Léonard de vinci

Léonard De Vinci

né à Vinci le 15 avril 1452 et mort à Amboise le 2 mai 1519, est un peintre italien et un homme d’esprit universel, à la fois artiste, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, peintre, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste,musicien, poète, philosophe et écrivain.

UN AUTODIDACTE DANS SON SIECLE

Plus qu’un précurseur génial, Léonard de Vinci fut surtout unesprit curieux. Et, s’il peint en savant, c’est en artiste qu’il aborde les sciences et les techniques de son temps.

Apparemment inévitable lorsqu’un parle de Léonard de Vinci (1452-1519), la notion de génie présente pourtant de réels inconvénients. Tout d’abord, en renvoyant à une sorte de transcendance, elle n’explique finalement la créativité que par une tautologie ( l’intelligence créatricetrouvant sa source dans le « génie », qu’on se garde bien de définir, et la preuve du génie étant elle même fournie par la créativité de l’individu ! ). Ensuite, elle gomme totalement ce que le savant ou l’artiste doit à ses contemporains et à ceux qui le précèdent, et contribue à le présenter comme une figure hors du temps.
La construction du mythe du génie léonardien s’est faite en plusieursétapes. Au XVIe siècle, l’historien d’art Vasari, dans ses vies des plus grands peintes, héroïse son compatriote florentin en le parant d’une beauté, d’une force et d’un talent surnaturel. Au XIXe siècle, quand on redécouvre ses manuscrits, les positivistes érigent en figure tutélaire celui qu’ils considèrent comme l’apôtre incompris du progrès. N’avait-il pas déjà tous inventé: L’avion, le chard’assaut, le sous-marin, le scaphandre, le boulet explosif? Les quelques vois signalant les faiblesses scientifiques ou sa dette envers ses prédécesseurs sont d’autant mieux étouffées qu’a la même époque un autre courant de pensée. Vinci ne fut pas le grand maitre d’une société secrète ( il tenait même en grand mépris l’ésotérisme) et n’inventa à l’évidence ni arme de destruction massive ni machineà remonter le temps et cela tout simplement parce qu’il était profondément le produit de son temps. UNE REVOLUTION TECHNOLOGIQUE.
Léonard s’inscrit en effet dans une période d’innovations technologiques qui marqua profondément toute l’Italie du nord entre le XIVe et le XV siècle. Le manque de main-d’œuvre consécutif aux épidémies de la fin de moyen Age, le développement urbain sans précédent danscette partie de l’Europe où s’accumule le capital marchand, les guerres incessantes entre petites principautés italiennes constituent autant de facteurs poussant au développement du machinisme et à une recherche de l’originalité dans les stratagèmes militaires. Sous la boucle influence des condottieri et des bourgeoisies urbaines, des foyers d’invention apparaissent à Bologne, Sienne ou florence.A Sienne, par exemple, la nécessité d’apporter de l’eau en quantité dans une ville fondée sur un site de collines obligea les ingénieurs à déployer toute une science de l’hydraulique et de la topographie. À florence, les commandes par les élites de marchés à prix fait ( c’est à dire imposant une échéance et un cout calculé à priori ) pour leurs palais ou pour les grands édifices urbainsconduisirent des architectes d’un nouveau genre à inventer des machines de chantier pour le transport et la manipulation des matériaux. À Boulogne, les marchands soyeux commandèrent aux artisans- ingénieurs des dévideurs de cocons automatiques de plus de 10 mètres de haut actionnés par l’énergie des canaux souterrains de la ville. Ce fut alors une véritable révolution des techniques dont on peut indiquerles éléments fondamentaux. Tout d’abord, la conception des mécanismes se fit de plus en plus sur papier, afin que les « engins », compris pour cuirasser les poulies et les engrenages de bois afin de les rendre plus résistants. De plus, les progrès de de la trempe permirent de fabriquer des ressorts de fer aciéré, ce qui introduisit, notamment en horlogerie, dans la fabrique d’armes ou en…

