La theorie d’organisation

Théorie d’organisation
1 – qu’est ce que l’organisation Une organisation peut être définit comme étant : – Un ensemble d’individu, – Regroupé au sein d’une structure régulée, – Ayant un système de communication pour faciliter la circulation de l’information, – Dans le but de répondre à des besoins et atteindre des objectifs déterminés. 1-1- notion d’action organisée Pour les sociologue, c’est lepoint de départ. L’AO : la nécessaire coopération entre plusieurs individus, qui vont réalisé ensemble quelque chose. Il ne s’agit pas forcement d’une communauté harmonieuse: l’ascension suscitera peut-être des tensions entre les membres de groupe. L’objectif fixé les oblige à interagir et à construire, même provisoirement et partiellement, quelque chose de commun. 1 – 2 L’organisation et sescaractéristiques A l’intérieur de ce continuum, entre le plus souple et le plus structuré, on doit souligner une idée centrale : les individu engagés dans l’action ont à la fois à se distinguer ( tout le monde ne va pas tout faire et les intérêts peuvent être divergents), et à collaborer (il faut qu’au total, l’action collective se réalise). L’organisation nait à partir du moment ou se manifeste etse concrétise ce double mouvement de division et de coopération. Parmi les fonctions de structuration de l’action organisée les plus stables, et précisément ayant le plus à résoudre concrètement ce double problème de la division et de la coopération, se trouve ce qu’on appellerons « organisations » Nous allons plutôt repérer quelles sont les caractéristiques communément admises de ces organisationset quelles sont celles qui posent problème. On verra qu’au-delà d’une question sémantique, finalement secondaire, c’est la conception même que l’on doit avoir de ces ensembles humains qui est en jeu On peut relever quatre caractéristiques essentielles: L’existence d’une division des tâches: elle est plus ou moins précise et stricte, elle est établie par des textes ou résulte de la coutume, maiselle existe, depuis l’équipe de football jusqu’à la compagnie de gendarmerie. L’existence d’une hiérarchie, ou en tout cas d’un contrôle social exercé par certains des membres. Dans certaines organisations, un règlement codifie clairement la hiérarchie, celle-ci étant d’ailleurs visibles (les galons dans l’armée). Dans d’autres, il faut aller découvrir comment les individus choisissent des leaders(dans des associations ou des clubs sportifs)

L’existence de règles officielles et des procédures: elles peuvent être plus au moins développées et formalisées, mais il faut quand même un minimum de règles d’entrée (qui fait partie de l’organisation ? Qui n’en fait pas partie ?) et d’accès auxonctions (comment devient-on secrétaire ?) Une certaine stabilité. La division du travail, lahiérarchie et les règles ne sont vraiment nécessaires que si l’ensemble considéré a une permanence. Si l’on peut admettre ces quatre caractéristiques, trois questions supposent Q1 – la taille est une caractéristique constitutive de ce qu’est une organisation? Il est clair que la l’accroissement de la taille induit souvent une évaluation du degré de formalisation (on peut prendre l’exemple fréquent de deuxamis entrepreneurs qui développent leur affaire, recrutent…et se trouvent confrontés à la nécessité de formaliser un mode de fonctionnement auparavant spontané et souple). Mais cela ne veut pas dire qu’il y’ait des seuils précis. Q2 – l’organisation se définit-elle par ses buts ? De nombreuses définitions de la notion incluent l’idée que l’organisation est un ensemble finalisé « à faire quelquechose ». Il faut l’admettre, à conditions de ne pas oublier : – qu’au sein d’une organisation, les membres ont une vision particulière de ses buts (le PDJ n’a pas la même conception des buts de l’entreprise que sa secrétaire); – Que les buts proclamés peuvent être différents buts réels. – qu’il n’est jamais facile de savoir quels sont les buts « finals » et les buts « intermédiaires » (une…