée au pouvoir, l’objectif principal de Mussolini est de restaurerla gloire de l’Empire Romain. Il a les yeux tournés vers le passé. Il veut y revenir. Et pour ce faire, il décide de s’inspirer des empereurs Romains. Une fois au pourvoir, il entreprend de bâtir le premier Etat totalitaire du monde. Il sait que pour créer l’Italien nouveau il doit commencer par modeler les plus jeunes. En 1925, il décrète que le gouvernement exige que l’école s’inspire des…

Lettre de motivation

Madame, Monsieur,
Je suis actuellement étudiant en première année de la formation DUT informatique et j’aimerai vous faire part de mon choix de parcours et de module pour la deuxième année.
Eneffet, j’ai choisi le parcours n°2 : Imagerie Numérique et en module pour les poursuites d’études : mathématiques approfondies.

J’ai choisi le parcours n°2 « Imagerie Numérique » car après avoir discutéavec les professeur des différentes matières, je suis intéressé par la synthèse d’image ainsi que l’utilisation de 3d studio max. De plus je souhaite faire une Licence après mon DUT pour peut-êtreplus tard me spécialiser pour un métier lié au web mais ce parcours me permettra également d’acquérir une autre spécialisation en l’occurrence celle lié a l’image et d’autres connaissance et puis il ya également le programme en mathématique qui m’intéresse plus que celui du parcours n°1.
Le choix du module « Mathématiques approfondies » est simple, après avoir parlé avec mon professeur demathématique, j’ai choisi ce module car c’est un bon choix pour pouvoir suivre en Licence après le DUT, et puis le programme à l’air intéressant.
En espérant avoir exposé des raisons favorables à ma possibleadmission au parcours n°2 Imagerie Numérique et au module mathématiques approfondies, veuillez Madame, Monsieur, agréer l’expression de mes salutations distinguées.

Le 11/05/2011, signature del’étudiant :
Madame, Monsieur,
Je suis actuellement étudiant en première année de la formation DUT informatique et j’aimerai vous faire part de mon choix de parcours et de module pour la deuxième année.En effet, j’ai choisi le parcours n°2 : Imagerie Numérique et en module pour les poursuites d’études : mathématiques approfondies.

J’ai choisi le parcours n°2 « Imagerie Numérique » car après avoirdiscuté avec les professeur des différentes matières, je suis intéressé par la synthèse d’image ainsi que l’utilisation de 3d studio max. De plus je souhaite faire une Licence après mon DUT pour…