Conscience morale

Parler de conscience morale, c’est parler d’abord d’une expérience courante : celle d’une sorte de
petite voix qui nous somme ou bien de faire quelque chose, ou bien de s’abstenir de le faire.L’expérience d’une sorte de dédoublement, d’un déchirement même parfois entre ce que cette voix
exige et ce que nous sommes tentés de faire. Ne faisons-nous pas par exemple l’expérience d’unempêchement, d’un trouble lorsque nous faisons ou projetons de faire quelque chose qui n’est
pas bien ? Cette petite voix ordonne ou exige de nous ce que nous ne sommes pas toujours disposés
à faire et,souvent, curieusement, elle parvient à se faire obéir.
Pour moi l’Homme est bien meilleur qu’on ne le croit, on ne voit on ne retient que les aspects négatifs des choses que les dictateurs et lesconquérants de la planète.

On ne vois dans le capitaliset que l’appât du gain jamais les risques pris et les progrés
apportés à l’humanité par certaines réalisations (pas toutes loin de là à notreépoque du gadget),
mais enfin le canal de suez sans le capitalisme n’aurait jamais été construit, le commerce en aurait
pati et l’Egypte serait toujours à la traine sans barrage d’Assouan finazncégrace aux revenus du
canal de Suez pour dompter les crus du nil et permettre une production agricole qui a supprimé la
famine en Egypte)

Les humbles, les paysans il y a 10.000 ans et même encoremaintenant ont parfois fait plus pour
l’humanité que tous ces conquérants qui encombrent les livres d’histoire

L’abbé Pierre a t’il fondé les compagnons d’Emaüs par intêrêt ? Oui dans un sensl’amour
du prochain est gratifiant pour les personnes altruistes.

la définition d’altruisme et ce qu’elle implique pourait t’aider

Oui mais…

Toutes les actions humaines se font par intérêt,même le bien, car en faisant le bien on
trouve une satisfaction du devoir accompli tout a fait agréable.

La morale est souvent bénéfique, c’est vivre de façon civilisée, respecter les autres…

Le developpement numerique

LE DEVELOPPEMENT NUMERIQUE

DES COLLECTIVITES LOCALES

APPLIQUE AU TERRITOIRE YVELINOIS

THÈSE PRÉSENTÉE

DANS LE CADRE DU MASTERE SPECIALISE

RESEAU ET SERVICES DE TELECOMMUNICATION

LISTE DES ABRÉVIATIONS, DES SIGLES ET DES ACRONYMES

DATAR: Aménagement du Territoire et à l’Action Régionale
TIC: Technologies de l’Information et de la Communication
PME: Petites et MoyennesEntreprises
ORTEL: Observatoire Régional des Télécommunications
CGCT: Code Général des Collectivités Territoriales
CPT: Code des Postes et Télécommunications
CDC: Caisse des Dépôts et de Consignations
LRT: Loi de Réglementation des Télécommunications
DSL: Digital Subscriber Line
ADSL: Asymetric Digital Subscriber Line
DSP: Délégation de service public

