La conception inductiviste de la science

1. La conception inductiviste de la science
Courant empiriste anglo-saxon : qui voulait montré que science est le lieu de l’objectivité absolue.
Distinction énoncé particulier et énoncé universel.
Enoncé universel : du style pour tout, jamais = aussi universel, énoncé général qui peut être transfo avec quantificateurs universels.
Enoncé particulier : généralement situés dans l’espace temps: à 15h à lln il ne pleut pas.

U -> P : Déduction
P -> U : Induction

Conception inductiviste de la science : induction est à l’origine de la connaissance scientifique = les observations = un évènement particulier. Une obs est tjrs situé dans l’espace-temps. Mais scientifique s’intéresse au général. La loi scientifique est un énoncé universel. Scientifiques = des gens qui observentobjectivement. Lorsqu’on a observé toute une série d’élément, alors peut déduire. Tire la loi de manière inductive.

En quoi peut-on parler d’une conception inductiviste de la science :
Inductiviste : origine de la science se trouve dans l’observation d’évènement particuliers et lorsque répété svt peut supposer loi universel.

Schéma de hunkel et .. :

On a ensemble des lois de Newton.Conditions initiales : poids de l’obus, inclinaison, force, vent,… En fct de toutes ces conditions initiales, si à partir de ça fait le calcul, peut prédire l’endroit ou va arriver l’obus.
Rétrodiction : explication à postériori du comportement d’objet.
Explication est prédiction ou rétrodiction.
Induction est processus d’élaboration de la connaissance mais une fois qu’on a les loi on prédit. Dansce contexte là, expliquer c’est prédire.

Si position inductiviste est pertinente, si vrai que tte connaissance scient trouve son origine ds l’obsv neutre, répétitive des faits,… Alors la science est le lieu de vérité absolue.
Conception dominante en vigueur jusqu’en 1960.

1.2. Quelles sont les limites de la conception inductiviste de la science

a) Le point de vu logique

Est-ce quel’induction, pensée comme le passage d’un ensemble d’énoncés particulier à la généralisation est une nécessité logique ?
NON. C’est pas prcq on observe 500 fois un phénomène qu’à la 501ème fois on va l’observer aussi. Ds le processus inductif il y a une rupture de continuité.
Quand fait ça, on prend un risque. Transforme un énoncé qui porte sur un infini et le met en fini.
Ds le passageinductif est en jeu le rapport à la vérité de l’énoncé universel. On ne rigole pas avec la certitude. Pas de nécessité logique au processus d’induction. Russell : anti-inductioniste.
Histoire de la dinde intelligente.
Après toute expé : énoncé universelle : à 19h mo maitre m’apporte ma pâté. Sauf que ce jour là, c’est noël et se fait tuer.

Copernic : 1550
Galilée : 1633
Descartes =contemporain de Galilée, de louis XIV : 1650
Newton : 1680
Kant : 1785
Einstein : 1920
Heisenberg : 1920

La phys de Newton en 1680, même pour Kant, c’est le lieu de la vérité ! Or depuis Newton à Einstein, pdt 240 ans, les physiciens ont jugé qu’ils possédaient la vérité. À fallu attendre la crise de la phys avec double remise en cause par Einstein et heisenberg.

Einstein : au niv macroscopique: remise en cause du principe d’additivité des vitesses de la logique newtonienne.
Lorsque est dans un train et marche dans un wagon, comment calculer notre vitesse p/r au sol. Sol est syst de référence pour le train, syst de référence pour nous par contre ce sera le train.
On fait du km/h par rapport au train, alors comment passé d’une vitesse dans un syst de réf par rapp à un autre syst.Principe d’additivité : simple : on somme (ou soustrait si va ds sens inverse).
Principe universel ?
Non une exception : vitesse de la lumière : est tjrs constante. C’est la longueur d’onde de la lumière qui change. Einstein a donc essayer de trouver une formule qui intègre le processus d’additivité des vitesses mais dans un syst ou vit de la lum reste constante.
Temps = un absolu chez…