Sociologie

BUREAUCRATIE En sociologie, la bureaucratie désigne un pouvoir sans direction qui se caractérise par des règles strictes, la division des responsabilités et une forte hiérarchie. Ce néologisme, créé au XVIIIe siècle par Vincent de Gournay, a été défini par Max Weber. Il peuts’appliquer à toute forme d’organisation, bien qu’on l’associe surtout aux pouvoirs publics. Max Weber fut le premier à amener à la lumière du jour le concept de bureaucratie qui a su prendre de l’ampleur avec les années. En fait, ce penseur a su présenter différentes théories aux niveaux des sciences sociales. Sa théorie Weberienne prône, d’autant plus, l’importance de l’action sociale dans lasociété.
Bref, de façon plus concrète, la théorie de la bureaucratie se définit comme étant un certain système pyramidal hiérarchisé permettant à la population de développer des compétences propres à différentes capacités. De plus, chaque individu se doit de prendre ses responsabilités ainsi que de se fixer des objectifs.
La bureaucratie, dans ce sens second, se caractérise par certainsstéréotypes, tels que la lenteur, l’irrationalité, l’indécision ou l’aveuglement.
les traits caractéristiques de la bureaucratie chez Weber :
1. Distinction précise entre la propriété privée et la propriété de l’organisation (par exemple l’État).
2. L’individu n’est pas propriétaire de sa fonction (i.e. pas de transmission héréditaire)
3. La bureaucratie fonctionne selon des règles, et refuse, parprincipe, toute acceptation de personne. Au sens péjoratif, un fonctionnement bureaucratique est aveugle et se refuse à comprendre les situations particulières, sauf comme des exceptions. Administrations publiques et grandes entreprises privées créent et observent des règlements. Ainsi la bureaucratie fonctionne dans le cadre d’une réglementation impersonnelle.
4. Les postes sont rigoureusement définisdans leur compétence et dans leur domaine. La définition des postes est un des instruments essentiels du fonctionnement de la bureaucratie.
5. À la définition des postes correspond la spécialisation des fonctions et des compétences de l’individu qui les remplit. En principe chaque tâche doit être confiée à l’individu qualifié pour l’accomplir. La qualification se juge sur des critères impersonnelsde type bureaucratique eux aussi : les diplômes.
6. Une organisation bureaucratique forme une hiérarchie : chacun est situé à un poste où il y a des supérieurs et/ou des subordonnés.
7. Une bureaucratie emploie des spécialistes, employés à plein temps, et qui poursuivent une carrière individuelle liée à la hiérarchie de l’organisation
De façon abrégée, Weber présente sa théorie d’autoritéselon quatre grands concepts : 1- La position d’une personne au sein d’une hiérarchie n’est pas liée à la personne telle quelle mais bien à son rang social.
2- Les compétences d’une personne font d’elle la personne qu’elle est et doit être respecté à sa juste valeur pour ce qu’elle a accompli. 3- Les exigences sedoivent d’être réfléchies et communicables tant dans le domaine des prises de décisions que des actions.
4- La division des tâches au sein d’un regroupement est primordiale. La bureaucratie, dans ce sens second, se caractérise par certains stéréotypes, tels que la lenteur, l’irrationalité, l’indécision ou l’aveuglement.
Un outil de pouvoir————————————————-
La bureaucratie politique et sociale
En politique, la bureaucratie désigne une forme d’État où le pouvoir est exercé et transmis par l’appareil administratif lui-même, qui gomme la plupart des défauts et qualités individuelles et qui met en valeur celles de l’organisation. Cette situation est due la plupart du temps à un executif faible ou instable,…

Science po

Les syndicats en France

Définition :association regroupant des individus ayant des intérêts professionnels communs pour la défense de leurs droits au travail.

Histoire:
A la fin du 19 èmesiècle , la classe ouvrière s’affirme, demande de nouveaux droits et de meilleurs conditions de travail. Pour se faire entendre,les ouvriers organisent des grèves auxquelles s’ensuivent de sévèresrépressions.
L’ évolution de la loi permet la naissance du premier syndicat officielle, la CGT afin de défendre les droits des ouvrier longtemps bafoués.
Grâce à l’ action des syndicats ,denombreuses améliorations du droit du travail ont eu lieu.

Les syndicat ne peuvent avoir d’autre objectif que la défense des droits des salariés. Les action purement politique sont interdite
Objectif:Article 411,1 du code du travail

« Les syndicats professionnels ont exclusivement pour objet l’étude et la défense des droits ainsi que l’intérêt matériel et moral ,tant collectif que individuel, des personnes visées par leur statut»
Les syndicats peuvent défendre les droits: – d’un seul salarié
– de plusieurs salariés de la profession

Les ressources des syndicats:
le premiersmoyen de ressource des syndicats sont les cotisations que verse chaque syndiqué en fonction de son salaire,De plus l’état accorde des subventions aux syndicats.
Ils reçoivent également des aides descollectivités locales.

Assemblé générale (congrès)
Elle se réunit une fois par an en moyenne et choisit ses représentants d’une part et la politique qui se menée par les syndicats d’autre part.Organisation

Le conseil syndical
Les administrateurs se réunissent régulièrement pour prendre des décisions.
Syndicat
fixe son fonctionnement

Le bureau
Composé d’unsecrétaire général et d’un trésorier, il représente le syndicat.