CHAPITRE I

LEDÉVELOPPEMENT NUMÉRIQUE DES TERRITOIRES

I. L’etat des lieux

Un premier état des lieux de la France numérique

La Délégation à l’Aménagement du Territoire et à l’Action Régionale (DATAR) a présenté en juin 2003 une étude sur  » L’état des régions dans la société de l’information  » qui compile pour la première fois l’ensemble des données sur ce sujet en dressant l’état du déploiement des réseaux detélécommunications, l’état de la concurrence et de la diversité technologique ainsi que les projets des collectivités territoriales en matière de télécommunications et l’usage des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) au sein des Petites et Moyennes Entreprises (PME).
Cette étude constate que le haut débit[1], qui conditionne le développement de la société de l’information,était fin 2002 accessible à 74% de la population française. Cette population est concentrée sur seulement 21% du territoire, soit sur près de 9000 communes, partiellement ou totalement couvertes par l’un des services d’accès (DSL, câble Internet, boucle locale radio, fibre optique…). Mais 26% de la population française, soit 15 millions de personnes, habite des communes ne disposant d’aucune offre(hors satellite et liaisons louées).
En ce qui concerne les infrastructures, l’étude montre que la France est bien couverte par les dorsales (les  » autoroutes numériques »). En revanche, il existe encore une double insuffisance au niveau des réseaux intermédiaires (réseaux de collecte en fibre optique) au niveau régional et intra-départemental et au niveau des boucles locales (desserte) quiassurent la connexion avec le client. Enfin, le dégroupage[2] n’avait pas encore répondu aux attentes fin 2002 (moins de 1200 lignes sur 34 millions étaient dégroupées).
De fait, la France reste organisée autour en 3 catégories :
? Les zones de  » concurrence « , environ 2% du territoire pour 32% de la population : offrant un potentiel économique important et situées à proximité des grands réseauxd’infrastructures nationaux et internationaux, elles bénéficient des principaux investissements des opérateurs. Ce sont les principales agglomérations. Mais des risques importants existent également dans ces territoires où faute d’investissements la compétitivité internationale qui s’exerce en matière de services et de tarifications, fragilisera l’emploi dans l’ensemble des secteurs. C’est pourmaintenir cette attractivité que certaines agglomérations envisagent de mettre en œuvre des projets innovants (desserte optique globale, services nomades haut débit…).
? Les zones  » d’opportunité « , environ 20% du territoire pour 42% de la population : elles disposent d’un potentiel économique sensibilisé aux technologies de l’information mais sont isolées des grandes infrastructures detélécommunications des nouveaux opérateurs, ou offrent un potentiel insuffisant dans l’immédiat pour attirer les investisseurs. Elles comprennent les autres agglomérations et des zones périurbaines.
? Les zones  » de fragilité « , environ 78% du territoire pour 26% de la population : Il s’agit de la plupart des territoires ruraux, mais aussi de certaines zones peu denses situées en périphérie…

Dossier geographie touristique bac techno hotellerie

Dossier géographie touristique

Pour le bac, il faut 3 dossiers sur une ville, un pays ou une région.
1 dossier sur la France, 1 sur le thème de l’étranger et un dernierau choix. C’est un dossier de 20pages minimum.
-Un sommaire avec les numérotations des pages et le plan du dossier
x – une introduction personnelle

x-Lalocalisation géographique (carte, transport, les moyens pour s’y rendre)

xLes conditions naturelles (le climat, un diagramme climatique avec un commentaire personnel, lafaune et la flore)

-L’histoire rapide (date clef, les faits les plus importants) 1 page maximum.

-les formes de tourismes avec des photos par exemple lesmomnuments, les lieu celebre

-L’origine de la clientèle (diagramme plus commentaire personnel)

-l’hébergement (complexe, chambre d’hôte, hôtel etc.…) 1 pagemaximum

-La gastronomie (plats typiques), nom des plats avec descriptions de tous les plats presente sur cette pages

-Conclusion (donner un avis sur le tourisme,ces apports au pays et a l’économie, les difficultés pour le tourisme). Tourisme, économie, problèmes.

-Les sources dont on a eu besoins pour pouvoir faire le dossier1/Le climat
La ville de Paris est sous l’influence d’un climat semi-continentale. Ce climat comme son nom l’indique est une variante du climat océanique avec leclimat continentale, à savoir en hiver des périodes froides et sèches et par moment douces et humides. Paris est sous l’influence de l’océan Atlantique mais aussi du climatcontinentale. Les étés y sont relativement doux.

2/tableau et diagramme climatique

*Tableau qui résume les température et les précipitations sur une année

Zara, key success factor and issues

Zara, the famous chain of apparel, was created in 1975 by Amancio Ortega. It is part of the group Inditex wich includes Massimo Dutti, Bershka, Stradivarius, Oysho, Pull and Bear.
Zara is asuccessful company. How did they manage to this success? What are the issues Zara have to face and which solutions does Zara have?
Key success factors:
– Design
o 3 product lines (women, men and children)o Current season and continuing in-season development
o Based on customers desires
Zara’s product development teams are constantly researching the market by traveling to universities,nightclubs around the world to find new trends. Moreover, they use their young and international staff to interpret the desire of the moment.
– Sourcing and manufacturing
o Comditel : a 100% ownedsubsidiary of Inditex
o Just in time system, heavily automated
o Employees in small group which are specialized by product type
o Zara’s manufacturing complex : control the production and finishthe manufacturing tasks
– Distribution
o Own centralized distribution system : huge warehouse
o Clothes do not stay more than 3 days
o Shipments are made twice a week to each store
? By road(trucks)
? By air
Zara’s centralized distribution facility gives the chain a competitive advantage. Indeed, this is cost effective because of the close proximities of the distributioncenter in Arteixo and their different factories in La Coruna.
– Retailing
o Merchandising : rapidly changing product lines (reasonable quality for reasonable price, but still fashion)
o Low advertisingbudget (0 to 3% of revenues) but huge brand awareness worldwide
o Prime locations (visible/premier shopping streets)
o Climate of scarcity and opportunity (clothes do not stay during a long time inthe store)
o Zara’s top management gives high responsibilities to store manager. Like this they motivate their employees.
The climate increases the frequency and rapidity with which…

Franz kafka

L’auteur de ce récit étrange et cauchemardesque qu’est La Métamorphose, est un écrivain d’expression allemande. Né le 3 juillet 1883, Franz KAFKA est issu d’unefamille juive germanophone installée à Prague. Il a la chance de vivre au carrefour de trois civilisations : slave (tchèque, allemande, et juive. Il commence àécrire très jeune en Allemand : dès l’âge de 23 ans, il rédige Préparatifs de noce à la campagne.
À partir de 1910, Kafka commence à tenir régulièrement sonJournal, tenu en allemand. Être écrivain était pour lui une vocation, contrairement à son métier d’assureur qui n’était pour lui qu’un gagne pain… Il avait unemploi du temps surchargé, qui ne lui permettait pas de développer au mieux ses facultés créatrices : l’une des meilleurs œuvres de Kafka, Le Verdict, fut rédigé enune nuit , de 10h du soir à 6h du matin sans interruption. Dans sa vie, la littérature était une sorte de consolation : il aurait affirmé : « Je ne suis quelittérature, et ne peux ni veux être rien d’autre »…
De 1912 (date de la rédaction de La Métamorphose), jusqu’à 1924, date de sa mort ; Kafka ne publia que six deses récits : Regard(1912) Le Verdict (1913) Le Soutier (1913) La Métamorphose(1915) Dans la colonie pénitentiaire (1919) Un médecin de campagne(1919).
Ses plusgrands romans ne furent publiés qu’à titre posthume, grâce au zèle de Max Brod, ami intime de l’écrivain. Ce dernier refusa en effet de suivre lesrecommandations de Kafka lui demandant, de bruler à sa mort tous ses manuscrits inachevés et tous ses textes non publiés…
Frantz Kafka décède le 3 juin 1924 à Kierling…

Mise en place de l’evaluation du systeme de controle interne

UCAO-UUT
Année académique : 2010-2011
Semestre 1

EXPOSE EN AUDIT

THEME : MISE EN PLACE DE L’EVALUATION DU SYSTEME DE CONTROLE INTERNE

Chargé du cours : Mr Mouhamed Nour-Dine ASSINDOH
Membres du groupe : ABLE Yaovi Mawuto
ADODO Komi Edem Jean-Marie
INTRODUCTION
Le contrôle interne peut être défini comme >.Il se caractérise par la mis enplace, au sein de l’entreprise d’un système d’organisation, de méthode et de procédures garantissant la pérennité de cette dernière.
L’appréciation du système de contrôle interne passe par le découpage de l’entreprise en cycles d’activités et par l’évaluation des procédures mises en place pour atteindre les objectifs de contrôle pour chacun de ces cycles.
Les cycles que l’on trouvetraditionnellement sont les suivants
– Cycle d’achat : qui regroupe toutes les fonctions relatives aux achats, depuis la budgétisation des dépenses jusqu’au règlement des fournisseurs,
– Cycle de vente : qui regroupe les fonctions relatives aux ventes et aux créances, depuis la budgétisation des ventes et l’acceptation des clients jusqu’à l’encaissement des créances,
– Cycle d’investissement : qui regroupeles fonctions relatives aux achats et à la conservation des biens d’équipements, depuis leur budgétisation jusqu’à la dépréciation ou la cession de ces biens,
– Cycle de paie : qui regroupe les fonctions relatives au personnel et à la paie, depuis la budgétisation des dépense de personnel, l’embauche jusqu’au règlement des salaires et des charges sociales,
– Cycle de trésorerie : qui regroupe lesfonctions d’encaissement et de décaissement en espèces ou par les banques,
– Cycle de stock : qui regroupe les fonctions relatives au stock et à la production, depuis la réception des articles jusqu’aux prises d’inventaire, valorisation et dépréciation des stocks.