Les syndicats représentatifs : un arrêté de 1966 considère cinq syndicats qui sont la CGT
la CFDT, FO la CFTC et la CGC comme…

Platon

Platon
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Pour les articles homonymes, voir Platon (homonymie) et Plato.
Platon ( ?????? )
Philosophe occidental
Antiquité

détail de L’École d’Athènes, parRaphaël
Naissance vers 427 av. J.-C. (Athènes)
Décès vers 346 av. J.-C. (Athènes)
École/tradition Fondateur de l’Académie
Principaux intérêts Métaphysique, cosmologie, éthique, politique, esthétique,rhétorique, sophistique, langage
Idées remarquables Dialectique, Maïeutique, Allégorie de la caverne, Théorie des Formes, Participation, Réminiscence, Imitation, Philosophe roi
Œuvres principales LeBanquet, La République, Phédon, Théétète, Le Sophiste
Influencé par Pythagore, Parménide, Héraclite, Socrate, Mystères égyptiens
A influencé La majeure partie de la philosophie occidentale ; unepartie de la philosophie islamique
modifier
Platon (en grec ancien ?????? / Plátôn), Athènes, 428 – 427 av. J.-C., 347 – 346 av. J.-C.1, est un philosophe grec, contemporain de la démocratieathénienne et des sophistes, qu’il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate, Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d’élaborer sa proprepensée qui explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique, l’éthique, l’esthétique et la politique.
Son œuvre, composée presque exclusivement de dialogues, est d’une granderichesse de style et de contenu, et produit, sur de nombreux sujets, les premières formulations classiques des problèmes majeurs de l’histoire de la philosophie occidentale2. Chaque dialogue de Platoninterroge un sujet donné, par exemple le beau ou le courage. La pensée de Platon n’est pas monolithique : une partie de ses dialogues aboutissent à des apories philosophiques, et ses dialogues quiapportent une solution aux problèmes posés ne constituent pas une réponse unique et définitive.
Platon est l’inventeur de la théorie des Formes : celle-ci décrit le réel comme un ensemble de copies qui…

Medecine

de l’aidant familial

Le guide

Préface
Ce guide est pour vous ! Les travaux de la conférence de la Famille 2006 ont eu pour objectif de renforcer les liens entre les générations. Parmi les mesures prises, la création du congé de soutien familial et la reconnaissance des aidants de personnes âgées ou handicapées vont permettre de maintenir ce lien et cet accompagnement de nos aînés,dans les meilleures conditions possibles. Mais il faut également pour cela « aider les aidants », qui consacrent souvent une grande partie de leur temps à un proche dépendant, en leur fournissant un outil pratique qui facilitera leur action au quotidien. C’est pourquoi ce guide leur est destiné. Ce document, simple et très concret, réunit toutes les informations sur les droits des aidants et deleur proche dépendant, tout en indiquant les interlocuteurs auxquels chacune et chacun peut s’adresser pour trouver de l’aide. Le guide propose également un exemple de « carnet de l’aidant », ce journal que tout aidant doit tenir à jour pour organiser ses activités et son temps auprès de la personne âgée ou handicapée dont il s’occupe.

< Sommaire >

LE GUIDE DE L’AIDANT FAMILIAL

1

SEn?n, le guide de l’aidant fournit tous les renseignements nécessaires a?n de pouvoir, si on le souhaite, valoriser par la suite les années passées auprès d’un proche. Nous espérons que ce guide aidera celles et ceux qui se dévouent tous les jours pour accompagner un proche devenu très dépendant, qu’il leur donnera les informations concrètes dont ils ont besoin et qu’il contribuera à allégerleurs contraintes quotidiennes. La solidarité nationale accompagne ainsi la solidarité familiale.