CYCLE D’ACHAT

I-Opérations du cycle
Les opérations regroupées au niveau du cycle d’achat sont celles relatives à l’acquisitiondes ressources nécessaires au fonctionnement de l’entreprise :
– Achats de biens destinés à être consommés dans un processus de production, à être utilisés pour les besoins courants de l’exploitation, ou à être revendus à l‘état (marchandises)
– Achat de services divers (frais d’entretien loyers..) fournis par les prestataires extérieurs
Il est à signaler que les opérations d’acquisitions desbiens d’équipement (immobilisation) de même que celles relatives au personnel seront étudiées dans le cadre de cycles spécifiques.
Les opérations concernées par ce cycle sont les suivantes :
– Prévision des dépenses (budget des achats)
– Expression des besoins, choix des fournisseurs et placement des commandes
– Réception des biens et des factures, contrôle, comptabilisation
– Suivi desdettes envers les fournisseurs.
II-Comptes retraçant les opérations
Le cycle des achats fait intervenir :
a) Au niveau du compte de résultat : les comptes de charges
Ils servent à la détermination des résultats intermédiaires c’est-à-dire les soldes caractéristiques de gestion et du résultat net de la période.
b) Au niveau du bilan : les comptes de dettes
Ils figurent au passif du bilan dans larubrique des .Ils sont classés par ordre d’exigibilité croissante. Elles comprennent :
? Les dettes >, c’est-à-dire celles constatées par des factures de fournisseurs ou dont le montant est connu avec précision.
? Les dettes >, c’est-à-dire celles dont le principe est certain (livraison reçues ou charges encourues ou encore facturées), mais dont le montant n’est pas encore connu, du fait de lanon réception par l’entreprise de la facture du fournisseur. Dans ce dernier cas, les dettes sont constatées au moyen d’écritures de provision.
III-Procédures opérationnelles
1) Budgétisation-suivi des engagements des dépenses
Cette fonction regroupe toutes les opérations d’établissement des prévisions de dépenses et de leur approbation par les organes compétents de la société, de même que…

La constitution

LA CONSTITUTION

La constitution est la norme suprême de l’ordonnancement juridique de l’État (I). Elle contient les règles fondamentales de l’organisation et du fonctionnement d’un État, ce qui en fait le fondement juridique et politique de l’État (II).

I – La constitution, norme suprême de l’ordonnancement juridique.

Situé au sommet des règles juridiques d’un État, la constitutionest en général adoptée ou révisée selon des procédures solennelles (1) et elle doit être respectée (B).

A. Adoption et révision de la constitution.

1. L’adoption de la constitution.

Une constitution peut être coutumière, c’est encore le cas au Royaume-Uni, mais d’une manière quasi-générale, les constitutions sont écrites ; la France « écrira » sa première constitution en 1791.
Aussilorsqu’un État se crée ou lorsqu’une révolution bouleverse l’ordre juridique, se pose la question de l’adoption, de l’établissement de la constitution, de son écriture. Cette compétence appartient à un pouvoir, le pouvoir constituant originaire.

a) Il peut agir autoritairement ; la constitution est alors octroyée (Charte de 1814 octroyée par Louis XVIII). Un autre procédé autoritaire consiste,pour le pouvoir constituant, à élaborer, seul, le texte et à le faire adopter par le peuple qui plébiscite plus l’auteur qu’il n’approuve son œuvre. On peut citer, ici, les constitutions napoléoniennes (An VIII, An X, An XII).

b) Le pouvoir constituant peut agir démocratiquement. Trois procédures peuvent alors être utilisées.
– Première procédure, celle de l’Assemblée constituante ou dela Convention. Élue, l’Assemblée élabore et vote le texte. Ce fut le cas aux États-Unis (Convention de Philadelphie 1787) ou encore en France (constitution de 1791, 1848, 1875).

– Deuxième procédure, celle du référendum. La constitution de la 5e République a été approuvée par référendum. Certes on a pu comparer le Général de Gaulle à Napoléon et qualifier le référendum de plébiscite. Cen’est pas tout à fait faux. Mais des éléments démocratiques peuvent être relevés : le pouvoir constituant du Gouvernement dirigé par le Général de Gaulle (on est encore sous la IVe République) est encadré par la loi du 3 juin 1958, le projet sera soumis aux avis d’un Comité Consultatif Constitutionnel et du Conseil d’État avant que ne tranche le peuple.

– Troisième procédure, celle de laconstituante et du référendum. C’est ainsi qu’a été adoptée la constitution de la IVe République après un premier référendum négatif d’ailleurs.

2. La révision de la constitution.

Réviser la constitution, c’est la modifier sans y apporter d’atteintes graves. Certaines constitutions sont dites souples, (Israël, Nouvelle-Zélande), faciles à réviser, d’autres sont dites rigides (la plupart des États,dont la France), plus difficiles à réviser.
C’est le pouvoir constituant dérivé qui est compétent pour réviser la constitution. Dérivé, parce que c’est la constitution elle-même qui prévoit la procédure de révision, le pouvoir constituant n’est donc pas, ici, originaire mais dérivé.
On peut donner comme exemple celui de la Ve République. L’article 89 précise la procédure de révision quicomprend trois temps :

– 1. L’initiative, qui appartient d’une part au Président de la République (projet de révision) sur proposition du Gouvernement, d’autre part aux parlementaires (proposition de révision)
– 2. Le vote par les deux Assemblées en termes identiques. Le Sénat peut donc bloquer la procédure.
– 3. L’approbation définitive par le peuple. Toutefois pour sesprojets (et non pas pour les propositions des parlementaires), le chef de l’État peut convoquer le Congrès du Parlement. Le texte est approuvé s’il obtient la majorité des 3/5e des suffrages exprimés.
Il faut rappeler que par deux fois, en 1962 et en 1969, le Général de Gaulle, qui savait ne pas pouvoir compter sur le Sénat, a saisi directement le peuple par la voie de l’article 11 pour…

Analyse du village des valeurs perdues

Français
FRA 536-06

Analyse du recueil Le village des valeurs perdues

TRAVAIL PRÉSENTÉ
À
MADAME MAY GUÉNETTE

Par
Julien Renaud
Groupe 506

Collège de l’Assomption
Le 1er octobre 2009

Biographie de François Léveillée

Né le 23 août 1952, François Léveillée est un homme aux multiples facettes. Ce personnage québécois a laissé ses traces un peu partout dans le domaine descommunications. Cet homme franc et drôle aime aborder le sujet du quotidien d’une façon différente et revendicatrice. Toutes ces caractéristiques lui ont permis de voyager au travers les pays francophones, les États-Unis et l’Amérique Latine durant sa fulgurante carrière.

L’Humoriste :
Véritable analyste de la société québécoise, cet homme de valeurs commença sa carrière professionnelle à titred’humoriste. À la fin des années 80, il écrit de nombreux monologues qu’il traîna avec lui lors de plus de 500 spectacles totalisant trente textes différents. Son imaginaire hors du commun a fait découvrir des personnages absurdes qui ont marqué les adeptes d’humour tordu. Son plus grand personnage fut Bob Cashflow. Ce dernier propulsa Léveillée au sommet de son apogée en tant qu’humoriste dansles années 90. En effet, cet homme d’affaires aux caractéristiques spéciales lui permit d’acquérir une grande popularité. Il ajouta d’autres bijoux à sa liste de personnages tels qu’Aimé D’amour (animatrice en pastorale), Alban Picole (bricoleur) et Édouard Blanchet (directeur d’école). En 1998, il écrit un spectacle Welcome to l’an 2000 dressant un portrait grinçant des baby-boomers. Une autrepreuve de son humour cru, direct et moralisateur. Son dernier spectacle fut «La cinquantaine».