2

LE GUIDE DE L’AIDANT FAMILIAL

< Sommaire >

SOMMAIRE
Vous informer sur vos droits
Vous et vos interlocuteurs
___________________________________

11

Qu’est-ce qu’un aidant familial ? _____________________________________________ 11 Quels sont vos interlocuteurs ?______________________________________________ 11 • Le Centre communal d’action sociale (CCAS) ou la mairie __ 11 • Le Point Info famille (PIF) ________________________________________________________ 12 • Le Centre local d’information et de coordination gérontologique (CLIC) ____________________________________________________________

__ 12 • La Maison départementale des personnes handicapées (MDPH)____________________________________________________________

___ 14

Votre proche et ses droits

_____________________________________

17

Votre proche est âgé dépendant _____________________________________________17 • L’Allocation personnalisée d’autonomie (APA)_______________________ 17 Votre proche est handicapé _____________________________________________________21 • Laprestation de compensation ______________________________________________ 21 • L’Allocation aux adultes handicapés (AAH) ___________________________ 24 • L’Allocation d’éducation de l’enfant handicapé (AEEH) _________ 28 Des mesures pour votre proche et vous ________________________________ 30 • Des cartes de priorité ____________________________________________________________

__ 30 • Desdroits spécifiques aux personnes handicapées ______________ 32
< Sommaire >
LE GUIDE DE L’AIDANT FAMILIAL

3

Vous et vos droits

_________________________________________________________

37

S

Un point pratique sur les aides _______________________________________________ 37 • Le Chèque emploi service universel (CESU) __________________________ 37 • Les mutuelles et caisses deretraite _______________________________________ 39 Être salarié(e) ou dédommagé(e) ___________________________________________ 40 • L’aidant d’une personne âgée dépendante _____________________________ 40 • L’aidant d’une personne handicapée _______________________________________ 40 • Le parent d’un enfant handicapé ____________________________________________ 42 Trois congés familiaux…

Formulaire gestion des stocks

Stock théorique t = stock physique t + encours t – dus

S phys. début t = stock début t-1 + approvisionnements. – livraisons

S théo. début t = stock début t-1 +commande – réservation

Coût de possession =Sm * p * i * T

Point de commande PC = Qu * D + Ssec

Taux de rotation = Conso. annuelle / Stock moyen annuel

Tempsd’écoulement =Stock moyen annuel / Conso. annuelle

Stock de sécurité Ssec = Qu *ED + D * EQ +EQ * ED

Stock moyen Sm = Qr /2 + Ssec

Coût de maintien Cm = Pu * t * Sm

Coût deréapprovisionnement Cr = a * (Q / Qr)

Coût total du stock C = Cm + Cr

Quantité économique de réappro. Qréco = (2 * a *Q) / (Pu * t)

Nombre de livraison économique Néco =(Q * Pu * t) / 2 * a

Date de la prochaine commande d = [(S + Qec – Sr – Ssec) / Qu] – (D + ED) (1)

Quantité de recomplètement. QR = Qu * (p + D + ED) – (S + Qec – Sr -Ssec) (1)

Si Cm >>> Cr F Qréco et S=PC

Si Cr >>> Cm F Néco et (T, QR)

Avec
Qu =quantité utilisée par unité de temps considérée = consommation par unité de tempsconsidérée
D = délai d’approvisionnement
EQ = Ecart sur Qu
ED = Ecart sur D
Pu = prix unitaire de l’article
t = taux de possession du stock
Qr = quantité deréapprovisionnement
QR = quantité de réapprovisionnement en recomplètement
Q = quantité annuelle approvisionnée
I = intérêt de possession
T = période considérée pour la gestion
a = coûtde passation d’une commande
Sr = stock réservé (ou affecté)
Qec = quantité en en-cours
S = stock physique à l’instant t0
p = période fixe de réapprovisionnement entre 2commandes

(1) : A appliquer en contexte “nombre de livraisons économique » et convertir les différents paramètres en pièces en assurant la cohérence des unités initiales.