Le Comédien :
Sa deuxième profession artistique fut celle de comédien. En 1996, il participa au merveilleux projet de Gilles Carle. En effet, il joua avec succès un des rôles principaux du film Pouding Chômeur. Par la suite, il interpréta Gontrand dans la série télévisée de Dominique et Martin. En1996, il eut également un autre rôle de comédien à télévision, mais dans un contexte différent très différent. Effectivement, sa personnalité attirante lui valut un rôle de comédien au Bye Bye de cette belle année côté professionnel pour Léveillée. Ces admirateurs pouvaient le suivre au petit écran dans la populaire série Annie et ses hommes à l’antenne de TVA dans le rôle de Georges Morin jusqu’àl’année dernière.

Le Scripteur
Léveillée a toujours eu comme première passion l’écriture. C’est pour cela qu’il commença à tenir le rôle de scripteur en 1996. Sa première œuvre fut l’écriture du Bye Bye dans lequel il fut comédien. Il écrit ensuite plusieurs spectacles humoristiques. Ces nombreuses expériences furent grandement récompensées au fil des ans. En 1997, il gagna son premier Félix,Félix du scripteur de l’année, pour son spectacle solo. En 2001, il reçut également l’auteur de l’année pour le spectacle Tueur à Gags. Il compléta son étagère à prix avec le scripteur de l’année en 2002 pour son script pour la brillante Lise Dion. Ce n’est pas tout. N’étant pas capable de prendre ne serait-ce que quelques temps de repos, le polyvalent québécois agit à titre de scripteur pour Le Galades Oliviers en 1990 et 2000.

Le Metteur en scène
Aucunement à bout de ressources, Léveillée fit énormément de la mise en scène entre les années 1997 et 2006 pour Lise Dion, les Oliviers, le Grand Rire, Jean-Michel Anctil, Sylvain Larocque, France D’Amour, les 25 ans de Cégep en spectacle, Amélie Veille, Jean Lapointe et lui-même. Toutes ces créations furent de grands succès et lui valent,encore aujourd’hui, une réputation féroce dans le monde de l’humour au Québec.

L’Animateur
Après avoir passé devant les caméras en 1996 pour le Bye Bye et le superbe film Pouding Chômeur, ce phénomène québécois surprit plusieurs personnes encore une fois en se lançant dans l’animation. Il fut donc l’animateur du Festival Juste pou Rire 1997 avec Lise Dion, de l’émission télévisuelle…

Etre un bon défenseur

– Ne jamais attaquer en bonus nuit, sauf ville fantôme, si sûr de l’avoir vidé.

– Ne jamais attaquer sans BFs, même une, avec attaque percée, fera plus mal que seulement des BTs etdes troupes, car une seule birème peut tout vous couler pour 0 perte au défenseur.

– Mieux vaut une grosse attaque de BFs avec vent favorable que 10 petites attaques, c’est valableaussi pour le terrestre (avec BFs toujours). Vous aurez TOUJOURS moins de perte avec une grosse attaque qu’avec le même nombre d’unité envoyée en plusieurs fois.

– Mettre des sorts surles attaques importantes, type colo, ou grosse off (avec BFs), cela empêche tempête maritime, colère de Zeus, sagesse ou nostalgie (j’ai déjà pété des colo comme ça).

– Essayerd’attaquer en terrestre en mode révolte (et avec quelques catapultes par 10 ou 20 minimum, ça vous économisera des troupes), le défenseur aura plus de mal à savoir qui va le colo.

– Une foisla ville attaquée, il faut en attaquer d’autres du même joueur, ça dispersera ses soutiens.

– Envoyer plusieurs colo espacés de peu, mais sur la fin des attaques.

– Rien n’empêchede rajouter au colonisateur et uniquement a lui, une ou plusieurs attaques après l’arrivée du colo, ça vous dira que vos troupes viennent prendre une collation en temps de paix et vousne détruirez pas vos propres troupes si votre colo a prit la ville.

– Ne pas oublier les sorts offensifs comme Tremblement de terre pour détruire les remparts ou des éclairs de Zeus,voire protection de la ville, pour éviter qu’ils ne reçoivent des sorts de ses alliés (chars et troupes par Athéna).

– Utiliser des « fakes » (=fausses attaques de quelques troupes ouBT) en envoyant de petites attaques de troupes obsolètes, dont vous voulez vous débarrasser. L’adversaire ne saura pas où se caler ou perdra des faveurs à espionner les mauvaises attaques.