Préface de cromwell

Cromwell – Préface Victor Hugo

Publication: Source : Livres & Ebooks

Préface
Le drame qu’on va lire n’a rien qui le recommande à l’attention ou à la bienveillance du public. Il n’a point, pour attirer sur lui l’intérêt des opinions politiques, l’avantage du veto de la censure administrative, ni même, pour lui concilier tout d’abord la sympathie littéraire des hommes de goût, l’honneurd’avoir été of?ciellement rejeté par un comité de lecture infaillible. Il s’offre donc aux regards, seul, pauvre et nu, comme l’in?rme de l’Evangile, solus, pauper, nudus. Ce n’est pas du reste sans quelque hésitation que l’auteur de ce drame s’est déterminé à le charger de notes et d’avant-propos. Ces choses sont d’ordinaire fort indifférentes aux lecteurs. Ils s’informent plutôt du talent d’unécrivain que de ses façons de voir ; et, qu’un ouvrage soit bon ou mauvais, peu leur importe sur quelles idées il est assis, dans quel esprit il a germé. On ne visite guère les caves d’un édi?ce dont on a parcouru les salles, et quand on mange le fruit de l’arbre, on se soucie peu de la racine. D’un autre côté, notes et préfaces sont quelquefois un moyen commode d’augmenter le poids d’un livre etd’accroître, en apparence du moins, l’importance d’un travail ; c’est une tactique semblable à celle de ces généraux d’armée, qui, pour rendre plus imposant leur front de bataille, mettent en ligne jusqu’à leurs bagages. Puis, tandis que les critiques s’acharnent sur la préface et les érudits sur les notes, il peut arriver que l’ouvrage lui-même leur échappe et passe intact à travers leurs feux croisés,comme une armée qui se tire d’un mauvais pas entre deux combats d’avant-postes et d’arrière-garde. Ces motifs, si considérables qu’ils soient, ne sont pas ceux qui ont décidé l’auteur. Ce volume n’avait pas besoin d’être en?é, il n’est déjà que trop gros. Ensuite, et l’auteur ne sait comment cela se fait, ses préfaces, franches et naïves, ont toujours servi près des critiques plutôt à le compromettrequ’à le protéger. Loin de lui être de bons et ?dèles boucliers, elles lui ont joué le mauvais tour de ces costumes étranges qui, signalant dans la bataille le soldat qui les porte, lui attirent tous les coups et ne sont à l’épreuve d’aucun.

1

Des considérations d’un autre ordre ont in?ué sur l’auteur. Il lui a semblé que si, en effet, on ne visite guère par plaisir les caves d’un édi?ce,on n’est pas fâché quelquefois d’en examiner les fondements. Il se livrera donc, encore une fois, avec une préface, à la colère des feuilletons. Che sara, sara. Il n’a jamais pris grand souci de la fortune de ses ouvrages, et il s’effraye peu du qu’en dira-t-on littéraire. Dans cette ?agrante discussion qui met aux prises les théâtres et l’école, le public et les académies, on n’entendra peut-êtrepas sans quelque intérêt la voix d’un solitaire apprentif de nature et de vérité, qui s’est de bonne heure retiré du monde littéraire par amour des lettres, et qui apporte de la bonne foi à défaut de bon goût, de la conviction à défaut de talent, des études à défaut de science. Il se bornera du reste à des considérations générales sur l’art, sans en faire le moins du monde un boulevard à sonpropre ouvrage, sans prétendre écrire un réquisitoire ni un plaidoyer pour ou contre qui que ce soit. L’attaque ou la défense de son livre est pour lui moins que pour tout autre la chose importante. Et puis les luttes personnelles ne lui conviennent pas. C’est toujours un spectacle misérable que de voir ferrailler les amours-propres. Il proteste donc d’avance contre toute interprétation de ses idées,toute application de ses paroles, disant avec le fabuliste espagnol : Quien haga aplicaciones Con su pan se lo coma. A la vérité, plusieurs des principaux champions des « saines doctrines littéraires »lui ont fait l’honneur de lui jeter le gant, jusque dans sa profonde obscurité, à lui, simple et imperceptible spectateur de cette curieuse mêlée. Il n’aura pas la fatuité de le relever….